Un film sur les titans, que j’ai regardé récemment, a commencé ainsi : « Dieu racontait que dans les temps anciens le monde était gouverné par les demi-dieux et des monstres. Mais mon fils Percée vainquit le Kraken représentant les montres et sauva l’humanité. Pour le récompenser de sa bravoure, Je lui offris de régner avec moi sur l’Olympe. Percée, qui était obstiné, choisit de suivre un autre chemin. Il fit le voeux de vivre comme un homme ordinaire, éprouvant le bien et le mal. Malgré qu’un coup du sort lui fi perdre sa femme, il se refusa d’implorer mon aide ainsi que celle des autres demi-dieux. Mais voici que le règne des dieux toucha à sa fin. » Fin du message divin.
C’est de cette manière que nous pouvons illustrer l’histoire perpétuelle de notre humanité, depuis l’aube de celle-ci. Le challenge est le même à notre période de début du 21ème siècle débutant aussi l’ère du verseau. Ce défi est encore plus marqué à partir de 2013 parce qu’elle est l’année du retour progressif des demi-dieux dans la gestion du patrimoine terrestre commun. Les demi-dieux d’aujourd’hui sont les initiés de l’ère du verseau, dotés de capacités exceptionnels pour aider les hommes qui les sollicitent à régler les problèmes de l’heure. Ces initiés modernes ont des pouvoirs hors du commun, obtenus par la grâce de Divine Providence. Ils sont prêts à intervenir dans tous les domaines de nos activités.
Lorsque nous avons fait un diagnostic lucide et objectif du système international de gestion mondiale, nous avons conclu à l’échec de nos gouvernants à pacifier les relations nationales et internationales. Les troubles et les guerres sont partout. Ils montrent tous les visages de la bête immonde appelée la dysharmonie.
L’homme ordinaire a échoué dans la redistribution plus ou moins équitable des richesses de la terre. Son action a créé majoritairement plus de pauvres économiquement en Afrique et partout ailleurs. Les exclus de la richesse matérielle apparaissent aussi de plus en plus nombreux dans les plus grands pays industrialisés, quand bien même que ces derniers ont mieux organisé leurs protections sociales. Rappelons que la base du système de gestion international, tel qu’il a fonctionné jusqu’à maintenant et tel qu’il continue, peut être décrite selon l’expression « gagner plus pour mieux vivre ». Mais gagnez quoi ? Acquérir plus de biens matériels et plus d’argent pour assouvir ses besoins matériels et moraux. Avec un tel fondement de pensée, ne nous étonnons pas que les riches ont toujours voulu devenir plus riches pour mieux dominer la vie sur terre, et les pauvres se sont toujours échinés à sortir de leurs misères pour jouir du confort matériel et temporel. C’est ainsi que le jeu de la vie est vicié par la course folle à la puissance économique, puis politique et militaire. Nous poursuivrons notre réflexion qui doit aboutir à persuader de l’inéluctable retour des demi-dieux conscients de leurs devoirs pour sauver à nouveau notre humanité.
A demain,
Jean François MANSILLA
Consultant-Formateur en Développement Global
Analyste des énergies émergentes
Email jfmans@yahoo.fr
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