Chronique n°231 : Fiction ou Réalité

Sur www.radiotokpa.net , le 22 novembre 2011, à partir de 6h50 T.U.

Bonjour,

Je partage avec vous un article signé par Chico Marcos, dans un nouveau magazine lancé ce samedi 19 novembre 2011 à Cotonou. Wokou, petit village dans les confins de la commune de Djidja (Zou, dans le centre du Bénin) conserve jalousement une grande bibliothèque humaine, d’une rare vieillesse ! Azégbonon, puisque c’est de lui qu’il s’agit est âgé de plus de 130 ans et jouit encore d’une santé solide ! S’il est commun de savoir qu’au Bénin l’espérance de vie est de 60 ans, il n’est pas non plus étonnant de rencontrer quelques fois des personnes âgées de 80 à presque la centaine.

Mais une personne de plus de 100 ans, et dans le cas d’aujourd’hui de 130 ans, est à recommander dans le livre des records de longévité car il s’agit de fait exceptionnel. Même si sa date de naissance est retombée dans l’oubli, du fait de l’imprécision et de la méconnaissance des dates de naissance, souvent attribuées à des phénomènes naturels ou des évènements importants survenus à l’époque, des signes apparents d’une grande sagesse et d’une vaste connaissance de la nature ainsi que de l’homme sont remarquables chez ce vieillard vénérable de Wokou.

L’homme qui s’appuie sur sa canne, tient encore bon gré, malgré sur ses deux jambes décharnés. Fait exceptionnel ! Son dernier-né, qui nous a d’ailleurs été présenté, est âgé seulement de 14 ans. Celui-ci étant lui-même, le fruit des entrailles de la dernière et très jeune épouse du patriarche. Comme quoi le plus vieil homme du Bénin n’a pas fini de savourer les plaisirs délicats. Interrogé sur les secrets qui le maintiennent encore en vie, le patriarche de Wokou avoue n’en avoir aucun. Un aveu suffoquant pour des jeunes reporters curieux que nous sommes. En réalité, pour Azégbonon, il est facile de passer un long séjour terrestre. « Il suffit, dit-il, de respecter les lois de la nature et de ne vouloir du mal à personne et d’aimer son prochain comme nous le recommande Dieu ».

Et d’ajouter qu’il faut « aimer la nature dans toutes ses composantes. Mais également de se faire guider au quotidien par l’honnêteté envers son prochain ». « Mais aussi et surtout de se nourrir à chaque instant de pensées positives de bien-être, de bonheur et de paix ! Il n’a pas manqué de reconnaître qu’il est un grand sorcier, d’où le pseudonyme de Azégbonon (maître des choses occultes) à lui attribué certainement par les nombreux patients qu’il a sauvés de pathologies sévères, tout en apportant une nuance : ma sorcellerie est au service uniquement du bien et du développement ». Une chose est sûre : tout béninois gagnerait à rendre visite à Azégbonon et à puiser dans son riche répertoire de nos recettes traditionnelles et de l’efficacité de son mode opératoire basé sur le Fâ en tant qu’art divinatoire et dont les mérites ne sont plus à démontrer partout dans le monde. Fin de l’article.

En tant que développeur global et analyste des énergies émergentes, je dois rappeler quelques clés de repère pour conduire un raisonnement logique, dans le but de démystifier le mystère ou autrement dit de passer de l’irrationnel au rationnel.

Premièrement sachez que tout est énergie et tout vient de l’énergie première, la source de toute vie. Et cette source est omnisciente, c'est-à-dire qu’elle contient toutes les sciences connues et non connues. Celles-ci sont dévoilées qu’aux humains qui sont prêts à recevoir.

Deuxièmement ce savoir caché est en réalité discret pour apparaître comme miraculeux ou magique selon la façon qu’on l’appréhende ; il faut savoir que cette source infinie de la connaissance est le trésor divin pour tous, donc chaque être humain y a droit.

Troisièmement le physicien Albert Einstein a montré par son théorème de la relativité que tout apprenant du livre de la nature assimile les lois naturelles à partir de son degré de conscience vibratoire. L’une des bases de la physique quantique est la loi d’attraction. Qui se ressemblent, s’assemblent. Si vous êtes vibratoirement élevé, vous attirez à vous intérieurement comme extérieurement les énergies correspondantes.

Quatrième clé pour ne pas se perdre dans l’étude du mystère. Adoptez la méthode cartésienne que je résume dans cette phrase : considérez tout ce que vous apprenez comme hypothèse jusqu’à sa vérification par une démarche logique, expérimentale. Cette méthode doit s’appliquer aussi sur la foi et sur l’irrationnel. Une fois vérifiée l’hypothèse devient connaissance applicable.

Cinquièmement, découvrez les nouveaux outils de la recherche globale. Ils découlent tous des applications de l’intuition supérieure, de ses corollaires l’empathie et la télépathie, et d’autres techniques à découvrir. Si vous associez la qualité de votre intuition à vos capacités intellectuelles et scientifiques, vous émergerez votre génie créateur du fond de vous-même pour solutionner les interrogations et problèmes auxquelles la société et vous êtes confrontés. Dans tous les cas vous aiderez à reculer les frontières du mystérieux et du mystère. Faire cela revient à conquérir la « miss » de la terre. Cette expression est l’anagramme du mot mystère. Allons à la conquête de « miss » Terre.

Sixième clé pour comprendre le possible de la longévité de Azégbonon. La Nature est parfaite à l’origine, créée ou bien manifestée par l’Intelligence divine parfaite. La nature est donc La véritable médication pour toutes les espèces cherchant à se soigner. L’être humain, créé à l’image de Dieu, doit rechercher à collaborer avec les intelligences de Dame Nature pour soigner, conserver, régénérer, et prévenir ses cellules, bref pour améliorer le don d’existence reçu à sa naissance.

J’espère que ces quelques réflexions sous les formes de clés vous aideront à admettre que tout est possible ici bas. Il ne faut rien rejeter, il faut tout vérifier en alliant logique et connaissance intuitive.

A demain,

Jean François MANSILLA

Analyste des énergies émergentes,

Consultant Formateur en Développement Global

Email : jfmans@yahoo.fr