Les enfants malades n’ont pas le moral dans l’hôpital de Quito (Equateur). Les visites régulières de leurs proches et la gentillesse des médecins ne suffisent pas à leur redonner le sourire.
Le moral allant de pair avec le processus de guérison, l’hôpital a ainsi décidé de faire venir tous les mercredis Lancelot et Juci, deux chiens qui rendent visitent aux enfants malades.
Des enfants malades désespérés : Chaque semaine, les deux toutous passent de chambre en chambre pour donner des coups de pattes et de grands coups de langues aux enfants qui sourient de nouveau.
Les enfants malades n’ont pas le moral dans l’hôpital de Quito (Equateur). Les visites régulières de leurs proches et la gentillesse des médecins ne suffisent pas à leur redonner le sourire.
Le moral allant de pair avec le processus de guérison, l’hôpital a ainsi décidé de faire venir tous les mercredis Lancelot et Juci, deux chiens qui rendent visitent aux enfants malades.
Des enfants malades désespérés : Chaque semaine, les deux toutous passent de chambre en chambre pour donner des coups de pattes et de grands coups de langues aux enfants qui sourient de nouveau.
Les deux chiens appartiennent à Veronica Pardo, une bénévole à l’hôpital : "Les animaux égayent les patients les plus découragés, en particulier ceux qui ont le plus sombre pronostic" explique la bénévole "parfois, ils ne veulent pas manger, leur maman ne leur a pas rendu visite, ils ne veulent pas prendre leurs médicaments ou ils ne veulent pas parler avec le médecin".
C’est pour tenter de redonner goût à la vie à ces enfants désespérés que Veronica vient avec ses deux gentils chiens tous les mercredis à l’hôpital.
Des chiens pour redonner le sourire aux enfants malades : Grâce aux visites de Lancelot et Juci et aux caresses que leurs prodiguent les jeunes malades, des petits miracles se produisent à l’hôpital de Quito : les enfants sourient à nouveau : "Le sourire des enfants parle. Ils leur insufflent de la vie" dit Veronica Prado.
Dana, une fillette âgée de seulement 7 ans avait un faible pour Lancelot, un Cocker américain de 15 mois. Veronica et le gentil toutou étaient alors venus lui rendre visite avant que la petite ne s’éteigne, au début du mois. Veronica raconte : "Quand elle est décédée, ses parents m’ont dit "vous ne savez pas à quel point ma fille s’amusait les mercredis"".
Les deux chiens appartiennent à Veronica Pardo, une bénévole à l’hôpital : "Les animaux égayent les patients les plus découragés, en particulier ceux qui ont le plus sombre pronostic" explique la bénévole "parfois, ils ne veulent pas manger, leur maman ne leur a pas rendu visite, ils ne veulent pas prendre leurs médicaments ou ils ne veulent pas parler avec le médecin".
C’est pour tenter de redonner goût à la vie à ces enfants désespérés que Veronica vient avec ses deux gentils chiens tous les mercredis à l’hôpital.
Des chiens pour redonner le sourire aux enfants malades : Grâce aux visites de Lancelot et Juci et aux caresses que leurs prodiguent les jeunes malades, des petits miracles se produisent à l’hôpital de Quito : les enfants sourient à nouveau : "Le sourire des enfants parle. Ils leur insufflent de la vie" dit Veronica Prado.
Dana, une fillette âgée de seulement 7 ans avait un faible pour Lancelot, un Cocker américain de 15 mois. Veronica et le gentil toutou étaient alors venus lui rendre visite avant que la petite ne s’éteigne, au début du mois. Veronica raconte : "Quand elle est décédée, ses parents m’ont dit "vous ne savez pas à quel point ma fille s’amusait les mercredis"".
Edison, un petit garçon de 8 ans dont la maladie est en recul, se réjouit quant à lui de voir Juci, un Parson Russell Terrier de 5 ans. Quand il la voit, il la prend dans ses bras et la garde serrée contre lui. "Il sait beaucoup de choses sur les animaux" explique Veronica Pardo.
La zoothérapie, une thérapie qui marche
Veronica Pardo a commencé à amener ses chiens à l’hôpital en 2005. Au début, ceux-ci restaient dans le jardin de l’établissement et jouaient avec les enfants avant que ceux-ci ne partent en chimiothérapie.
Au cours des cinq années qui ont suivi, les statistiques de l’hôpital ont montré que les mercredis, moins d’enfants avaient besoin d’être gardés à l’hôpital car ils développaient moins de problèmes suite à leur chimiothérapie. Les médecins ont également constaté que le niveau d’adrénaline des enfants en contact avec les chiens augmentait, augmentant également leur résistance contre les effets secondaires de la chimio.
Face à de tels résultats, l’hôpital a commencé à autoriser Veronica Pardo et ses chiens de rendre visite aux malades dans leur lit.
Paula qui éclate de rire grâce au chien Lancelot perché sur son lit
Aujourd’hui, à l’hôpital de Quito, tous les enfants malades attendent avec impatience le mercredi, dans l’espoir de voir la petite truffe de Juci ou de Lancelot pousser la porte de leur chambre !
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