> > > > A l'aube, comme chaque journée, la place du marché> > devient l'agora de la citée.
Proche du beffroi, juste> à> > ses pieds, un homme est couché.
Ce corps est il sans> vie?> >
L'aristocratie, sous leurs ombrelles, s'ennuie de> leur> > hypocrisie tandis que la diplomatie se fait du> soucis.> >
Sous les remparts, les chiens aboient, les calèches> en va> > et vient font le brouhaha…
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