Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai compris qu’en toutes circonstances,j’étais à la bonne place, au bon moment.Et, alors, j’ai pu me relaxer.Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle,n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mesconvictions.Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de vouloir une vie différenteet j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai commencé à percevoir l’abusdans le fait de forcer une situation, ou une personne,dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni lapersonne ni moi-mêmene sommes prêts et que ce n’est pas le moment.Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle Respect.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai commencé à me libérerde tout ce qui ne m’était pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé d’avoir peur du temps libreet j’ai arrêté de faire de grands plans ,j’ai abandonné les méga projets du futur.Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,quand ça me plait et à mon rythme.Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis renducompte de toutes les fois où je me suis trompé.Aujourd’hui, j’ai découvert l' Humilité.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude.Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir ,mais si je la mets au service de mon cœur,elle devient un allié très précieux.Tout ceci est Savoir vivre !Charlie Chaplin
Histoire de "bourriquet » L'âne au fond du puits
Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire.
Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer l'âne dans le puits.
Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu. Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.
Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !
La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais. Il ne faut jamais abandonner !
Secoue-toi et fonce !
Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
1. Libère ton cœur de la haine.
2. Libère ton esprit des inquiétudes.
3. Vis simplement...
4. Donne plus.
5. Attends moins.
Merci d'être là...
Une jolie histoire à méditer....par Christine Begay,
Au fond d'un vieux marécage vivaient quelques larves qui ne pouvaient comprendre pourquoi aucune du groupe ne revenait après avoir rampé au long des tiges de lys jusqu'à la surface de l'eau.
Elles se promirent l'une à l'autre que la prochaine qui serait appelée à monter reviendrait dire aux autres ce qui lui était arrivé.
Peu de temps après, l'une d'entre elles se sentit poussée de façon irrésistible à gagner la surface ; elle se reposa au sommet d'une feuille de lys et subit une magnifique transformation : une libellule avec de fort jolies ailes.
Elle essaya en vain de tenir sa promesse.
Volant d'un bout à l'autre du marais, elle voyait bien ses amies en-dessous.
Alors, elle comprit que, même si elles avaient pu la voir, elles n'auraient pas reconnu comme l'une des leurs une créature aussi radieuse....
Entre ce que je pense
ce que je veux dire
ce que je crois dire
ce que je dis
ce que vous voulez entendre
ce que vous entendez
ce que vous croyez comprendre
ce que vous voulez comprendre
et ce que vous comprenez
il y a au moins neuf possibilités
de ne pas s’entendre..
Mes chères cellules,
Je vous ai réunies aujourd'hui pour vous dire
que nous allons désormais changer de trajectoire.
Car jusqu'ici, nous nous sommes laissé aller à suivre un programme désastreux:
Il s'agissait de rester fidèle à la mémoire de nos ancêtres
et de prendre un petit peu de leurs maladies,
un petit peu de leurs faiblesses, un petit peu de leurs émotions,
un petit peu de leurs souffrances, un petit peu de leurs limitations.
Il eût paru indigne de s'octroyer une vie sans limites
et dans le bonheur absolu alors que tous ces gens
grâce auxquels nous détenons la vie avaient souffert,
transpiré, vécu tant de manques avant de nous transmettre
ce bien si précieux « la vie » !
Toutes ces vies antérieures
dont nous avons ramené des programmes, des mémoires,
de la culpabilité, des limitations, des handicaps,
qu'il s'agisse d'une banale myopie
ou de maladies bien plus graves physiques et psychiques, voire mentales.
Sans compter avec les entités qui partagent nos vies.
Nous faisons parfois un long bout de chemin avec elles
avant de pouvoir nous en défaire,
et nous faisons nôtres tous leurs fonctionnements négatifs
Il ne faut pas oublier les difficultés dans lesquelles
nous avons baigné depuis la vie intra-utérine :
les émotions irrémédiables vécues par notre maman
avant et pendant la conception,
soit nous concernant directement,
soit concernant sa relation avec des tiers,
les événements plus ou moins douloureux
qui ont nourri cette période de sa vie.
Et que dire de la façon parfois désastreuse
avec laquelle nous avons géré les émotions de cette vie,
et tout ce que nous avons accumulé personnellement
de colères, haines, angoisses, chagrins, culpabilités, et peurs
Si je vous ai réunies aujourd'hui, mes chères cellules,
c'est pour vous dire que nous avons les moyens de changer ces données.
Nous allons mettre en route le programme annulation
pour chacun des points précités.
A partir d'aujourd'hui
chaque cellule est investie du pouvoir d'annuler
tout programme négatif lui appartenant en propre
ou appartenant aux générations précédentes.
Chaque cellule a déjà aussi reçu
les informations positives contraires aux programmes négatifs.
Il est demandé à chacune de se repasser entièrement le film
contenu dans sa mémoire, d'annuler le programme négatif
et de recréer un programme de santé absolue et de joie intégrale.
CHAQUE CELLULE CRÉE MAINTENANT LE BIEN-ÊTRE.
Vous en êtes toutes capables.
Il suffit de vous faire confiance et de recréer le programme de base
que toutes vous avez en mémoire, je vous le répète.
Aucun échec n'est possible.
Chaque cellule recrée maintenant un programme
de perfection et de jeunesse.
Chacune de vous va retourner maintenant au moment
où toute trace de dysfonctionnement ou de maladie était encore absente.
On y retourne maintenant ; c'est très bien.
On se réapproprie le message de perfection ; c'est très bien...
Ce schéma devient désormais la réalité de chaque cellule.
Chacune de vous va maintenant repartir avec ces nouvelles injonctions.
Soit le travail est déjà fait, soit il est en route
et va se concrétiser, devenir la réalité, dans les jours,
les semaines ou les quelques mois qui suivent,
pour celles des cellules
qui ont besoin d'un temps d'intégration plus long.
Je vous remercie de votre écoute, mes chères cellules
et de l'excellent travail que vous avez
ou que vous allez fournir dans un très court délai..
Source: Mary Lequin, thérapeute en service de soins holistiques (France)
Dans une société où la compétition est de rigueur, où l'incivilité est un mal quotidien, il n'est pas aisé de faire de la bienveillance notre manière d’être permanente. Pourtant, il semblerait que notre équilibre fondamental passe par la gentillesse.
Déclarer de quelqu’un qu’il est gentil le fait bien souvent passer pour une personne bête et naïve. Ce glissement de langage commence très tôt : dès la maternelle, les parents veulent que leurs enfants soient forts, compétitifs, en un mot, les meilleurs ! Mais pour ce faire, douceur et altruisme sont bannis : « Tu vas te faire marcher sur les pieds !», « On va profiter de toi », serinent-ils. Et les enfants de se replier sur eux-mêmes, de perdre leur spontanéité à aller vers les autres, de donner en attendant un retour, en bref, de cesser d’être gentils !
Un principe universel
On assiste dans notre société, individualiste et égotique, à une augmentation sans précédent des troubles dépressifs et anxieux. Manque de chaleur humaine, absence de présence rassurante et protectrice de l’autre, effritement d’une communauté solidaire et humaine qui donne sens à la vie semblent en être la cause. Le remède ? La gentillesse, autrement dit l’attention et la bienveillance à autrui, tout cela nuancé d’empathie, qui signifie la faculté de ressentir ce que l’autre ressent.
David Servan-Schreiber, psychiatre, constate que « même si la gentillesse n’a pas bonne cote auprès des psychothérapeutes, plus on en fait preuve avec son patient, plus il progresse ». Françoise, ex-agoraphobe, corrobore ces propos : « Il y a cinq ans, sujette à des attaques de panique terribles, je ne pouvais quasiment plus sortir de chez moi. Je suis allée consulter un psy comportementaliste. Il me pressait : il fallait que je fasse des efforts, que j’arrête de m’apitoyer sur mon sort, que j’accepte mes symptômes. Je l’ai vu pendant plus d’un an. Il n’arrêtait pas de me pousser dans mes retranchements, ne faisant preuve d’aucune douceur ni gentillesse. J’avais toujours l’impression de ne pas en faire assez. Résultat, je n’ai pas avancé d’un iota. Jusqu’au jour où j’ai décidé de changer de psy. Le nouveau était tout l’opposé de l’autre : il m’encourageait, me félicitait, me donnait confiance en moi en dédramatisant les choses. En moins d’un an, je me suis totalement débarrassée de ma phobie ! »
La gentillesse, faite de présence sincère et altruiste, constitue un excellent rempart contre bon nombre de maladies. Par opposition, la solitude est mère de bien des maux. C’est ce que montre une étude menée sur près de trois mille personnes(1) : les personnes seules ou mal entourées souffrent de deux à trois fois plus de maladies : arthrite, infarctus, crise cardiaque, cancer, problème pulmonaire. D’autres recherches indiquent que pour retarder l’évolution des maladies neurodégénératives, il faut multiplier les liens, les interactions et rester ouvert sur le monde. Enfin, deux études, l’une suédoise, l’autre finlandaise, concluent que le risque de mortalité précoce est entre trois et quatre fois plus élevé lorsque les personnes souffrent de solitude.
L’écrivain Aldous Huxley déclarait : « On me demande souvent quelle est la technique la plus efficace pour améliorer sa vie, il est un peu embarrassant d’avouer après des années de recherches et d’expérimentations que la meilleure réponse est : soyez juste un peu plus gentil. » Le Dalaï-lama, qui proclame que « [sa] religion est la gentillesse », partage bien évidemment cette analyse. Un principe universel !
La bienveillance propice à la productivité
Il en va de même au travail. Le fait d’être gentil permet des collaborations fructueuses. Forte de ce constat, Juliette Tournand a élaboré une méthode développée dans un livre, La stratégie
de la bienveillance. Elle s’est, en effet, aperçue que les
rapports de force si prégnants dans le monde de l’entreprise créaient des tensions et se révélaient finalement improductifs. D’où la nécessité pour les responsables d’entreprise d’établir des échanges, qualifiés de « gagnant-gagnant », basés sur l’écoute de l’autre et
l’acceptation des diverses personnalités. Christophe, commercial, raconte son expérience : « Il y a quelques années, je travaillais dans une société où seul le profit comptait. Peu importait que les employés travaillent en bonne harmonie ou se sentent bien. Il en fallait toujours plus. Et notre chef d’équipe s’arrangeait pour nous mettre en compétition les uns avec les autres.
L’ambiance était devenue tellement exécrable que les salariés ne restaient jamais longtemps. Entre-nous, je me demande comment j’ai fait pour tenir le coup. J’étais exténué et démotivé. Le turn-over ne facilitait pas la productivité. Loin de là : nous n’arrivions jamais à atteindre les objectifs ! » Le chef d’équipe a changé : « Le nouveau s’est révélé être une personne extrêmement gentille, très à l’écoute de nos besoins, de nos soucis et qui ne faisait pas cas de sa position hiérarchique. En quelques mois, la situation de l’entreprise s’est considérablement améliorée, au niveau de l’ambiance et des résultats ! »
À cette époque des vœux, un seul et unique souhait : que l’an neuf vous apporte santé et gentillesse !
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