Commentaires bienvenus

Commentaire de NITA le 21 août 2011 à 16:12

S'éveiller

Se r'éveiller de ce je_u dans lequel  'je' s'enferme !

Nita

Commentaire de NITA le 21 août 2011 à 16:07

Nous' sommes tous eveillé(e)s !

Il ne reste qu'à 'se' r'éveiller !

Nita

Commentaire de NITA le 10 août 2011 à 16:14

Bonsoir Présence

 

N : Le moment est grave !

 

Ah ?

 

N : Oui je veux m’éveiller tout de suite

 

Ouah enfin !

 

N : Alors comment faire ?

 

Ne rien faire tout est là, Etre seulement

 

N : Etre seulement ? Mais je suis déjà !

 

Oui tu es Nita, tu es une femme, tu es présente….

Mais là ce que je te demande c’est d’Etre et c’est tout

 

N : Exister seulement ?

 

Oui est encore la notion d’existence se réfère à quelqu’un

 

N : Exister sans être quelqu’un ?

 

Oui exactement

 

N : Curieux c’est comme un switch sur la Vie

 

Exactement !

 

N : Alors la Vie c’est moi ?

 

Non là encore tu t’identifie à un moi. Etre Vie

 

N : Ouah alors là oui ca switche direct ! La Vie et Rien d’autre ! La vie et Tout !

 

N : Laisser la vie Etre, c’est ça ?

 

Oui exactement !

 

Source : http://presence-eveillee.over-blog.com

Commentaire de Bruno Sons et Trager le 30 Juillet 2011 à 10:46

Moi aussi! L'unicité me fait défaut, je me perds dans mes duels mais me retrouve, l'un dans l'autre....

Commentaire de NITA le 28 Juillet 2011 à 12:34

L'émoi du moi

Mon unique souffrance
Est de ne pas être moi ;
De sentir, parfois,
Un décalage
Entre ce que je suis et moi.

Ma souffrance résulte de ce décalage.

Mon unique souffrance est de ne plus me sentir un.
Ne plus me sentir un est mon unique souffrance.

Le remède ?

Redevenir un.
Redevenir moi.

Moi – Un

Comme lorsque j’étais enfant.

Enfant,
Je percevais le monde sans en être le centre.
J’étais le monde.
L’éclair de la vérité
M’a rendu aveugle,
Il a fermé mon œil unique, 
Mon œil magique.

Et depuis lors je vois
Avec les deux yeux de l’autre. 
Je me crois né dans le monde
Autre que moi.
Car me voilà deux moi depuis :
Moi-moi et moi-autre,
Un « moi-un »
Un « moi-deux »

Un moi-un du côté de moi
Un moi-deux du côté du monde.
Un moi, un en deux
Deux moi, deux en un.

En vérité
Je suis le roi du paradoxe.

Ma main droite brandit
Le sceptre de la dualité.

Dans ma main gauche
Repose la coupe de l’unité.

Sur mon absence immémoriale de tête
Resplendit la couronne incréée
Du Rien-Tout souverain.

Je suis le roi du paradoxe.

Parfois j’en ris,
Parfois j’en pleure.

J’en ris du côté du un,
J’en pleure du côté du deux.

Du côté du un
Je suis fasciné par le deux
Et je m’y perds.

Du côté du deux
Je suis aspiré par le un
Et je m’y trouve
M’y perdant.
Ainsi, moi, je suis.

Et l’autre dans cette histoire ?

Ce qui me touche en l’autre
Est l’écho
De cette même unique souffrance.

L’autre ?
C’est très simple :
Un + deux = toi.

L’autre ?
Il est exactement dans la même situation 
Que moi.

Comment pourrait-il y avoir
Deux moi ?

L’autre
C’est moi,
Moi-deux à nouveau,
Moi dans le moi-deux,
Dans le moi-doute,
Dans le moi qui doute de moi.

Sans doute
Il n’y a plus que moi
Moi en tout
Moi en moi partout.

Moi 
Sans aucun autre moi
Que moi.

- un poème de Richard et Bantcha

Commentaire de NITA le 25 Juillet 2011 à 13:58

Si je cesse de m'identifier à ce corps, les objets cessent d'être perçus par ce même corps, ils Sont comme ce corps dans Ici et Maintenant  

Si je cesse de percevoir ce corps,  où suis je ?

Je Nous Aime

Nita 

 

Commentaire de Bruno Sons et Trager le 21 Juillet 2011 à 16:28

Bien heureux aussi de rejoindre ce groupe...

Commentaire de Marie K. le 15 Juillet 2011 à 12:56

Merci chère Nita pour ces très beaux textes!

Et aussi pour les coquelicots, qui sont ma fleur préférée et qui portent

"mon rouge".

Je suis très heureuse de rejoindre ce groupe.

Bisous.

Marie

Commentaire de NITA le 4 Juin 2011 à 14:40

 

Et une belle méditation :

Visualisez dans votre esprit un champ de coquelicots rouges

Ensuite retirez les coquelicots de votre esprit

et restez avec la couleur rouge

Ensuite retirez le rouge

et restez avec ce qui reste en l'absence de rouge

on s'approche ainsi de la Lumière Pure ! qui n'a pas encore pris forme (à la source de la création de la pensée...)

 

Je Nous Aime !

Commentaire de NITA le 2 Juin 2011 à 14:41

Questions / Réponses avec Jean Marc Mantel

"Seule une personne peut voir ou sentir la présence ou l’absence d’une autre.
C’est la personne ici, qui projette une personne là bas
Lorsqu’il n’y a personne ici, il ne peut y avoir quelqu’un là bas non plus
Lorsque cette projection n’existe plus, il n’est pas possible de dire ‘je ne suis pas ici mais vous êtes encore là" (texte emprunté à un 'non dualiste' : JF)

 

 N : Quelle différence y a t-il entre le corps mental, le corps physique et la personne ?

 

JMM : Tous trois sont perçus par la même conscience. Pour la conscience, il n'y a pas de différence entre une chose et l'autre. Tout est en elle. Sur le plan phénoménal, la personne est un concept mental. Elle est donc une pensée. Elle fait partie du corps mental, bien qu'elle puisse s'exprimer par ce biais au niveau du corps physique.

 

N : Puis je 'dire' également si il n'y a pas de corps mental ici, il n'y a pas de corps mental la bas, si il n'y a pas de corps physique ici, il n'y a pas de corps mental la bas ?

 

JMM : Explorez votre relation avec votre corps-mental. Vous pouvez le percevoir, le sentir, le décrire. Ce constat vous ramène à vous-même, qui ne peut être inclus dans ce que vous observez. Vous ne pouvez observer que ce que vous n'êtes pas. Si vous n'êtes pas identifiée à votre corps-mental, vous ne limitez plus les êtres alentour à leur corps-mental, bien qu'eux continuent à s'y identifier. Ce n'est donc pas l'existence ou la non-existence du corps-mental qui est ici en cause, mais l'habitude de s'y identifier. C'est cette identification qui génère la souffrance, la peur et la solitude. C'est cette identification qui est remise en cause par l'investigation éclairée, qui se tourne vers le "qui" et néglige le "quoi".

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