1er réseau francophone de l'épanouissement et du bien-être
Se libérer
Être libre, c'est être maître de soi-même...
La liberté intérieure, c'est d'abord l'affranchissement de la dictature du "moi" et du "mien", de l'"être" asservi et de l'"avoir" envahissant, de cet ego qui entre en conflit avec ce qui déplaît et tente désespérément de s'approprier ce qu'il convoite.
Être libre dedans revient donc à s'émanciper de la contrainte des afflictions qui dominent l'esprit et qui l'obscurcissent.
C'est prendre sa vie en main, au lieu de l'abandonner aux tendances forgées par l'habitude et à la confusion mentale... ♥
(Matthieu Ricard)
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Réponses à cette discussion
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Lien permanent Réponse de Lovyves le
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Bonjour à Tou(te)s
Hummmmouaaaais !
Là Stéphane .. tu t'es lâché !!!!
Un peu de réalisme .. ça libère ! -
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Lien permanent Réponse de Clarine Faure le
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je suis d'accord avec cette phrase… oui, mais
Qui servons-nous ? Qui prions-nous ? Qui admirons-nous ? Qui aimons-nous ?
Avons-nous conscience de "nos choix", de nos engagements comme de nos chaines ?
La liberté passe parfois par le glaive : savoir couper avec l'ancien pour le renouveau
puis on apprend à arrondir les angles du tranchant…
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Bonsoir à Tou(te)s
Aîe, aïe !
"oui, mais" !!
Tout comme le feu et l'eau : deux mots qui ne font que maux en ménage !
Cependant, je voudrais pas laisser notre Amie Clarine, sans réponses à ses questions :
Qui servons-nous ?
Les clients quand je suis garçon de café.
Qui prions-nous ?
Brahma la guerre et Vishnou la paix, pour ne pas faire d'histoires.
Qui admirons-nous ?
Moi, quand je me regarde dans un miroir; j'évite l'eau, car la noyade est possible..
Qui aimons-nous ?
Moi, j'aime tout le monde, je ne souhaite pas faire de jaloux(se)(s).
Avons-nous conscience de "nos choix", de nos engagements comme de nos chaines ?
Toujours, à la télé, j'ai une certaine exigence, qui est d'une exigence certaine, dans le choix des chaines.La liberté passe parfois par le glaive : savoir couper avec l'ancien pour le renouveau
puis on apprend à arrondir les angles du tranchant…
!!!???
Moi qui pensant que Clarine, était aussi, comme moi, une adepte de la secte des non violents !
Ben ! Vu mon ancienneté ! je crains le pire, la prudence m'incite à éviter la Bretagne.
Peut être que je devrais me sacrifier, car vu la dureté de mes os, l'épée de Clarine sera moins tranchante après. -
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Arrête ton char, Ben Hur, "le glaive" est symbolique bien sûr. Quoique bien réel !
Le glaive transperce comme l'épée, c'est une arme de pénétration. Il tranche: c'est une arme de décision. Il est l'instrument de la vérité agissante, il ose trancher le vif du problème.
Il peut sembler être le seul moyen de résoudre un problème mais le côté nocturne du symbole en fait une arme illusoire. Trancher n'est pas résoudre, c'est une solution apparente et éphémère, volonté d'un résultat immédiat alors que la sagesse recherche un résultat durable.
C'est le cas du noeud gordien tranché par Alexandre d'un coup de glaive. Alexandre devint maître d'une partie de l'Asie mais il la perdit très vite.
(source N°1 : http://www.cleomede.com/article-21810510.html)
La lumière brille au bout du tunnel « Après la Réalisation, le canal central ou Sushumna Nadi est ouvert et permet l'ascension spirituelle. Dans le Hadith, la voie du Milieu est appelée Sirat al Mustakim.
Pour entrer dans le septième ciel, l'étape à franchir est appelée le Pul-Sirat et est décrite dans le Hadith comme un pont "plus aiguisé qu'un sabre et plus fin qu'une mèche de cheveux".
Ce pont est appelé dans le yoga, Agnya Chakra (3e oeil) et le pardon est la qualité de ce centre, qui en permet l'ouverture et permet d'accéder au septième centre. »
(source N°2 : http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100528100620AAR5CeG)
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Lien permanent Réponse de Minoucha le
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"La liberté n'est pas l'absence d'engagement, mais la capacité de choisir." (Paulo Coelho)
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Bonsoir à Topu(te)s
Nous allons pas nous arrêter en si bon chemin (ou cheminement) et bonnes compagnies (ainsi se forment les "grandes compagnies" !):
.. ma capacité de choisir .. entre 2 soumissions ou 2 prisons.
Mais, qu'importe la soumission choisie ou la prison, du moment que je suis heureux !
La liberté n'était, et n'est toujours qu'une illusion de l'avoir, du choisir… un loisir en quelque sorte.
Le bonheur donne la liberté, la joie d'être; que je sois à l'extérieur ou à l'intérieur des barreaux de la prison des autres ou de la prison, dans laquelle je me suis engagé. -
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Il est bon de se poser des questions sur soi-même car c'est la remise en question qui sauve.
Quelles sont mes défauts ? Mes qualités ? Mes atouts et mes faiblesses ? (On peut lire toute l'astrologie de sa naissance dans toutes les astrologies de la planète, cela aide à s'étudier humblement.) Quelles sont mes dépendances et mes influences ? Quelles sont mes chaines ? Ai-je raison de vouloir m'en libérer ?
Quel est mon projet de vie ? Comment vais-je y arriver ? Avec qui ? Quel éthique est la mienne ? Qui est d'accord avec moi ? Qui est contre moi ? Pourquoi ?
Quelle est ma place ? Quel est ma voie ? Qu'est-ce que je ne veux pas ?
Ce que j'aime Etre, Là est ma voie…
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Pas de liberté sans justice, pas de justice sans vérité, pas de vérité sans amour.
La simplicité serait de croire Amour = Vérité = Justice = Liberté. Et bien : c'est l'exacte réalité, tout est li-é.
Rester fidèle à sa conscience n'est pas toujours facile… Faudrait savoir dire non, et aussi savoir dire un vrai oui…
Dieu seul est parfait, Dieu seul est fidèle, Dieu seul est saint.
La route ? Etre appliqué à évoluer en conscience avec humilité, et donner autant que l'on reçoit.
"Tout ce qui n'est pas donné est perdu". (citation ?)
"A ceux qui ont beaucoup reçu, il sera demandé beaucoup" (La Bible)
Sur le sujet de "la liberté d'être", j'aime bien :
"les 3 R du Dalaï Lama" : Respect de Soi, Respect des autres, responsabilité de tous ses actes".
C'est, il est vrai, une base solide pour trouver "la liberté d'être", synonyme d'épanouissement…
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Est que, au moins une fois Dieu, pourrait parler directement sur Epanews, sans avocat(e) !
Car j'ai la fâcheuse habitude, de ne jamais donner raison aux absent(s).
Et de ne même pas le(s) prendre en considération.
J'aime bien parler directement avec des gens qui ont un nombre limité de qualités, ceci me parait plus humain, et très respectable. -
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Dieu est là, partout, Il n'a pas besoin d'avocat(e) pour Etre.
La générosité et le courage de ceux qui osent partager leur foi devient leur martyre…
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… Leur Martyre … Si ... il (elle) (s) ne martyrisai(en)t les autres avec leur foi.
Est il possible de se parler, sans évoquer ses croyances !?
De se libérer de ses croyances, juste pendant le temps de parler à un autre humain !!! -
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mais oui bien sûr !
mais ceux comme toi qui provoquent la discussion sur ce sujet
sont les premiers à mépriser ensuite tout le contenu.
En quoi je te martyrise, cher ami, en te parlant de ce que je connais de Dieu ?
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