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Lien permanent Réponse de Lovyves le 16 Février 2012 à 9:03

Bonjour à Tou(te)s
Il paraît que la plus grande des libertés, c'est de ne rien devoir à personne" !?
Par rapport à une question philosophique, être d'accord ou pas d'accord est sans intérêt, et même antiphilosophique !
La réponse oui ou non, ont un grand nombre d'arguments, et, rationnels, évidement.
Rien que la question pose problème : "il parait"
D'où vient ce "il parait" ?
Quelles valeurs a t'il ?
Peut on le prendre en considération !?
Si oui, alors il s'annule, il disparait, et la question devient :
" La plus grande des libertés, c'est de ne rien devoir à personne" !
Les mots sont, souvent des "sépulcres blanchis" !

je vous redonne la parole .. par des mots !

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Lien permanent Réponse de THERAPY BIEN ETRE le 16 Février 2012 à 18:09

Quand je dis être d'accord ou pas, ce n'est qu'un échange entre membres d'Epanews, ce n'est pas un cours de philo. Chacun a le droit de s'exprimer et peu importe les opinions des uns et des autres. Ce qui importe, c'est d'échanger,....

Alors, la plus grande des libertés, c'est de ne rien devoir à personne ? Tu n'as pas répondu. Pour ma part, je dirais oui et non car nous sommes tous reliés les uns aux autres et il est donc difficile de ne pas dépendre de quoique ce soit, et d'un autre côté, il est vrai que moins tu es dépendant de quelqu'un ou d'un événement, et plus tu es libre.

Mais la vraie liberté existe t'elle ?

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Lien permanent Réponse de Chantal Hoedts le 16 Février 2012 à 17:35

"Ne rien devoir à personne" .Au présent?..On doit la vie à ses parents!..etc..!Il faudrait redefinir tous les mots pour se mettre d'accord.Tout un programme.

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Lien permanent Réponse de THERAPY BIEN ETRE le 16 Février 2012 à 18:09

C'est vrai que nous devons la vie à nos parents, mais dans notre vie de tous les jours, les uns avec les autres ????

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Lien permanent Réponse de Lovyves le 17 Février 2012 à 15:57

Bonjour à Tou(te)s
Cher(e)s Ami(e)s
Sans jouer au philosophe, vraiment pas utile !
Voici ce qui se passe dans la vie de tous les jours :
Entre ce que je pense, et ce que j'écris, il y a une différence; entre ce que j'écris et ce que l'autre lit, encore, une différence, et entre ce que l'autre lit et ce qu'il comprend, une nouvelle différence !!!
Ce qui est une évidence pour moi, est souvent énigmatique pour l'autre.
C'est un constat, simple; et souvent matière à incompréhension !
Je ne doute aucunement de ta sincérité et bonnes intentions Chère cristalviolet ; une question comme :
"Il paraît que la plus grande des libertés, c'est de ne rien devoir à personne".
N'exclut pas implicitement le passé.
Et c'est justement là, la définition des mots, tout ce qui n'a pas été dit, n'est pas exclu.
Je sais , je peux paraitre "couper les cheveux en quatre", mais le mot (paraitre) le signifie, il n'est pas la réalité.
S'exprime, clairement, simplement, directement ... nos parents et éducateurs ne nous l'ont pas appris; c'est même le contraire, et de manière sournoise.
Dont soyons indulgents entre nous et entraidons nous autant que nous le pouvons, pour sortir de ce piège qu'est la communication biaisée.
Encore une fois, pas besoin d'être philosophe, juste un peu de conscience, voire, éventuellement, un peu de remise en cause sur ce que j'exprime, et surtout le BCBG commun.

" Alors, la plus grande des libertés, c'est de ne rien devoir à personne ? Tu n'as pas répondu."
OK, je vais y répondre;
Mais, avant, encore une critique (je suis patenté pour ceci) !!!
Tu écris : "Pour ma part, je dirais oui et non car nous sommes tous reliés les uns aux autres et il est donc difficile de ne pas dépendre de quoique ce soit, et d'un autre côté, il est vrai que moins tu es dépendant de quelqu'un ou d'un événement, et plus tu es libre."
C'est un bon exemple, de notre éducation, "domestication" en langage des accords toltèques !
"oui et non" !
Oui, en démontrant que nous sommes reliés, très bien, bon argument.
Non, nous sommes dépendants des uns et des autres, très bien, bon argument aussi.
Mais quel est le lien (articulation) entre "relié" et "dépendance" !?
Sont ils synonymes ou que l'un n'implique pas l'autre !?
Je joue, uniquement, à s'interroger sur la teneur de ce que je dis et de son implication, par rapport à soi et aux autres !

Ma réponse à la question : Non !
Des devoirs, j'en ai, uniquement ceux que je me donne, c'est ma liberté, en quelle sorte.
Les devoirs qui viennent de l'extérieur, sont des dictatures (quelle que soit leur forme).
Ne rien devoir à personne, c'est réduire le liberté de l'être (humain) à des choses, du matérialisme.
La plus grande des libertés : c'est d'être.
Etre ce que je veux au moment où je le veux, hors des contraintes physiques.
Autrement dit: être un impertinent personnage au milieu d'un troupeau "domestiqué" !
Aimer son prochain ou lointain, quelles que soient les circonstances (accord ou désaccord, par exemple) .. est, jusqu'à preuve du contraire, d'une impertinence, immense .. généralement criminel en ce monde !

Plus généralement: la liberté physique : très limitée, donc pas libres.
La liberté mentale : illusion de liberté, mais nous ne sommes que le produit de nos parents et éducateurs et, ensuite, des choix que nous faisons.
Donc, liberté très limitée, nous sommes libres réellement à l'intérieur "d'une case" des pensées (toutes les pensées des humains vivants et ayant vécus), donc pas libres.
Et, le plus grave : c'est qu'à l'intérieur de la cage des pensées, nous nous interdisons une grande part de liberté, à cause de nos croyances.
je n'ai pas de liberté, je n'ai que des choix, nuance .. énorme !

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Lien permanent Réponse de THERAPY BIEN ETRE le 17 Février 2012 à 17:43

La plus grande des libertés c'est d'être, au moment où je le veux, c'est vrai et idéal mais dans le monde dans lequel nous vivons, crois-tu que nous "PUISSIONS ETRE QUAND ON LE VEUT" puisque nous sommes assujettis à notre environnement que nous le voulions ou pas et que c'est c'est surtout le Paraître qui compte.....

S'il y a des personnes qui veulent partager ce sujet passionnant, alors à vos plumes....

Cristalviolet 

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Lien permanent Réponse de Mathieu Christol le 17 Février 2012 à 23:25

Je pense que la vie est un constant tissage d'échange et de dettes que lon doit ou qu'on nous doit même si on cherche pas à les récupérer...

Combien de poulet de vaches de pomme de terre de carotte d'épinard j'ai consommer n'ai je point des dettes en vers elle ?

Combien de personnes à qui j'ai rendu je ne sais quel service et qui se sent redevable alors que je ne me suis pas aperçu de mon acte et vis et versa par exemple Jean Yves Leloup ses écrits m'ont beaucoup apporter oui j'ai acheter les livres mais ce que cela m'apporter !!!

Je vois en cela aucune tension bien au contraire une conscience de l'interdépendance et une liberté de me mouvoir entre dépendance et indépendance devoir et droit MMMMh une jolie danse quoi !!!

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Lien permanent Réponse de Lovyves le 26 Février 2012 à 20:38

Bonjour à Tou(te)s
Les plumes seraient elles sèchent !?
Merci, Mathieu, pour ce commentaire, qui me permet, une fois de plus, de prendre conscience des déséquilibres de notre "éducation".
"La liberté, c'est de ne rien devoir à personne" !
Donc, je serai libre quand je serai mort !
Là, je serai un créditeur pour les vers.
Car, si je ne veux pas avoir de dettes envers les animaux, les plantes, je me dois d'arrêter de manger.
Si je fais des échanges, je ne contracte pas de dettes, sauf déséquilibre de valeur !
Mais la valeur marchande d'une chose ou la valeur d'une aide morale doivent elles être obligatoirement mesurables !?
Un livre à un prix, excellent échange.
Ai je intérêt à l'acheter ?
C'est un risque que je prends; je gagne ou je perds, c'est mon affaire; l'autre a eu "son salaire".
La liberté, est, possiblement, le libre échange; sans toujours y mettre une équivalence de valeurs marchandes ou morales.
Peut être, que moins je suis apothicaire, plus je suis en liberté.
Qui aime bien, ne compte pas les biens.
Je n'ai pas demandé à venir ici.. bas !
Je ne dois rien à personne, encore moins à mes parents, c'est eux qui ont comblés leur désir ou besoin.
Mais, que c'est beau d'être là, en communications, donc en échanges ... alors dansons librement !
Tout ce que nous faisons, nous le faisons par intérêt; mais il est, sans doute, intéressant de ne pas compter les intérêts des échanges, pour se libérer des dettes que je n'ai pas faites.

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