J'ai donc compris ce moi-ci que la colère quand elle est exprimée, ça libère, c'est sain, on évite de somatiser... ma question est la suivante :
Est ce que la colère quand elle est exprimée, devient quelque chose de négatif dans l'atmosphère que quelqu'un peut absorber malgré lui ? Quand on envoie de l'amour à la Terre, où à quelqu'un qui en a besoin ou à qui veut bien en recevoir, cet amour il est reçu... mais qu'en est t il pour la colère ?
A cette question si la réponse est oui il y a bien quelque chose dans l'atmosphère et qui peut être absorbé par quelqu'un, alors comment peut on faire : 1- pour éviter d'atteindre ou de blesser autrui et 2- pour s'en protéger ?
Est ce qu'en exprimant de la colère, on ne risque pas de laisser davantage de place à son crocodile, à son saboteur ?
Quand on ressent de la colère et qu'on devient compatissant, n'est ce pas enfermer sa colère dans un coffre ?
Merci d'avance d'avance pour vos réponses
Tags :
La discussion est close. Vous ne pouvez plus y répondre.
Bonsoir à Topu(te)s
Cher Nirvan
Je suis en accord, très fort, avec toi : redonner leur véritable sens aux mots.
Moyen primordial pour avoir une parole impeccable.
Suis je conscient de ce que je dis, à tous moments !?
Hum !
Et, tu donnes un exemple intéressant.
Ceci est très important pour s'exprimer, et se faire comprendre facilement.
Cependant, ceci n'est pas toujours respectueux pour l'autre.
Lorsque je suis en discussion, la règle, même, en débat philosophique socratique, la signification précise des mots n'est pas de mise, voire sans intérêt.
C'est la signification donnée par la personne émettrice qui compte, et uniquement.
Lorsque j'écoute l'autre, seul "son monde", son lexique comptent; est notre référence, et l'on discute sur sa référence, parfois je peux avoir besoin de lui demander ce que veut dire telle ou telle chose pour lui.
Mais l'autre est "la référence", bien plus que la signification des mots de la langue française.
Alors, il me semble, que c'est la situation dans laquelle je suis qui est importante pour être dans le respect strict ou pas de la signification des mots.
Lorsque je parle, je me dois de "peser" les mots.
Lorsque j'écoute l'autre, je prends en compte la signification de son discours !
Qu'en penses tu, de ... ma vision des mots ?
Rire ! Et oui tout cela peut évité la colère rire
Juste pour mettre le sujet à nouveau dans le thème du forum
Je sais que ce n'ai pas le sujet si tu ouvre un forum Mouvement Raël.
Là j'aurais des questions et je serais contant de partager avec toi ...
Mais ce forum n'est pas le lieu
:)
J'aime beaucoup ce que tu dis , pour ma par l'énergie de colère ou de violence je la décharge en moi, du mois mon âme ou dit autrement dans moins soit
Cette strate de moi-même et si spacieuse quel l'acceuille sans difficulté , ce qui évite que je la face vire à un arbre même si la solution est sympa aussi, de plus mon "âme" reçoit transforme et m'enseigne sur cet énergie comme ...
J'ai une image
Prennons pour l'image de la colère/violance un gros chien, pour mon moi ordinaire un enfant pour mon âme le parent et propriétaire du chien.
L'enfant entre dans la pièce où le chien pas habituer grogne et ce braquer conte le chien prêt à attaquer :
L'enfant à peur le chien attaque
L'enfant continue de s'approcher il prend le risque de se faire attaquer (peut être qu'avec la proximité le chien se calmera !!!)
Enfin solution que je choisie l'enfant regarde le parent qui arrivé immédiatement appeler par le danger
Là Le parent prent l'enfant dans les bras , caresse le chien les présente l, le chien sent l'enfant , l'enfant caresse le chien , le chien de vient le meilleur protecteur du monde car le chien c'est qui est l'enfant fils de son maître...
Le chien attaque seulement la où il sent le danger comme la colère et la violence...
Si l'enfant est en résonance avec le parent , alors parent/enfant seront "dresser" le chien qui les protègera tous les deux !!!
Voilà pour moi au niveau de ma gestion du coup ma colère/violence devient en moi une force énorme si je suis en danger.
Et j'aime beaucoup cet énergie qui fait de moi quelqu'un de très confiant en la vie et surtout en vers l'inconnu
Avec toute mon amitié spirituel
Mathieu
Dans le magnifique livre de madame Anne Givaudan "Formes-pensées", Madame Anne Givaudan raconte une expérience étonnante concernant la colère. Une expérience qui décrit un "phénomène", pouvant apporter une réponse à votre question. Je vous invite à consulter ce livre. Je pourrai entrer dans le détail, mais Madame Givaudan, dans ce livre, dit, en mieux, ce que j'ai dans l'esprit. Et c'est très agréable de sentir la force que les mots qu'elle utilise peuvent diffuser dans nos coeurs.
Je suis fan, vous l'aurez compris. Et pourquoi pas... Mais non pas tant parce que j'ai l'habitude d'être fan, en vérité. C'est plus simple que ça : Madame Givaudan, je la trouve convaincante. Car elle est entré dans le monde de l'astral avec les ressources qui sont les siennes et en a rapporté de précieuses informations. Comme d'autres, me dirait on. Je suis sensible à la prose de Madame Givaudan. Revenons à votre question.
Votre question me semble être le noeud d'un principe dont il est important de tenir compte : où va la colère lorsqu'elle est exprimée ? Pour ma part, quand j'ai lu ce livre (formes-pensées le Tome 1) j'avais déjà compris que la colère est une matière, de la matière brut, forte, produit de notre personnalité. Merveilleuse personnalité, qui nous fournit, en vérité, le carburant. Oui, le carburant. Car dès que j'ai considéré la colère, l'agacement, l'exaspération comme une matière, il n'était plus nécessaire de la combattre, déjà, d'une, ce qui était agréable, et en outre, il devenait possible de s'appuyer sur cette matière pour manifester l'Amour. Tout de bon. La colère, l'agacement, la tristesse, le désespoir, la peur, toutes ces émotions, tout ce merveilleux carburant... Transformé. Oui, transmuté. En Amour. Pur. De retour vers la Substance universelle. Et voilà ! Retour vers l'infini.
Bonne journée à vous. Et bonne route. Chercher, c'est comme courir de nouveau après un éclair. Il faut du temps entre deux éclairs, il faut être prêt quand celui-ci s'en vient.
Oyhan Labat
bonne journée ensoleillé dans le Var, sous le signe de Saturne, autour du monde.
Oyhan
Oh je viens d'écrire mon point de vue sur la solution proposer par Phillipe et maintenant je lis ton message merci pour ton témoignage qui est si complémentaire au mien du moins je trouve
Donc merci toi et Madame Givaudan !
bonne continuation ! et surtout, bonne continuation !... Hi hi hi
Merci pour ces précisions, je suis plutôt d'accord avec vous et merci d'aborder cet aspect. Par contre il me manque un élément pour comprendre... : quand la colère est libérée... comment peut elle être transformée en amour dans l'univers ? elle nourrit un égrégore ?
Bonsoir Chère Carole
Jusqu'à preuve du contraire, pour un rationaliste .. ouvert :
Un égrégore (énergie dans l'espace), n'a aucune influence tant que la matière ne l'attire pas.
Donc, si une personne libère l'énergie de sa colère, celle ci est sans effet, tant qu'aucune personne ne la reprend à son compte, être affecté par la colère émise par autrui.
Donc, il est mieux pour soi, d'abord et pour tout l'univers de ne pas se mettre en colère.
Lorsque j'ai libéré ma colère, alors l'univers (les autres, ici, ailleurs, dans le temps et l'espace) sont responsables de la reprendre (refaire vivre) ou pas.
Les égrégores, je me permets de les "filtrer" !
Les étoiles filantes .. je les laisse filer !
Ok, c'est un point de vue, mais il me semble que qn parmi les réponses ici a écrit le contraire et que ça renforçait l'égrogore, ( via forme pensée)... bon, je n'ai pas spécialement d'avis la dessus, je n'ai pas expérimenté la chose !
Une chamane disait un jour dans une conférence, que la colère doit être exprimée d'abord à la Terre (à la Mère) et ensuite au ciel (au Père) qui eux sauront quoi en faire... ben ça, ça me parle... puisqu'après tout quand on voit un enfant en colère qui n'a pas reçu notre éducation sur la bienséance, il va taper des pieds au sol, gesticuler dans tous les sens, crier... sa colère... ensuite il va se sentir mieux... instinctivement les bébés savent, c'est seulement une fois que nous sommes en âge de comprendre, que nous nous plions aux règles de notre culture... mais est -ce que c'est juste ? notre éducation nous apprend à rester poli, à maîtriser nos émotions, à ne pas blesser l'autre... n'est_ce pas réprimer sa colère... ne devraient t on pas réapprendre à gesticuler, taper des pieds, renvoyer sa colère à la Terre et au Ciel... en attendant de trouver la paix intérieure?
Bonjour à Tou(te)s
Ô Carole ... !
NO problème, chacun pense et croit ce qu'il veut.
je ne suis pas chaman(e), et la Terre et le ciel ne m'ont jamais parlé.
Au sujet des chaman(e)s, n'ayant pas de diplôme, je laisse parler une personne, qui dit ceci :
" Les anciens chamans utilisaient des plantes hallucinogènes, comme le peyotl, pour déformer les perceptions du cerveau afin de nous aider à prendre conscience que nous rêvons. Mais imaginons notre cerveau comme un ordinateur parfait. Si nous versons une tasse de café dans un ordinateur, nous comprenons ce qui se passe quand le cerveau humain est sous influence de drogues hallucinogènes : il se produit tout simplement des dysfonctionnements. La perception n'est plus parfaite; les couleurs se mélangent, la stabilité varie et tout d'un coup, il est évident que le cerveau fonctionne d'après un programme : il rêve.
D. M. Ruiz, page 76 "pratique de la voie Toltèque".
Quant aux bébés qui savent !?
je suis très circonspect.
Je ne suis pas sûr que l'enfant loup était plus intelligent que nous tous, domestiqués par nos diverses "éducations".
D'autant plus que je me fais fort d'être très impoli.
Et je vous le prouve :
Je suis toujours surpris par des propos tels que :
"OK, mais ..." !
"Je n'ai pas d'avis, mais ceci me parle" !
En tant que manant, pour moi l'impolitesse est une forme d'expression de l'amour.