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Que pensez vous de la colère ?
J'ai donc compris ce moi-ci que la colère quand elle est exprimée, ça libère, c'est sain, on évite de somatiser... ma question est la suivante :
Est ce que la colère quand elle est exprimée, devient quelque chose de négatif dans l'atmosphère que quelqu'un peut absorber malgré lui ? Quand on envoie de l'amour à la Terre, où à quelqu'un qui en a besoin ou à qui veut bien en recevoir, cet amour il est reçu... mais qu'en est t il pour la colère ?
A cette question si la réponse est oui il y a bien quelque chose dans l'atmosphère et qui peut être absorbé par quelqu'un, alors comment peut on faire : 1- pour éviter d'atteindre ou de blesser autrui et 2- pour s'en protéger ?
Est ce qu'en exprimant de la colère, on ne risque pas de laisser davantage de place à son crocodile, à son saboteur ?
Quand on ressent de la colère et qu'on devient compatissant, n'est ce pas enfermer sa colère dans un coffre ?
Merci d'avance d'avance pour vos réponses
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Réponses à cette discussion
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Lien permanent Réponse de Lovyves le
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Bonjour à Tou(te)s
Chère Karen
je serais un : "Bachibouzouk" !
Tout à fait, je suis preneur.
Un irrégulier violeur ... des conventions ! -
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Hello les s'Amis
Quand je ne ris plus (c'est rare) je ne suis plus preneur !
Tête de turc, je suis aussi preneur, car je ne suis pas raciste.
Même plus !
Une vidéo au top ten pour moi .
http://www.youtube.com/watch?v=4VANJno2W0Qle rire, question de volonté !
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Bonsoir à Tou(te)s
Eh oui Anna phore à bien raison !
Un petit nombre de personnes qui se centrent sur l'amour change le monde, et le rire est l'expression de l'amour!D'ailleurs un article (un bon article de journal, (ça mérite de le remarquer) en parle :
Humour, rire et justice
http://blogs.mediapart.fr/blog/serge-uleski/090412/humour-rire-et-j...
09 Avril 2012Par Serge ULESKI
Le rire reste un mode de résistance d’une efficacité redoutable contre notre impuissance face à la tyrannie du réel. Avec l’humour, et le rire qui l’accompagne, on reprend la main et le pouvoir.
Inhibitions, angoisses, oppressions… le rire transcende tout ce à quoi il se rapporte.
L’humour est la seule vraie résolution de la névrose disait Freud ; et on ajoutera : la seule vraie protection contre la névrose des autres, celle de Freud pour commencer et celle de la société dans son organisation.
Funambule de la raison, vertigineux, l’humour tout comme le rire, fraie avec la folie ; celle qui nous guette tous.
Rire collabo ou tiroir-caisse, rire résistant, rire pour rien sur rien ou pour si peu, rire gras... grassement payé salle comble, rire attentiste (Pourquoi se prononcer, prendre parti alors qu'on ne sait jamais de quel côté le vent va tourner !), rire transgressif (Dieudonné)
http://blogs.mediapart.fr/blog/serge-uleski/020412/dieudonne-tout-s...
- ivresse et jouissance -, rire iconoclaste mais mondain, genre... tempête dans un dé à coudre (Bedos père et fils, et tant d’autres), si le rire n’a ni raison ni tort, et s'il s’accommode mal du mensonge, tout comme l'Art, le rire est proche de la vérité.
Rire pointu, rire de spécialistes, rire qui ne perd rien pour attendre, et pour avoir trop attendu aussi, rira bien qui rira le dernier, le rire est communion et partage ; grégaire, il rassemble : chacun pour soi dans le rire mais avec le rire de l’autre en écho d’une destinée commune.
Le rire est germination quand il révèle des savoirs enfouis et volontairement cachés.
En s’attaquant au réel jusqu’à la caricature, il le démasque, le dévoile (Coluche, Desproges) ; il force le trait jusqu’à l’absurde (Devos) ; il met à nu les vanités et la bêtise.
Rire inespéré qu'on n'attendait plus, avec Zouc, il apprivoise l’horreur d’une condition ; rire boomerang et miroir, à l'image de la perfidie qu'il faut bien se résoudre à dénoncer, avec Dieudonné, le rire politique et moraliste expose les escrocs de la vertu et de la morale sans oublier les chantres d’une pseudo fraternité - fraternité à géométrie variable, d'un poids d'une mesure jamais égale ; fraternité sournoise qui cache mal un désir violent de soumission.
Si le rire n’est jamais loin du sanglot, c’est qu’il en est la larme sèche et la force d’une résistance contre toute résignation (Fellag).
Avec l'humour, toute solennité est exclue ; mais le rire n’est pas pour autant le laisser-aller quand il a pour alliés l'intelligence, la liberté et l'Art ; bien au contraire, celui qui rit, même confortablement assis, se tient mentalement et émotionnellement debout, digne et fier. Toujours !
Avec le rire, tous les traumas deviennent gérables car avec le rire et le corps-fait-esprit, un corps qui se saisit de la réalité (Zouc, Elie Kakou), on peut les revisiter à satiété, en toute sécurité.
Eli Kakou au Cirque d'hiver Bouglione en 1997
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Sortie par effraction de toutes les impasses, hors de l’espace et hors du temps, dans une autre dimension, les mécanismes du rire sont complexes ; ils se dérobent à l’analyse exhaustive car avec le rire, son talent, son génie, il reste toujours une part d’inconnu.
Le rire est magique d’une magie blanche et noire ; quand il est gris, le rire est retournement de l’insupportable même s’il en garde la trace et la marque ; il n’oblitère rien, ne répare rien mais il permet la consolation et de souffler un peu, de prendre du repos avant de côtoyer à nouveau des démons têtus et insatiables.
Le rire est libération quand il met en scène un dépeçage des conventions, des hypocrisies et des machinations ; il libère l'esclave et nous permet de sortir de l’enfermement dans lequel nous nous complaisons.
Bergson disait : « Le rire n’a pas plus grand ennemi que l’émotion. Le comique s’adresse à l’intelligence pure ».
Coeur de pierre donc, mais source d’énergie radicale, il est une ouverture sans précédent vers l’inouï, l’inédit et la liberté.
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Rire, humour… humour et rire, il arrive aussi que le rire rende justice à ceux qui en sont privés.
Belle revanche des déshérités alors !Et pour finir un cocktail :
Peut on rire de tout !? -
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Bonjour à Tou(te)s
pour paraphraser ta phrase Robin,
je dirais :
" également, nous sommes libres, la joie n'est pas à juger, elle ni négative ni positive, puisqu'elle entraine l'être à se questionner sur lui-même et à prendre conscience que la joie est simplement un état passager, lequel sera dépassé de plus en plus avec l'évolution et l'ouverture du cœur.".
Toujours d'accord rien juger !? -
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re Bonjour
Chère Amie Karen,
Les mots de la langue française ont chacun une signification particulière.
Et, le refus, d'accepter la signification précise, et de ne pas tolérer un synonyme, lequel altère la signification, rend la communication inaudible.La joie est la joie, la véritable et la fausse, sont des conventions new âge !
La joie "profonde " a un nom en Français : le bonheur.
Et là ce n'est pas une émotion, c'est un état d'être.Et si je ne peux pas remplacer un mot par un synonyme ou sont contraire; c'est que mon affirmation, est sans fondement.
C'est ce que j'ai discerné en philo socratique.
En toute Amitiés, en même plus.
Love Yves -
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Bon après midi à Tou(te)s
Cher Nirvan,
je trouve ceci très très drôle !
Je "joue" avec les mots !!!
Etre au plus rigoureux possible avec la signification des mots de la langue, c'est jouer avec les mots !
Je te trouve bien joueur !Oui, oui, tu as, vous avez raison, je suis un joueur de mots, que ceci vous fasse le plus grand bien.
Je me siffle un carton rouge. -
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Cher Nirvan,
je reviens un instant, puisque tu y tiens;
Toujours difficile de s'exprimer, et de se faire comprendre !
Dans mon commentaire, j'avais pourtant mis de l'espace entre les paragraphes.
Ce n'était pas suffisant.
Quand je parlais que la joie "profonde" était le bonheur, donc pas synonyme (émotion et état), donc on emploie l'un ou l'autre , mais pas passer de l'un à l'autre.
C'était par rapport au commentaire de Karen.Pour ce qui était de paraphraser le commentaire de Robin, là l'emploi d'un synonyme ou du contraire; est indispensable pour faire la démonstration; c'est un but précis, ( est ce que l'argument est encore valable avec son contraire, ou quel est l'enjeu avec un synonyme),et sans faire intervenir ce qui serait véritable ou pas.
En philo toute affirmation, ou argument sont considérés comme vrais, tant que l'on a pas démonté le contraire ou atteint les limites de sa véracité.
En philo, on s'en tient à la signification soit commune (dictionnaire, soit, plus souvent, de la personne qui émet une opinion); mais c'est "hors jeu" d'aller chercher d'autres significations, pour dire :
Ca dépend de ..
Tout est relatif !
Non ça, c'est sifflé .. fort.
Et la sincérité, c'est bien, c'est beau, mais on la laisse au vestiaire, le temps de voir la réalité de ma pensée.
Et, c'est très dur, pour beaucoup !
Je vais reprendre des mots communs : allez au plus profond de soi, parler avec son coeur, de manière cohérente ... c'est, comme disait Socrate : inhumain.
Là je suis pas que beau, rarement cohérent !
Et, c'est une évidence, je vois facilement la paille dans l'oeil du voisin; d'où l'intérêt de communiquer de temps en temps ses qualités, mais plus souvent, la paille du voisin, avec bienveillance, c'est aussi une évidence.C'est mon jeu !
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re bon après midi à Tou(te)s
Voilà, Chère Anna-phore,
je considère tes mots, les mots de ton commentaire, comme n'étant pas un jeu de mots.
Un commentaire édifiant; une référence.
Tout le contraire des maux de la langue de bois.
Bravo d'avoir mis en mots, compréhensible par beaucoup, que la colère n'est ni une fausse joie, ni une vraie joie. -
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Bonsoir à Tou(te)s
je reviens, c'est tellement beau de voir des petits diable (sse)s se débattant et débattre dans un bénitier de belles paroles !
"Une parole malencontreuse ne sera jamais oubliée, même si elle est pardonnée."
John Edward Tang"
"Ben, suis pas d'accord avec J.E.Tang .... Car selon certains sages, le pardon, c'est l'oubli... ET j'avoue être assez en phase avec cette vision là."Eh, eh !!!
Laissons nos sages à leur écrits, qui n'ont de sagesse, que parce qu'ils sont morts.
Comme disait un Général Américain : "un bon indien, est un indien mort", pour les sages, c'est idem, apparemment.Pour sortir de la tempête du bénitier, il suffit de penser .. avec son coeur, et son mental ! Hé , hé !!!!
Toute pensée humaine, est enregistrée par son auteur, peut être même par d'autres (télépathie), et surement lorsque cette pensée est dite, et plus encore, lorsqu'il y a des faits, et le temps n'efface rien.
Par contre je peux ne plus tenir compte de telle ou telle pensée dite et concrétisée (quelle soit négative ou positive, ne pas oublier, c'est idem pour le +).
je ne tiens pas compte de tout ce qui a été fait sur Terre, alors pour une chose, c'est encore plus facile.Et pas besoin de couper les cheveux (d'un chauve) en quatre.
Que Dieu vous bénisse, si vous y croyez.
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Bonsoir les colériques !
Ah, enfin !
Bravo Roland !
Enfin tu parles de toi !
"...j'suis mal barré ! Et pas prêt d'être compris ... ! "
C'est bien ce que j'avais compris depuis longtemps, mais tu n'osais, sans doute, pas le dire !
le besoin d'être compris !
Je sais c''est important, le besoin d'être compris."...Il me semble que certaines personnes, sont radicalement incapables de percevoir et de comprendre ce que je veux dire ... ! Dommage. "
Peut être, lorsque c'est dit directement."...Mais j'ose espérer que certaines autres, ressentiront/percevront la cohérence et l'évidence du propos."
Je lance un appel à toutes les bonnes âmes qui sont capables de ressentir, percevoir la cohérence et l'évidence des propos de Roland, qu'elles envoient un "petit" mot d'espoir à Roland.
Afin de nourrir et apaiser sa colère.
j'espèce que vous serez nombreux.Et, encore une fois bravo Roland, j'aime quand quelqu'un parle directement, sans évoquer quoi ce soi.
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Attention de ne pas être infecté par L'anthrax !
Que de souffrances ! -
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Et si ma tante Sara, en avait, je l'appellerai mon oncle Sam !
C'est cycle des existences conditionnées !!! -
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