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Les blessures de l'enfance
L'enfance est une période déterminante pour l'avenir de chacun d'entre nous.
Malheureusement, elle n'est pas toujours rose.
Car l'Amour manque au rendez-vous.
Peut-on vraiment guérir définitivement des blessures de l'enfance, dont les blessures principales sont:
- l'abandon,
- les maltraitements,
- les humiliations,
- les injustices
- et les trahisons
qui influenceront fortement la vie d'adulte?
Est-ce que les personnes concernées sont condamnées à traîner derrière elles ce fardeau jusqu'à la fin de leurs jours?
Même si celui-ci est "allégé" par des thérapies?
S'agit-il de traumatismes si profonds qu'ils sont pratiquement inguérissables, ou existe-t-il
une voie de sortie?
J'ouvre cette discussion portant sur ce sujet très sensible pour accueillir tous vos témoignages, partages et conseils .
Bien à vous.
Marie
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Réponses à cette discussion
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Lien permanent Réponse de Papillon le
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Bonjour Marie , bonjour tout le monde,Je connais très peu de choses en psychologie ou en spiritualité ,j 'aimerais quand même te poser cette question!Tu avances que tu es en paix avec toi-même,hors il me semble que tu renies encore ta maman en la jugeant encore,ou en est-tu avec ta maman?? ( tu dit je préfère les 5 cerveaux plutôt qu 'une mère)J' ai appris qu 'être en paix avec soi-même,c 'est être en paix aussi avec tout ceux qui ont voulu nous nuire,que ce soit consciemment, avais-je tort?..Tu avances que tu en connais un rayon sur l'Âme humaine, mais alors ou en est-tu sur les préjugés ou jugement que l 'on ne doit pas pointé généralement?Ou est la place de ton papa je ne le vois nul part.?J' étais le vilain petit canard ...J' ai pardonné à mon papa à ma maman ,j'ai pardonné du fond de mon coeur et aujourd'hui , j'ai encore un gros travail a faire,me pardonner à moi même,malgré tout je retrouve ma liberté .Je sais dire"j'Aime mes parents."Isa
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Lien permanent Réponse de Marie K. le
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Avec mon père on s'est quittés en paix juste avant qu'il décède subitement, en 2003.
Rires... tu dis que tu vois mon père nulle part, et tu as raison: très introverti, il était énergétiquement absent toute sa vie.
Avec ma mère, on a dû se séparer en Paix en 2008.
Parce que, malgré tous mes efforts, c'était plus fort qu'elle: il fallait qu'elle continue à me blesser!
C'est elle qui continue à me renier.
Le pire, cela a été son comportement après le décès de mon compagnon.
Lorsque j'avais vraiment besoin d'elle.
Cela a été une épreuve beaucoup plus dure pour moi que la disparition de celui-ci.
Sur notre Chemin, il faut comprendre qu'il y a des gens qu'on ne peut pas changer.
Toutes deux avons compris que nous étions incompatibles.
Et, lorsqu'on s'est quittées ce jour d'août elle m'a dit: "Tu es libre. Je n'ai pas besoin de toi. De toutes façons, tu ne m'as jamais intéressée."
Nous habitons à 250km de distance et, en rentrant, je ne voyais pas la route tellemen je pleurais.
Mais c'est du passé!
Je tiens à répéter ici que je n'en souffre plus.
Et, comme dit, je n'ai pas ouvert cette discussion pour parler des problèmes que je n'ai plus.
Quant au dit "droit de jugement sur autrui" c'est un terme que je n'aime pas trop et qui mérite peut-être d'ouvrir une discussion à ce sujet.
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Lien permanent Réponse de Lovyves le
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Bonjour à Tou(te)s
Verdiss a dit : "La libération dans le lâcher-prise sans souffrance et la bénédiction."
G.RARE a dit : Tout à fait d'accord avec Verdiss : c'est bien d'avoir conscience des blessures de son enfance, de les analyser, de les comprendre.
Mais devons nous les analyser pendant 70 ans ?
Yllen a dit : "Il est plus facile d'aimer une personne qui est en harmonie avec soi... Mais envoyer de l'amour à une personne qui nous a fait souffrir c'est pas toujours facile..."
Champagne !!!
les "grands" hommes de Epanews ont le même avis dit chacun à sa manière !
G.RARE est de très bon conseil, il me semble, car ma vie peut s'arrêter dans quelques instants !
Alors, plus vite je lâche (lâchement) les "blessures", plus de temps j'aurais pour vivre .. heureux.
Et Yllen, tu as aussi tout à fait raison : "... c'est pas toujours facile..."
!!!!???
Donc, c'est quelques fois facile .. et pourquoi pas .. tout le temps !
Dans l'amour, le pardon, le détachement, tout .. est limpide, coule de source !
Mais, en suivant le langage d'aujourd'hui : "trop facile" peut être !!!
Mais , ne prenez pas trop au sérieux mes paroles : "ce sont des propos d'une personne qui n'a pas cherché à partager ses souffrances"... il parait !.
Quoique vous pensez de moi, je vous aime Tou(te)s, surtout ceux(celles) à qui j'ai l'honneur de déplaire.
Car aimer celui qui me hait, ou qui m'a "blessé" est bien plus intéressant, qu' aimer les courtisans .. c'était bon pour les rois (les courtisan(e)s) ... nous ne sommes plus en royauté !!!
Lov... yves
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Quoique vous pensez de moi, je vous aime Tou(te)s, surtout ceux(celles) à qui j'ai l'honneur de déplaire.
Car aimer celui qui me hait, ou qui m'a "blessé" est bien plus intéressant, qu' aimer les courtisans .. c'était bon pour les rois (les courtisan(e)s) ... nous ne sommes plus en royauté !!!Rires... sans vouloir avoir de préjugés en ce qui te concerne, j'ose simplement imaginer que ta vie affective n'a pas toujours été de tout repos!
Bises
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Encore moi !
Nouvelles toute fraîche , pour problèmes de souvenirs et "blessures" !
Sciences de la vie
Un implant neurologique qui active et désactive les souvenirshttp://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67160.htm
Et ce n'est qu'un début, après le 21.12.12, ce sera plus encore !
....
Très sérieux pour répondre à Marie Gabrielle.
"on" m'appris, jeune, à avoir peur des filles!
mais, malgré ceci :
Marié à 25 ans, avec une institutrice (j'avais beaucoup à apprendre!, (ironie , je ne peux m'en défaire)).
30 ans d'apprentissage de l'amour (avec un grand A) , permet de vivre avec amour le besoin de partir (de l'autre).
J'ai eu beaucoup chance en de nombreux domaines : des expériences à mon rythme.
C'est pour ceci que je suis serein, en tout, aujourd'hui !
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Pourquoi tu as alors lancée la discussion sur les blessures de l'enfance si tu n'en souffre plus...
Dommage je n'ai pas trouvé les réponses souhaitées ..
Isa
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Chère Isa,
Ce n'est pas une obligation que d'avoir des problèmes pour pouvoir ouvrir des discussions!
J'ai ouvert cette discussion si sensible pour un partage.
Pour un partage entre personnes souffrantes et entre personnes ayant surmonté cette souffrance.
Je ne vois pas où est le problème.
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Marie K. a dit :Chère Isa,
Ce n'est pas une obligation que d'avoir des problèmes pour pouvoir ouvrir des discussions!
J'ai ouvert cette discussion si sensible pour un partage.
Pour un partage entre personnes souffrantes et entre personnes ayant surmonté cette souffrance.
Je ne vois pas où est le problème.
ok j'ai comprie ... aucun problème
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Roland a dit :Juste une suggestion :
Peut-être si tu posais TA/TES question(s), tu aurais une chance d'avoir les réponses souhaitées, non ? ;-)
Question bête !
et c' est pour qui la suggestion ??
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Roland a dit :C'était pour toi ! Suggestion bête ?
Papillon a dit :Roland a dit :Juste une suggestion :
Peut-être si tu posais TA/TES question(s), tu aurais une chance d'avoir les réponses souhaitées, non ? ;-)
Question bête !
et c' est pour qui la suggestion ??
Si tu lis bien j'ai posé plusieurs questions :
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Le nombre de candidats à l'incarnation étant important les conditions de vie les plus difficiles sont données aux âmes les plus évoluées, avec à l'incarnation une bénédiction ( et ) ou un ciel plus favorable ( astrologie ).
Chère Verdiss,
Merci pour les âmes évoluées, quelle consolation!
Penses-tu qu'il y a des décisions prises dans l'au-dela concernant les incarnations, suivant le karma global à respecter?
Et "qui" prend ces décisions?
Es-tu sûre que le nombre d'âmes se multiplie même dans l'au-delà?
Qu'en est-il du contingent?
Je te pose ces questions parce que le sujet me fascine.
En 2002, j'ai assisté à un exposé en allemand d'Alexander Gosztonyi sur cette gestion d'âmes, et je t'avoue
que nombre de participants étaient, tout comme moi, effrayés d'entendre expliquer la réincarnation sous cet angle-là.
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Lien permanent Réponse de G.RARE le
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N'ayant plus de blessures de l'enfance à soigner à 62 ans, je quitte cette conversation ...
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