L'enfance est une période déterminante pour l'avenir de chacun d'entre nous.
Malheureusement, elle n'est pas toujours rose.
Car l'Amour manque au rendez-vous.
Peut-on vraiment guérir définitivement des blessures de l'enfance, dont les blessures principales sont:
- l'abandon,
- les maltraitements,
- les humiliations,
- les injustices
- et les trahisons
qui influenceront fortement la vie d'adulte?
Est-ce que les personnes concernées sont condamnées à traîner derrière elles ce fardeau jusqu'à la fin de leurs jours?
Même si celui-ci est "allégé" par des thérapies?
S'agit-il de traumatismes si profonds qu'ils sont pratiquement inguérissables, ou existe-t-il
une voie de sortie?
J'ouvre cette discussion portant sur ce sujet très sensible pour accueillir tous vos témoignages, partages et conseils .
Bien à vous.
Marie
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Bonjour à Tou(te)s
Bons gens du XX° siècle... sauf cas très exceptionnel(s)
Nous sommes né(e)s s dans un monde d'événements favorables et d'autres défavorables, voire très !
C'est notre lot à tous, un peu plus, un peu moins; légalité n'étant qu'un concept humain.
J'ai eu des événements qui m'ont paru douloureux, malheureux, comme il est bon de dire des "blessures".
A l'école j'ai été puni pour un fait dont j'étais la victime. Je voulais, à 5 ans, être aviateur (heureusement qu'à cet âge les gifles étaient légères); puis à 8 ans professeur d'histoire- géo (une honte pour la famille: paysans et prof ne se "mélangent" pas); puis dessinateur d'art : ce n'est pas un métier qu'on m'a dit; puis dessinateur industriel : il y en a de trop ! (remarquez ma docilité et bonne volonté)
Alors un CAP de tourneur ce sera très bien.
A l'armée : une tête brulée, j'avais peur de rien, j'avais envi de me suicider, et pourtant j'étais pas dans une secte; quoique militaire - catho .. aujourd'hui j'ai des doutes !!!
J'arrête là la liste.
Aujourd'hui je suis la somme de ce que j'ai vécu (physiquement et surtout intellectuellement et émotionnellement.
Vu d'où je suis parti: Ouahhh !
Heureusement que j'ai eu tous ces événements.
Si non je serais peut être prof à la retraite bien conformé par 40 années de fonctionnariat BCBG.
Fort possible que ceci aurait été la honte pour moi; ceci aurait peut être l'occasion que je connaisse ce que veut dire ce mot "honte" !
Donc des événements dits "blessures", des boulets (pour l'image) :
je les traîne, je me les remémore, j'en fais un tableau d'honneur (d'horreur, serait plus exact).
Oui ils(les événements) ont existé, c'est un fait, mais ils n'existent plus, sauf si je les mets au présent virtuel, mais bien présent quand même.
Alors mes "boulets" je les traine toujours ou je me détache d'eux. Car détachés "les boulets" ne font jamais "surface" seuls !
Je pense le "ici et maintenant" , il n'y a pas de place, pas de temps pour le passé, que je le considère comme malheureux ou heureux.. . Oui le heureux, pourquoi le heureux passé ne serait pas une blessure ?
C'est passé, ce n'est plus là... je vais pleurer mon passé !!!!!!
Et pendant que je parle de mon passé, je ne m'intéresse pas au présent; à mon présent, au présent des autres.
Ce pourrait il que de remémorer mon passé serait une forme élaborée d'égoïsme !?
je ne suis plus dans la dynamique positive, j'y perds ma santé, la joie, le bonheur !
J'ai entendu une maxime : "Tout ce qui ne tue pas, renforce" !
Je la trouve bien ! J'y pense ici et maintenant, et tout le temps.
J'ai un passé ???
Ah, c'est possible, je n'ai pas de souvenirs, je n'ai pas de "blessures" !!!
l'amnésie est une maladie qui se vit bien, très bien.
Peut être que pour être heureux, il faut être un peu malade ... en ce monde de bien portants malades !!!
Je ne suis pas aviateur, prof, dessinateur, je suis sans intérêt, je ne connais que le présent.
Cher Lovyves,
Il y a des sujets de discussions délicats, qui ne supportent pas la lègerté et l'ironie!
Je suis désolée de devoir te le dire ouvertement, mais je n'accepte pas ce genre d'attitude dans cette discussion que j'ai ouverte.
Car c'est un partage entre personnes qui ont réellement souffert et qui sont encore en souffrance.
Et leur souffrance n'est pas à relativiser !!!
C'est un manque de respect envers ces personnes.
Si tu n'a pas souffer tant mieux.
Je suis contente pour toi.
Mais, s'il te plaît, va jouer ailleurs.
Bises
Marie
Lovyves a dit :
Bonjour à Tou(te)s
Bons gens du XX° siècle... sauf cas très exceptionnel(s)
Nous sommes né(e)s s dans un monde d'événements favorables et d'autres défavorables, voire très !
C'est notre lot à tous, un peu plus, un peu moins; légalité n'étant qu'un concept humain.
J'ai eu des événements qui m'ont paru douloureux, malheureux, comme il est bon de dire des "blessures".
A l'école j'ai été puni pour un fait dont j'étais la victime. Je voulais, à 5 ans, être aviateur (heureusement qu'à cet âge les gifles étaient légères); puis à 8 ans professeur d'histoire- géo (une honte pour la famille: paysans et prof ne se "mélangent" pas); puis dessinateur d'art : ce n'est pas un métier qu'on m'a dit; puis dessinateur industriel : il y en a de trop ! (remarquez ma docilité et bonne volonté)
Alors un CAP de tourneur ce sera très bien.
A l'armée : une tête brulée, j'avais peur de rien, j'avais envi de me suicider, et pourtant j'étais pas dans une secte; quoique militaire - catho .. aujourd'hui j'ai des doutes !!!
J'arrête là la liste.
Aujourd'hui je suis la somme de ce que j'ai vécu (physiquement et surtout intellectuellement et émotionnellement.
Vu d'où je suis parti: Ouahhh !
Heureusement que j'ai eu tous ces événements.
Si non je serais peut être prof à la retraite bien conformé par 40 années de fonctionnariat BCBG.
Fort possible que ceci aurait été la honte pour moi; ceci aurait peut être l'occasion que je connaisse ce que veut dire ce mot "honte" !
Donc des événements dits "blessures", des boulets (pour l'image) :
je les traîne, je me les remémore, j'en fais un tableau d'honneur (d'horreur, serait plus exact).
Oui ils(les événements) ont existé, c'est un fait, mais ils n'existent plus, sauf si je les mets au présent virtuel, mais bien présent quand même.
Alors mes "boulets" je les traine toujours ou je me détache d'eux. Car détachés "les boulets" ne font jamais "surface" seuls !
Je pense le "ici et maintenant" , il n'y a pas de place, pas de temps pour le passé, que je le considère comme malheureux ou heureux.. . Oui le heureux, pourquoi le heureux passé ne serait pas une blessure ?
C'est passé, ce n'est plus là... je vais pleurer mon passé !!!!!!
Et pendant que je parle de mon passé, je ne m'intéresse pas au présent; à mon présent, au présent des autres.
Ce pourrait il que de remémorer mon passé serait une forme élaborée d'égoïsme !?
je ne suis plus dans la dynamique positive, j'y perds ma santé, la joie, le bonheur !
J'ai entendu une maxime : "Tout ce qui ne tue pas, renforce" !
Je la trouve bien ! J'y pense ici et maintenant, et tout le temps.
J'ai un passé ???
Ah, c'est possible, je n'ai pas de souvenirs, je n'ai pas de "blessures" !!!
l'amnésie est une maladie qui se vit bien, très bien.
Peut être que pour être heureux, il faut être un peu malade ... en ce monde de bien portants malades !!!
Je ne suis pas aviateur, prof, dessinateur, je suis sans intérêt, je ne connais que le présent.
On dirait (moi j'en suis certain) que cette discussion proposée par Marie a déclenché un mouvement
évolutif (=qui succède à un mouvement involutif de reoournement vers soi) et aussi chaleureux, fraternel pour ceux qui ont chacun amené leur pierre à l'édifice.
Essayez de bâtir une pyramide avec du stuc, infailliblement elle s'écroulera, utilisez de véritables pierres, elle durera.
Personnellement je considère, parfois faute de mots, tout cela un peu magique et qu'ainsi un nettoyage permettra de se faire pour ceux qui sont encore imprégnés de ces blessures, qui n'ont pas pu encore ausii bien les exprimer, les comprendre et les pardonner.
tendresse a dit :
Eh bien je prends le... train en marche et profite de ta proposition G. RARE
Avant l'entracte je voulais écrire que j'ai rarement vu autant d'émotions dans une discussion, un véritable partage, une véritable fraternité.
Il se passe là quelque chose de magique dù à la confiance que les participants ont entre eux pour réellement parler de leurs propres blessures personnelles. Et donc, que d'émotions ! En plus certaines blessures ont des résonances chez les autres ce qui suscite encore une meilleure compréhension.
Merci d'avoir suivi mon conseil d'oser exprimer ses propres blessures d'enfance, sans honte ni retenue, avec des mots simples, de tous les jours. Cela n'est-il pas une thérapie pour certains ? Il existe des groupes d'écoute et de partage, cette discussion permet de faire ce travail.
...de mes quelques "blessures" d'enfance, j'en ai fait ma force d'aujourd'hui.
Cher Lovyves,
Tu vois qu'il y a tout de même de la profondeur en toi?
Ce propos que tu viens de tenir (pour la première fois?) a toute sa place ici.
Cette phrase est constructive , tu comprends?
C'est cela le partage.
J'aurais souhaité que tu développes davantage là-dessus au profit de nous tous, au lieu de t'esquiver aussitôt par une habile pirouette "comique" de cinéma et par tes propos interminables, prêtant souvent à confusion et parfois à irritation.
Car je sais que tu en as la capacité, si tu le veux.
Je ne te chasse pas: mais puisque tu ne sembles pas avoir de vraies blessures d'enfance (ou alors tu sembles les réprimer par ton ironie) je t'ai dit d'aller jouer ailleurs et d'intervenir dans mes discussions plus légères.
A bon entendeur.
Dans la Paix et la Lumière.
Marie
Bonsoir à Tou(te)s
OK, Marie gabrielle, que du "lourd"
Comment ce fait il, que moi, n'ayant aucun diplôme, j'en sois arrivé à dépasser, allègrement mes "blessures" du passé ?
Par la sélection de mes lectures, par mon honnêteté par rapport à moi même, à ma situation.
Rien de sensationnel. Pas de miracle.
Mais du sérieux, sans se prendre au sérieux.
Donc, pour moi, la majorité des psy et autres conseilleurs sont malhonnêtes par rétention d'informations, ou de maintenir les personnes dans leurs problèmes avec des solutions momentanées.
Tourner en rond avec l'émotionnel, ca "ca tourne" fonctionne et ca plait à beaucoup.
Et, pour moi, l'ironie n'est pas un moyen de réprimer mes "blessures", c'est ma façon de vivre aujourd'hui.
Si je dis que tout est illusion, que je peux rire de tout, c'est parce que je le pense, dis et fais, je ne suis jamais un menteur, je ne joue pas à l'illusionniste avec moi et les autres; je ne suis pas dans l'amour inconditionnel... conditionnel à chaque grain de sable.
Douter de ce que je dis sans preuve, n'ai pas très honnête, ni de la communication non violente !!!
Comment j'ai fait, je reprends les étapes données sur un livre :
1° événement déclencheur (repérage des problèmes).
2° Information objective (sur ce que je suis).
3° Remise en question de ses habitudes (dur, dur).
4° Découvertes de ses goûts véritables (ce qui est bon pour moi, dans tous les domaines).
5° Elévation du niveau de conscience (c'est sans limite, dans le temps et en hauteur !).
Avec ceci le passé est dépassé.
Les personnes comme Marie ou Tendresse, ou moi-même, acceptons la rencontre avec leurs souffrances ...
Faire face à sa souffrance, comme tu le dis si justement, cher Roland!
Avoir le courage de la regarder dans les yeux, à l'intérieur de soi, sans drogues ni tranquillisants.
Pour ne plus se l'attirer par des éléments externes (revivre cette douleur au travers d'autres personnes).
Les personnes traumatisées, surtout lors de l'enfance, stressent facilement devant certaines situations et ont tendance à "disjoncter" à perdre le contact avec elles-mêmes, à sortir de leur corps, à "fuir" pour se protéger.
Malheureusement en fuyant de leurs corps pour ne pas revivre cette douleur , elles laissent parfois la place à des entités malveillantes qui agissent à leur place: c'est ce qui explique que beaucoup d'assassins ne sont pas conscients de l'acte qu'ils ont commis.
Parce que leur corps a été momentanément habité par une entité étrangère qui a agi à leur place.
Je connais cet effet de dédoublement, et pourtant je ne suis vraiment pas une criminelle!
Un effet bien connu, ce sont les gens qui ont peur du vide: ils se sentent attirés vers le bas, comme si quelqu'un leur disait de sauter.
Je peux te dire, Roland, que j'en ai passé des heures et des années en ondes alpha ou en hypnose
à en verser des larmes!
Et que, ces dernières années, à chaque fois que réaffrontais ces souffrances je me disais: "Mais quand est-ce que je vais enfin cesser de me faire du hara kiri?"
C'était signe de saturation.
Alors, un beau je me suis levée et j'ai pris des résolutions!
J'ai pris ma vie en mains.
Mais il faut du temps pour en arriver là.
Car les traumatismes de l'enfance cristallisent souvent l'enfance en nous.
C'est notre enfant intérieur qui ne veut pas grandir.
Et c'est pour cela que, même adultes, beaucoup d'entre nous ne sont pas en mesure d'assumer la responsabilité de leur propre vie.
Sans vouloir me vanter, j'en connais un bout sur l'âme humaine.
Pour moi, mes souffrances ont été la source d'un véritable enrichissement, car cela m'a permis de connaître plein de gens merveilleux,... y compris moi-même!
Mais le plus fascinant, c'est que nos souffrances nous permettent, contrairement à des gens dits "normaux" et sans problèmes, d'explorer bien d'autres dimensions: cette autre réalité de notre existence.
Ceci dit, il y a toujours un mot qui me fait mal: l'innocence.
Tout à fait d'accord avec Verdiss : c'est bien d'avoir conscience des blessures de son enfance, de les analyser, de les comprendre.
Mais devons nous les analyser pendant 70 ans ? C'est bien d'en avoir conscience une fois mais après il faut les oublier ou passer outre, car comme je l'écrivais récemment encore, l'ancienne notion du Karma est complètement dépassée, en raison de l'accélération du temps et de l'évolution de la conscience glogale, et la compensation se fait en une seule vie.
Moi, (je dis bien : moi, et je le revendique) j'ai eu depuis longtemps des choses plus importantes à faire, et si je ne les avais pas faites je végéterais encore en me sclérosant sur mes blessures réelles et physiques du passé. Et encore, si je vous racontais les blessures de mes autres vies quand, par exemple, j'étais femme de chambre dans les pyramides, ou porte-pots à Versailles...
verdiss a dit :
Ceci en fonction de ses acquits antérieurs, Je pense qu'il faut ne plus alimenter ses blessures en énergie avec ses pensées
bonjour à tous et toutes,
Je vois que le sujet est fort bien parti, G.RARE a bien pointé le côté positif de chaque intervention ou chacun se rend finalement service et trouve son compte, à travers son histoire personnelle.concept d'une thérapie de groupe ou d'une thérapie instutionnelle.
Il y a beaucoup trop de commentaires pour pouvoir émettre un avis sur chacun, donc je m'abstiendrai tout en encourageant ceux qui ont fait la démarche d'accepter de se faire aider, car seul ce n'est vraiment pas évident, l'inconscient est 1000 fois plus fort que vous pensez l'imaginer, mais ceux qui ont une grande connaissance du fonctionnement de l'âme humaine le savent déjà..bien évidemment....., pour ma part, je m'abstiendrait de parler que je connais sur ce joyau qu'est l'âme humaine et préfère continuer à m'habiller d'humilité.
Si je me considère aujourd'hui comme un enfant de la Terre, grâce à ma renaisance, ce n'est pas le fruit du hasard, car il n'existe pas, alors certains comprendront dans l'état que je suis, d'autres me prendront pour un rigolo, d'autre pour un gourou ou charlatant, peu m'importe car je suis trop léger dans mon moi pour répondre à untel ou untel.
Vivre le moment présent est quelque chose de merveilleux, je m'interdit de rester planté trop longtemps devant un PC, la terre, la nature et les animaux ont trop de choses à me dire, et cela dès les premières heures ou l'aube se lève.
Mon enfant intérieur va souvent se balader, libre comme une colombe, de temps à autre, il pousse ma porte pour me demander comment je vais, il va sourire, chanter, danser, avec ce plein d'amour et de tendresse qui l'habille, puis hop ! il repart en sautillant, heureux d ela vie qu'il mène aujourd'hui, un peu grâce à tout ce qu'il a pu exprimer...
ce n'est pas une histoire de courage le fait de prendre des médocs ou pas, j'ai été comme tout le monde, je suis allé voir mon médecin traitant car j'avais envie de me faire aidé, car j'avais confiance en lui, ce n'était pas écrit sur son front qu'il allait m'utiliser comme un vulgaire cobaye humain, ce gentil garçon, j'ai eu le courage de le virer avant que ma conscience soit complètement endormie, il m'a fallu des mois pour me purger de ces cochonneries, mais ma petite voix intérieure et mon Dieu Divin poussait de plus en plus fort vers le haut, j'ai étéà leur écoute tout simplement pour pouvoir m'en sortir.
Je vais quitter cete discussion car le dossier est bien en palce à mes yeux, beaucoup ont suffisamment de compétences ou émettre leurs avis et aider, pour ma part, je ne prends pas la fuite, j'estime que j'ai participé suffisament, ma boîte mail s eremplit beaucoup trop à mes yeux, je veux continuer à vivre de mon essence_ciel et non pas conter le chemin d evie que je me suis fixé, en aucun cas j'irai contre mon MOI intérieur.
A bientôt mes amis (es ), je vous envoie tout mon Amour et toute ma Force positive
Paix, Amour et Sagesse dans vos coeurs, lumineux week-end à vous et à ceux que vous aimez.
Michel
bonjour à tous et toutes,
Bonjour à toutes et tous..
Qu'il est difficile d'être en tolérance ::: sans jugement...Il m'arrive également de tomber dans ce piége.
Le site nous donne ce joli cadeau de pouvoir nous lire, nous raconter sans masque, ce qui est difficile de faire dans notre profession , notre relationnel quotidien...
Certaines lectures m'accrochent, car ces phrases, j'aurais pu les écrire, d'autres m'interpellent, car hors de mon entendement...Mais remercie son auteur, car là il me pointe une idée qui me fera grandir ( je l'adopte ou je la tolère) ...elle refléte peut être mon insconscient..? ( 90% toujours en fonctionnement )
Tous les moyens, tous les remèdes sont bons, s'ils nous correspondent. Regarder nos souffrances, comprendre ses causes, être dans l'acceptation, pardonner et laisser partir, les remettre au plan divin..." les transcender"...
Un peu comme si vous étiez à un carrefour...vous regardez les voitures passer...est-ce que vous courez aprés chacune, pour la retenir..,, ?
A chacune et chacun sa méthode...et pourquoi pas " le rire" "l'humour" c'est peut être l'étape finale, donc difficile à accepter... Dans le film "' le guerrier pacifique" il est dit : " La Vie n'a que 3 règles :
Le paradoxe. La Vie est un mystère. Ne perds pas ton temps à tenter de le comprendre.
L'humour. Aie le sens de l'humour et surtout sache rire de toi-même. C'est une force incommensurable.
Le changement. Sache que rien ne reste pareil....
Dans le respect et l'amour de nos êtres....
Catherina