L'enfance est une période déterminante pour l'avenir de chacun d'entre nous.


Malheureusement, elle n'est pas toujours rose.

Car l'Amour manque au rendez-vous.

 

Peut-on vraiment guérir définitivement des blessures de l'enfance, dont les blessures principales sont:

 

- l'abandon,

- les maltraitements,

- les humiliations,

- les injustices

- et les trahisons

 

qui influenceront fortement la vie d'adulte?

 

Est-ce que les personnes concernées sont condamnées à traîner derrière elles ce fardeau jusqu'à la fin de leurs jours?

Même si celui-ci est "allégé" par des thérapies?

 

S'agit-il de traumatismes si profonds qu'ils sont pratiquement inguérissables, ou existe-t-il

une voie de sortie?

 

J'ouvre cette discussion portant sur ce sujet très sensible pour accueillir tous vos témoignages, partages et conseils .

 

 

Bien à vous.

Marie

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Réponses à cette discussion

hi hi !! excellent  G.RARE merci à toi !

 

j'ai plus envie de me prendre la tête vois-tu, j'ai voulu répondre aux attaques et agressions de Roland qu'il me lance depuis le début de ce dossier, chose normale il me semble, mais à quoi bon, j'ai envie de garder mon énergie positive pour des personnes plus intéressantes, pauvre petite Marie, quelle image on donne, tu ne crois pas ?on ne peux rien faire contre des personnes détenant la vérité, c'est tout bête mais c'est ainsi.

 

Comment te sens-tu aujourd'hui par rapport à ce passé si douloureux ? Te pèse t'il encore ?

 

J'ai été aussi un blessé de la vie , bien cabossé comme le décrit si joliment Marie, au niveau affectif, cela ne fait que quelques années que j'ai découvert ce que j'avais assimilé, c'était si bien caché, si loin, si loin dans mon inconscient..et mes résistances étaient pas mal ancrées,.j'ai compris aujourd'hui tout ceux qui veulent s'en sortir de ses blessures de l'enfance, c'est pour cete raison que j'en ai fait mon métier, pour juste donner un peu de mon temps pour les aider à comprendre comment chaque être humain fonctionne et surtout pour leur apprendre à s'aider soi-même.

Je suis désolé, tu me verras peu sur Epanews, j'ai fait le choix d'éviter toute dépendance, alors je viens que de temps  à autre sur le net, ma vie n'est pas sur un ordinanteur, ma vie, c'est la nature et les animaux, la relation aux autres, et surtout la liberté de dire ce que j'ai envie de dire en me battant toujours contre les préjugées, les jugements et tout ce qui peut nuire à la qualité d'ue relation humaine équilibrée et mature.

Je t'envoie tout mon Amour et toute ma paix, pas envie de gant de boxe,:)))) je ne supporte pas la violence, la paix est si belle à vivre et à donner.

 

Michel

Petit à petit j'ai conquis mon indépendance à tous points de vue : indépendance d'esprit, indépendance financière, indépendance de vie, et tout cela absolument seul.

Cela n'a pas été toujour facile, et ce qui est drôle c'est que je ne m'aperçois de certaines choses de mon passé que maintenant : ainsi avec ce sujet lancé par Marie sur les blessures de l'enfance. Pour moi c'était gommé, certes peut-être pas dans mon inconscient puisque je m'en rappelle comme si c''était d'hier ; peut être est ce pour cela que je me suis mis à servir les autres, à partager avec eux, à les aider, sans rien attendre en retour.

Il y a aussi la progression de notre conscience, quand on y est sensible et attentif, on y travaille à chaque instant. Ce qui m'a permis, quelques rencontrent aidant, de me forger une philosophie, un modus vivendi. Tout cela aidé par un esprit d'études, de recherches à 361 degrés. et les résultats ont dépassé tout ce que je pouvais attendre, mais de cela je ne parlerai pas, par gout de discrétion.

Toujours est-il que,j'en suis certain, ces démarches volontaires ont été pour beaucoup pour que les blessures de mon enfance ne soient pas imprimées et ne viennent polluer mon esprit.

Mais, je le reconnais, il n'est pas facile pour tout le monde de pratiquer ainsi, et bien des personnes subissent dans leur vie adulte les séquelles des stress subis plus tôt (d'ailleurs j'ai vu des analyses de cerveaux par diagrammes et ces stress y sont spectaculairemet inscrits, il me semble que c'est la psychosynthèse mais je n'en suis pas certain)

Je suis content car une longue pratique m'a permis de constater que bien souvent le rire déverrouillait les situations difficiles.
Espritdepaix a dit :

hi hi !! excellent  G.RARE merci à toi !

 

merveilleux tarvail que tu as fait là pour en arriver à un tel état d'esprit, coup de chapeau mon ami !!

 

Tu as remarque aussi, que suivant certaines situations, souvent cela te ramène à une partie de ton histoire, mais cela ne te fais pas trop souffrir car tu as conquis, de toi-même, une philosophie de vie, tu as été vraiment à l'écoute d eton Guide intérieur pour savoir ce qui était bon pour toi, c'est ton chemin, à mes yeux il est beau et lumineux et il te renvoie une bien belle image.

 

Pour ma part, j'ai fait le choix de me reconstruire seul au début, car je ne savais rien de la psychologie, pi tu sais fort bien, que lorsque l'on est dans un état de souffrance extrème, le réflexe est de s'isoler, c'est petit à petit, au fur et à mesure que l'on est un peu plus à l'écoute de son guide intérieur, ou enfant intérieur, ou tout les noms que tu veux donner à ton inconscient, que l'on comment enfin à ouvrir quelques portes pour meiux nous aider, car au bout du compte, nous somes les seuls à savoir ce qui est bon ou pas pour notre bien-être.

 

Je te souhaite une lumineuse fin de semaine, dans l'amour et la paix intérieure

 

Michel

 

Je connais un gars qui, selon sa femme dans les journaux, a cinq ou six cerveaux. Cela doit être dur à porter, non ?

Et en effet il semble avoir la grosse tête...

Ce qu'il a du souffrir dans son enfance !

Bonsoir à Tou(te)s

.. les extraterrestres !

ou les terrestres extra !

Roland a dit :

 "Pour moi, chaque blessure d'enfance a été l'occasion de découvrir et reconnaître une qualité de mon être ...
Toutes les blessures que nous portons, sont des blessures d'amour, d'amour déçu ou trahi ...
Être humain naissant (fœtus ou bébé), porteur d'une énergie neuve, pure et sans préjugé, nous étions - amour - pour ceux/celle qui nous accueillaient. Rayonnant l'amour, l'être aime, et dans le fonctionnement naturel de l'amour pure et inconditionnel, il s'attend à recevoir la même qualité en retour ... Mais les êtres blessés qui l'accueillent, tôt ou tard, ne savent reconnaître et répondre à cette qualité de présence ...
Perte du paradis, d'une extase profonde pour l'être qui arrive..."

 

Roland, je me demande d'où tu nous parle ?

Moi, j'ai la sensation de vivre sur Terre, sur le plancher des vaches.

Des "blessures d'amour " !!!???

je ne connais pas, cette chose, cette bête là, j'en ai jamais rencontré !

Des blessures d'amour propre, oui, ceci a beaucoup proliféré ici bas; mais pas d'amour (tout court)!

Sur Terre l'amour est complètement immunisé des toutes blessures, si j'en crois mes yeux.

" Être humain naissant (fœtus ou bébé), porteur d'une énergie neuve, pure et sans préjugé" !

Pourquoi pas !

Mais alors, le Karma, et choses semblables, la bio généalogie, etc ... c'est de la foutaise ?

J'en serais pas surpris; mais je laisse ouvert tous les champs du possible.

 

Et "perte du paradis" !?

Pourquoi du paradis, n'était ce pas l'enfer ou autres endroits éthériques ?

Avant ma naissance, je n'avais conscience de rien; alors je ne nommerais pas cet endroit, ni lui donner des qualités; peut être que c'était le néant !?

Et, du néant point de regrets... de l'indifférence tellement grande qu'elle me donne une idée de l'infini !

 

Cependant l'humain a horreur du vide, alors de ses blessures existentielles, il lui faut bien créer des raisons, des causes, des sources, à ces blessures.

Surtout venant d'endroits cosmiques (je n'ai pas dit comiques, même si le rire est le remède), desquels nous n'avons pas accès, donc pas de solutions !

 

"Nos blessures sont la trace de notre perfection !"

Vraiment !?

ne serait pas plutôt "la trace de notre imperfection" !?

Au fait A. Cohen et autres, est ce sérieux !?

Peut être que c'est uniquement pour le "fun" !

 

En espérant que les paroles d'un terrien basique aient un sens et un intérêt quelconque.

Cher Gérard,

Moi je préfère avoir 5 cerveaux, et même superposés (pourquoi pas?), plutôt qu'une mère comme la mienne!

Cher Roland,

Merci pour ton commentaire.

Je serai très heureuse si tu pouvais le "traduire en plus concentré" car, même avec toutes mes capacités intellectuelles très poussées et mes multiples cerveaux moi, humble blonde, je me perds dans les méandres de ta phraséologie très savante.
Merci.


Roland a dit :

Pour sortir de l'ambiance "ancien combattant" (excusez la taquinerie !), je propose quelques réflexions liées à mon expérience personnelle, même si elle n'est pas validée par "la faculté" (idem !) !

Il me semble que l'on commence à guérir vraiment de nos blessures, de notre souffrance, quand nous en connaissons les deux visages : la "malédiction" (toute la souffrance cachée et notre fragilité face à elle) et la bénédiction qu'elle portait en elle, le fait qu'elle révèle et témoigne de la lumière que nous sommes ... Quand nous voyons simultanément et librement ces deux faces de l'épreuve, sans plus aucune distance, ni rejet, ni doute ou réserve ... Simplement « cela est » ainsi, une expérience entière, pleine, qui, en ébranlant notre être, nous amène à redécouvrir la magnifique réalité de ce que nous sommes : lumière, joie, confiance ... Que nous en avons compris/découvert le sens psychologique et spirituel personnel ... et de quelle manière elle fait partie intégrante de l'être que nous sommes, et de la lumière que nous manifestons au monde. De manière moins subtile : pourquoi, humainement, ces épreuves étaient nécessaires, pour construire l’individualité et la personne que nous sommes. 
Cette compréhension n’émerge que quand on découvre ce dont je parle ci-dessous, et aussi (c'est la même chose), quand on parcourt le processus que je décris dans mon histoire de souffrance et d’amour « atomique » … 
Pour moi, chaque blessure d'enfance a été l'occasion de découvrir et reconnaître une qualité de mon être ...
Toutes les blessures que nous portons, sont des blessures d'amour, d'amour déçu ou trahi ... 
Être humain naissant (fœtus ou bébé), porteur d'une énergie neuve, pure et sans préjugé, nous étions - amour - pour ceux/celle qui nous accueillaient. Rayonnant l'amour, l'être aime, et dans le fonctionnement naturel de l'amour pure et inconditionnel, il s'attend à recevoir la même qualité en retour ... Mais les êtres blessés qui l'accueillent, tôt ou tard, ne savent reconnaître et répondre à cette qualité de présence ... 
Perte du paradis, d'une extase profonde pour l'être qui arrive : souffrance, déception, incompréhension, mal-être tonitruant ou larvé qui va en s'amplifiant ... Hurlement de douleur, l'être se cabre, se rebiffe, et puis encaisse et accepte, ou subit passivement, jusqu'à un désespoir qu'il portera secrètement toute sa vie ... 
Il fait une croix, sur cet idéal et cette réalité qu'il porte en lui : un amour qui aime au-delà des apparence, qui connaît, sans avoir besoin de voir ou de toucher, dans le pure ressenti ... Il l'enfouit bien profondément, pour ne plus sentir l'épouvantable blessure, de la perte et de la trahison par ceux qui sont sensés l'aimer "plus que tout au monde", mais qui ne peuvent l'aimer que "de leur mieux" ... 

Et quand on fait le chemin inverse : recontacter la souffrance (prosaïquement : accepter sans restriction, ni jugement la/les souffrances que nous renvoient nos vies), quand nous avons traversée cette souffrance, c'est-à-dire reconnu les véritables tenants et aboutissants de cette/ces souffrances, c'est sur cette blessure d'amour que l'on tombe ...
Et peut-on ne pas aimer l'être qui a été blessé, parce qu'il a aimé, sincèrement, sans peur et sans jugement ? 
Et c’est ainsi que commence une très profonde réconciliation intérieure : le pardon et l’amour pour l’être blessé que l’on a été, coule naturellement vers, et de, cet être que nous sommes …
Nos blessures sont la trace de notre perfection !
L'acceptation (comme j'en parle ci-dessus) de la souffrance nous ramène à la conscience de notre Unité intérieure ... !
Terrible ? Non : Magique.
Bonne soirée. Amicalement.

Tu sais qu'à Lyon on se régale de cerveaux ?

Pour les gens fatigués il y a le cerveau las sans oublier la tête de veau farcie

et en fin de repas la cervelle de canut

et le tout s'arrose avec un p'ti Beaujolais ou Côteau du Lyonnais
Quant aux 5 cerveaux j'ai beau me regarder dans une glace je n'ai pas encore la tête d'éléphant-man...
Marie K. a dit :

Cher Gérard,

Moi je préfère avoir 5 cerveaux, et même superposés (pourquoi pas?), plutôt qu'une mère comme la mienne!

Rires...

Enfin des cerveaux qui ne doivent pas passer le test d'alcoolémie!

 

Merci de manifester que l'enfant non écouté a besoin de trouver sa place quelque part,tôt ou tard .Je suis triste d'entendre parler de karma personnel alors que l'adulte,conscient de ses blessures ,exprime le besoin de reconnaissance au-moins par des mots ,qui,malgré tout ,n'exprimeront jamais assez "l'ineffable" du passé.L'égo semble avoir 1 image négative ,peut-être pour ceux qui ont eu assez de chance d'avoir pu l'exprimer suffisamment ,à travers des rencontres aimantes .Pour ma part,j'ai découvert la dimension de l'amour "inconditionnel" ,il y a peu de temps ,au regard des années de solitude



Roland a dit :

Que répondre à un aussi subtile humour ? ? ?

Mais finalement je suis d'accord avec toi : la souffrance d'un être plus sensible et plus intelligent que la moyenne, est bien plus vive, que celle d'une personne moins douée. Il y a beaucoup de livres intéressants là dessus.

Mais au final, chacun a la vie qui lui correspond pour progresser.

Sais-tu que nous avons 5 cerveaux superposées ? Ton chiffre parle finalement de l'homme ordinaire, juste un peu plus conscient que les autres, peut-être ...

Toi aussi tu as 5 cerveaux ! Mais tu ne le savais pas !

Tu sais, personne n'est obligé de lire mes pensums ... Chacun a ses limitations, et doit être en paix avec lui-même. Je respecte les différences ! Enfin, c'est dur des fois ... :-)

Bonne soirée. Amicalement.

 

 

Cher Roland

Oui, je fais de humour, un peu moqueur, mais pas irrespectueux.

je perçois les choses un peu différemment de toi.

Quand tu dis que les souffrances des personnes sensibles et intelligentes sont plus vives.

j'ai envi d'exprimer mon approche différente, tout en étant assez proche.

Une personne plus sensible que la moyenne risque de souffrir plus.

mais si elle a l'intelligence, alors elle souffrira moins.

car, comme pour un bateau : si il est équipé d'une grande voile (sensibilité au vent), il lui faut une grande quille (intelligence); alors pas de problème, pas de souffrance.

La souffrance, pour moi, est un manque d'intelligence, de conscience.

 

Quant aux 5 cerveaux, peut être, pourquoi pas dans le virtuel, l'éthérique.

Pas de problème pour moi, mais je suis plutôt indifférent avec ceci. je gère autant que je peux le conscient, et ceci m'occupe beaucoup déjà.

Quant aux autres et leurs critiques :

2° Accord Toltèque à lire 5 fois par jour.

C'est un bon remède.

Amitiés

Yves

 

 

Que certains me pardonnent, mais personnellement je pense bien qu'il s'agisse en définitive d'une histoire d'Amour.

De l'histoire d'Amour avec nous mêmes qui a mal tourné à cause d'un évènement extérieur important, qui a fissuré la fragile crysalide de l'enfance et lui a volé une partie de cet Amour.

Je pense que c'est ce manque que l'être cabossé ressentira toute sa vie.

 

Pour vous l'exprimer au figuré, et surtout pour ces messieurs les théoriciens: on peut remettre en état une carosserie accidentée de façon à ce que la voiture semble comme neuve.

Mais, sous la couche reluisante de la laque persistent malgré tout les traces de l'accident.

 

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