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Le Pardon ...

C'est notre guérison personnelle qui détermine notre capacité à être sensibles dans toutes les situations.

Lorsque nous avons guéri notre blessure et notre colère envers les autres, nous devons franchir le pont, c'est à dire nous pardonner aussi à nous mêmes.

Votre refus de pardonner au Soi ou à quelqu'un d'autre a-t-il fait voler en éclat le paysage de votre cœur?

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Réponses à cette discussion

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 10 novembre 2014 à 11:09

He oui Demsey parce que Halla c'est halla...n'est-ce pas....Halli, hallo halla... ."

Vous serez tous pardonnés car...." c'est dans la nature humaine d'être souvent désaxé....ou décentré au choix !!

Pardon : Remise de la faute par celui qui est offensé. Toute chose étant relative cela suppose reconnaissance de la faute, donc conscience et dans la foulée conscience de l'altérité.

Donc je le répète cela suppose qu'un minimum de conditions soient réunies.

Lien permanent Réponse de Lovyves le 9 novembre 2014 à 20:57

Bonsoir à Tou(te)s
Demsey fait marrer ou est proprement hallucinant !
Etre un hallucinogène propre et faisant marrer, voila un personnage qui devrait être dupliqué, cloné, pour le bien de l'humanité.

Très sérieux, sans rire, quoique ..
… un pardon impossible, une chose impardonnable :
C'est une chose réelle et un absolu ?
ou bien est ce une invention humaine, une convention érigée en absolu ?
Qu'en pensez vous ?

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 10 novembre 2014 à 10:33

Rien n'est obligatoire. moi je dit en quelques mots. Que les conditions du pardon doivent être réunis faute de quoi ce mot ne signifie rien. Y compris pour soi-même. Quand nous y regardons à la loupe nous pouvons voir le plus souvent tous ces jugements que nous portons sur nous-mêmes. Dans ce cas les conditions n'y sont pas. Je peux même concevoir que certains ne pardonne pas. D'abord parce que il n'y a pas de demande , pas plus de reconnaissance. Et puis il y a celles et ceux qui voient dans ce mot un caractère moraliste, qui ne leur convient pas et cela je le comprend aussi. Et puis à lire vos lignes certains y mettent cette dimension morale, d'autres pourraient culpabiliser de ne pas pardonner et/ou de ne pas pouvoir. Il faut bien le dire le plus souvent cela est traversé par des enjeux dont nous n’avons même pas conscience...alors ???

Chacun fera ce qu'il/elle peut.

Lien permanent Réponse de Ann-Pascale le 10 novembre 2014 à 14:12

Je rejoins Karen , tout dépend du niveau de Conscience de la personne .
Le regard que l'on porte sur un événementiel ,c'est à dire la coloration que l'on engramme d'une situation induit une souffrance ou pas..
Le pardon , me semble , une affaire entre soi et soi même..
Chaque effet à un cause ..et souvent on prend la justification de l'effet pour la cause laquelle entrainera un nouveau cycle de souffrances...puisque la cause n'est pas résolue ainsi...
La notion de Karma éclaire l'être dans sa dynamique de vie ..mais pas seulement celle qu'il vit actuellement..
Résoudre la souffrance en résolvant la cause est bénéfique ..même si l'effet continue d'agir ou subi ..
Se comprendre dans sa globalité de vie ..ou je dirais comprendre sa place dans l'Univers ..permet une approche Autre..celle de s'Aimer vraiment..le pardon, alors , prend un Autre sens..
C'est là , une expérience qui demande beaucoup de courage...une expérience spirituelle ..pas mentale.

Lien permanent Réponse de Lovyves le 10 novembre 2014 à 20:10

Bonsoir à Tou(te)s
Mentalement, ma pensée est très propre de celle de Ann-Pascale.
Pour le reste de moi-même, c’est idem.

Ce qui ne m'empêche pas de dire que le pardon n'est pas une affaire de paroles ou d'intention, qu'il faut y mettre aussi le coeur, les tripes, ... j'arrête là, car si non, je crains que je vais offusqué un certain nombre de personnes avec l’énumération des parties .. moins nobles du corps humain.

Bref, le pardon a besoin de détachement et de conscience; peut être que le mot conscience, dit seul, nu (sans moult circonvolutions au sujet de sa nature), c'est une attente à la pudeur.

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 10 novembre 2014 à 21:05

Ce que je lis est très abstrait. Une personne en frappe une autre et pour des raison qui n'en sont pas, ou lui apparaisse dans l'après coup comme légère. Elle s'approche de sa victime et lui demande son pardon. La victime lui accorde ou pas ou peu lui dire? j'entends je te dirais ce que je fias de cela dans quelques temps car pour l'heure je suis trop sonnée.

Autre exemple extrême que je connais : une personne en tue une autre, et puis regrette son geste à des remords.?..à qui pourra-t-elle s'adresser aux victime co-latérales ? Il y a une question de conscience qui ne peut se réduire à un : entre soi et soi, il y a d'abord entre soi et soi et ensuite entre soi et l'autre. Nous sommes sur la terre n'est-ce pas ??

Lien permanent Réponse de Lovyves le 11 novembre 2014 à 9:04

Bonjour à Tou(te)s
Concrètement, G J J connait il des gens qui frappent (agressent) sans raison !?
Ceci me parait fort étrange, mais mon savoir est surement léger.
Oui le pardon est une affaire de temps: 2/10° de seconde à .. un an, 50 ans; ou jamais; j'ai toujours le choix (de pardonner ou pas).
Ce n'est pas une affaire de gong mais de conscience.. acquise avant tous événements; ou avec le temps, après événements.

Si je tue, je n'ai pas (encore) le pouvoir de ressusciter l'autre; donc affaire classée à ce sujet !!
Si je tente de réparer, par diverses manières, le tord que j'ai causé, c'est toujours, d'abord, une affaire entre moi et moi.
Ensuite, je peux demander le pardon, mais ceci et la réponse (à cette demande) ne doivent pas influencer mon comportement (actions faites en conscience). Tout à fait OK GJJ en ce cas nous sommes sur Terre.

Lien permanent Réponse de Lovyves le 11 novembre 2014 à 9:05

Bonjour à Tou(te)s
.. les accrocs du pardon !
catsaison me semble être de bon conseil ce matin, je dirai même plus de très bon conseil.

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 11 novembre 2014 à 10:19

Pour ma part j'ai tenté d'exprimé quelques chose sur le sens du mot pardon et non sur les perversions. Peut-être que certains d'entre vous suggère d'ouvrir une autre page sur les détournements du mot pardon ?

Lien permanent Réponse de Gérard Jean-Jacques le 11 novembre 2014 à 16:00

Oui en effet il peut y avoir de nombreux contre sens. Et parfois des détournements de sens. Quoi qu'il en soit se sont nos présupposé qui guide nos écrits. Ils sont très variables d'une personne à une autre. Quand à mon point de vue il ne se nourrit ni des accords toltèques et pas plus de grilles d'élévation de conscience. Ce sujet me semble important c'est tout. J'ajoute cependant qu'en effet un pardon accordé et/ou un pardon reçu peut être très libérateur. Comme cela peut aussi ne pas être, dans quel cas il peut être nécessaire de se questionner ailleurs.

Lien permanent Réponse de Dominique Vandenberghe le 24 novembre 2014 à 15:34