C'est notre guérison personnelle qui détermine notre capacité à être sensibles dans toutes les situations.
Lorsque nous avons guéri notre blessure et notre colère envers les autres, nous devons franchir le pont, c'est à dire nous pardonner aussi à nous mêmes.
Votre refus de pardonner au Soi ou à quelqu'un d'autre a-t-il fait voler en éclat le paysage de votre cœur?
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Oui, aussi Karen .
Mais que représente ce pardon ?
Une fois ingéré, as t'il changer votre vie ?
Et puis on pourrait enchaîner sur la question, quand ?
Bonjour Mesdames.
En tant qu'éléphant dans un magasin (de femmes) de porcelaine,
je dirais que la question formulée par Karen est rationnelle et positive.
mais ..
Elle ne correspond pas, et ne peut pas correspondre aux multiples contradictions formulées dans les 3 phrases.
Je n'aurai pas l'outrecuidance de les nommer.
Mais peut être que Loona peut reformuler (dans un commentaire) son constat et finir par une question .. simple.
Bonjour Loveyves
Merci de participer à nos propos, j'aime beaucoup les éléphants , mais vous n'en êtes pas un .
Puis-je quand même vous demandez votre avis sur les trois contradictions que vous remarquer ?
Comme le dit Karen, c'est un vaste sujet, chacun le définit suivant son être ...
Ok. Puisque s'est demandé !
"C'est notre guérison personnelle qui détermine notre capacité à être sensibles dans toutes les situations.".
Nous pouvons être sensibles dans toutes les situations avec ou sans problème particulier.
Si c'est ma guérison, elle est personnelle, détail, certes, mais c'est un rajout (commun à beaucoup) lequel met, d'avance, une barrière à la clarté (à voir nos difficultés).
Tout en étant pas faux, oui, en étant guéri je suis plus sensible; mais de poser ce résultat en tête de problématique c'est une manière (subtile, inconsciente, sans doute), d'empêcher de voir ma problématique réelle, celle que je dois traiter.
"Lorsque nous avons guéri notre blessure et notre colère envers les autres, nous devons franchir le pont, c'est à dire nous pardonner aussi à nous mêmes."
Idem, le mot "colère" n'a aucun intérêt; nous guérison de nos "blessures", la colère c'est autre chose (un sentiment); tous ces mots sont "jolis" à dire, à présenter, mais d'aucun intérêt pour résoudre ma difficulté.
Oui, il y a moi et les autres; mais un pardon que d'un coté, n'est pas du pardon. Mais c'est un bon début.
"Votre refus de pardonner au Soi ou à quelqu'un d'autre a-t-il fait voler en éclat le paysage de votre cœur?".
Là c'est "grandiose"; mais, non problème, nous avons Tous été éduqués à fonctionner ainsi.
D'abord passer du "nous" ou "je" à "votre" (là, le 1° accord toltèque est de bon secours).
"au soi", C'est qui ça ? (subtilité, psy et autres, rarement adéquat pour nous, simples mortels).
Est-ce moi, ou quelqu'un d'autre, ou une partie de moi, que je ne veux pas voir ?
S'assume en entier : "je", l'être que je suis.
Et pour la suite dans quelle jungle impénétrable allons nous ? " paysage de votre cœur", est ce en Amazonie ?
Au lieu de "beaux mots" que tout le monde ne peut pas désapprouver, sous peine d'inhumanité; et, qui m'exonèrent (partiellement ou complètement) de ma problématique .
Si nous allions droit au but :
Si je refuse le pardon (à moi et à l'autre) est que ceci m'empêche de récupérer ma sérénité et ma pureté ?
Le cœur empêche la réflexion; la réflexion peut ne pas avoir de cœur; les deux sont des ennemis de la conscience.
L'emploi du "je", du "nous", du "votre" demande beaucoup de sensibilité et de subtilité, de cohérence avec ce que je vis dans le réel, pas dans ce que je voudrais être.
Eh bien ! Nathie y va fort, très fort !
Passer du pardon à soi et aux autres, à ce que les autres me pardonnent !
Autrui fait ce qu'il veut Nathie, ces actions ne sont pas de mon ressort.
La tyrannie n'est pas loin.
Toujours se méfier du mot "défaut", nous avons des qualités plus ou moins développées, ce qui fait que nos actions sont plus ou moins adéquats par rapport à soi et aux autres.
Nathie pourrait elle nous faire la relation qu'il y a entre pardon et ego ?
Ok, Karen, je ne parlais du mot "pureté", uniquement dans le sens d'absence de cohérence : pensées, paroles, actions.
Etre clair avec soi-même, est, pour moi, une forme de pureté.
Se mentir n'apporte rien !!??
La chose la plus rependue à travers le monde n’apporterait rien..
J'ai des doutes.
Merci pour votre réponse .
Veuillez m'excuser de mon absence à cette conversation que j'ai lancer .
Je reviens dés que possible, ma grand-mère s'étant casser le col du fémur (75 ans ) je suis à ces côtés .
Merci à tous
Bonjour à l'eau vive et à vous mesdames.
Le pardon: l'eau vive à ouvert la piste : lequel ??
La demande de pardon présuppose une reconnaissance de l'altérité.
Si j'ai fait à l'autre quelques chose de blessant pour lui. Je peux toujours lui demander son pardon. Dans ce cas il/elle peut me l'accordez ou pas. ET puis n'oublions pas que le pardon n'a de sens que face à l'impardonnable il s’inscrit aussi dans la relation qui présuppose une conscience de l'altérité. : imaginez que vous avez tué une personne..a qui demanderez vous pardon...? L'impardonnable ( par définition) existe donc relativement au pardon.
Quand à se pardonner à Soi cela suppose me semble-t-il une sorte de reconnaissance de mes limites humaines. Je peux me tromper et me pardonner, simplement parce que là ou j'en suis , he bien je ne me suis pas rendu compte (Juste un exemple). Il s'agit de dégager cela de ce que je nomme la judéo/CRETINITE. Ensuite il s'agit aussi et encore de valeurs, et de conscience qui est conscience simultanée de Soi et de l'autre auquel j'accorde autant de valeur que je m'en accorde à moi-même.
Je me disais bien que les questions autour et à propos de ce mot : pardon...étaient loin d'être expurgées. En conscience que j'avais pu blesser il m'est arrivé de demander le pardon de l'autre. Cela suppose de reconnaître et de considérer le point de vue de l'autre.Il m'est aussi arrivé de me trouver en cours d'assise et de comprendre qu'il y avait parfois de la non possibilité de pardon (de l'impardonnable...pas au sens judéo crétin , mais bien au sens de l'impossible pardon.... Encore une fois le pardon a un sens pour autant que l'altérité en ai un. S'agissant de l'auto pardon. C'est bien entendu possible dès lors que l'on conçoit que l'on ne peut "être et avoir été". Quand à Demsey sur ce sujet il me fait marrer.
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