"Le développement spirituel c'est impossible"

Quand pensez vous ?

Peut on ce grandir spirituellement en ayant une réflexion ou une pratique sur soi ?

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Réponses à cette discussion

Confirmation savapasmaletoi "n'aime" pas les questions posées.
Elle préfère en poser.
Cependant ses questions sont très intéressantes.
"Suis-je un humain qui fait une expérience spirituelle, ou suis-je un esprit qui fait une expérience humaine ?"
Les deux "mon capitaine" !
Je suis un humain qui fait une expérience spirituelle .. si je le désire, si j'en prends conscience.
Je suis un esprit qui fait une expérience humaine, .. là il y aune difficulté, avec le mot "esprit".
Qu'est ce que "esprit" : il va y avoir beaucoup de significations.
Alors je préfère reformuler la phrase :
Je suis de la conscience qui fait une expérience humaine (dans la chair, le biologique, dans la matière).

Expérience ou vie ?
Une conscience vivant la matière ou la matière vivant la conscience ?
D'ailleurs y a-t-il encore question à être conscient de la vie ?
Alors continue pourquoi chercher un sens à la vie ?
La vie aurait-elle besoin de sens pour exister ?
Si il n'avait pas de sens ni de but à la vie ?

Bonjour,

Je partage mes expériences dans un blog : expériences intérieures, rencontres, difficultés, enseignements, énergies travaillées...

http://1carnation.overblog.com (passer par l'index pour prendre les articles dans l'ordre chronologique)

C'est un chemin d'éveil de l'Être.

A vous lire

Développement spirituel, travail sur soi, pratiques .... Tant qu'il y a ce genre de pensées, de projets cela sous entend que ce qui est n'est pas ce qui devrait être, manières (pas très subtiles) de quitter le seul instant qui soit, le présent.

Désolé, il n'y a pas de progrès !!!

J'aime bien le titre d'un ouvrage de Thierry Vissac ISTENQS (Ici ce termine enfin notre quête spirituelle)

Je ne suis pas désolé.
Cependant, je soumets à la sagacité de Daniel Delagneau,
"ce qui est", est, ceci me parait tout à fait logique.
QUI suis-je est de toute autre nature.
Je suis physiquement le résultat de mes parents.
Mentalement, je suis le résultat du "formatage (D. M. Ruiz parle de "domestication"), de mes parents, éducateurs la société et ..
.. de ce que j'ai décidé de changer, grâce à mes recherches, observations, ce qui peut se nommer par développement personnel, spirituel, éventuellement, selon mes domaines de recherche.
Et, tout ceci sans jamais quitter l'instant présent.
Qu'en pensez vous ?

Cette du vivant et la clarté que tout est ici et la recherche s'arrête là.
Est une prise de conscience.
Cette prise de conscience ou cette réalisation si tenté quel le soit vraiment ( réaliser) n'est en rien un progrès mais so il le semble.
Pour autant
Temps que le sujet s'identifie au personnage ou dît autrement ce prend pour quelqu'un, l'illusion de progrès peut avoir lieu.

yesssssssssssssssssssssssss

Bonjour à Tou(te)s
Question pertinente, il me semble, Thérèse,
Selon mes perceptions actuelles :
Le "sans raison" me parait le but ultime de la spiritualité.
Mais pour l'atteindre, il y a des étapes.
Ce qui fait que je préfère parler de "niveau dans l'évolution spirituel" que de "cheminement".
Où, en suis je dans ma spiritualité ?
C'est déjà un "bon niveau" d'accepter là où j'en suis, et de voir la prochaine étape.
Exemple ai-je intégré le 2° accord toltèque ou pas ?
Question très importante.
Car ceci détermine mes relations et surtout mon comportement.

Quand j'ai des difficultés il est rare que ce soit propice à un développement spirituel (contrairement à ce que la société, toujours imprégné de Judéo-christianisme, veut nous inculquer (nous vendre !)).
Quand tout va bien, au mieux, c'est là qu'il faut s'y intéresser et s'y adonner.

Si nous n'avons ou ne trouvons pas de sens à une démarche spirituelle, ce sera très difficile de pratiquer.
Donc accepter que je fais tout par intérêt (divers et variés), et que ceci ou cela est mon "support" (des valeurs) pour pratiquer.
Il n'y a pas de honte à avoir des raisons de …!
Donc avoir des raisons de rire, c'est très bien; car le rire est un outil puissant pour la spiritualité.
Et rire sans raison, juste pour rire, parce que ceci est bon; là c'est un "niveau" qui permet une approche du but spirituel.
Etre heureux, ceci est sûr, si c'est sans raison.
Car s'il y a une raison au bonheur … danger !

En sport, je cours (je courrais) vite quand tout allait bien, et uniquement.
En spiritualité, il n'y a pas de .. raison, qu'il en soit autrement.
Bougeons quand tout va bien, quand tout est favorable.
Là est le cheminement le plus sûr.

.. A ne pas rester "primaire".

Tout est possible; et avec de "bonnes" raisons.
Là, je vais plaire à certaines personnes de Epanews (je ne suis éloigné de personne).
Rester dans le primaire, c'est rester que dans la matière.
Rester primaire, c'est de poussière qui s'est agglomérée, un certain temps, et qui retourne à la poussière.
La spiritualité rime avec conscience :
Pendant un court moment (quelques dizaines d'années) de la conscience s'est incarné; alors cette conscience c'est elle épanouie ou étiolée pendant ces quelques instants ?
j'ai le choix.

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