Accéder au bonheur comme tout un chacun le souhaiterait est ce possible?

Je suis toujours à la quête de ce bonheur absolu, y arriverais je un jour?

Et vous qu'en pensez vous?

Je vous remercie de vos commentaires.

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Réponses à cette discussion

Nous sommes ordinaires, comme tout le monde…

Et nous sommes aussi extra-ordinaires, comme tout le monde…

Encore faut-il pouvoir s'en apercevoir !

A Père Ce Voir…

Clarine-Voyante

très vraie citation de Jacques Salomé, merci Suzanne !

C'est à 18 ans, quand j'ai eu le permis de conduire, que j'ai eu ma première expansion de conscience. A l'époque, je ne savais pas ce que c'était, ni comment ça s'appelait, mais j'étais si bien... Je ne comprenais pas pourquoi un simple permis de conduire me rendait si heureux, et de manière si soudaine, mais j'étais dans l'euphorie totale.  Le plus drôle c'est que j'avais passé le bac quelques semaines plus tôt, sans que cela provoque une telle joie.

Mais dans mon inconscient, sans doute que le permis symbolisait la liberté, j'étais enfin un adulte qui avait le droit d'aller où bon il lui semblait, et ça c'était important.

Ma joie était totale, mais elle n'a duré qu'une soirée, le lendemain elle était retombée. J'en ai alors conclu que toute bonne surprise crée une joie qui dure un moment. J'ai attribué ma joie à un événement précis, et j'ai recherché d'autres joies, dans d'autres succès. Mais si je m'étais trompé ?

Et si c'était l'inverse ? Et si le bonheur était l'état naturel de l'homme ? Si la joie était notre état naturel, et que nous ne la laissions pas s'exprimer, en temps ordinaire ? Je sais, cela semble bizarre d'envisager les choses à l'envers de tout ce que nous avons appris, mais si nous voulons changer notre vie, il va bien falloir inverser quelque chose (pensez à la carte 12 du tarot, le pendu).

Donc, je vous demande de faire avec moi cette hypothèse : envisageons le fait que, au contraire de tout ce que nous avons appris, la joie est en fait notre état naturel ; mais que pour une raison quelconque nous y mettons des freins. Voyons un peu ce qui se passe du côté des freins : ça nous ramène à l'exemple du permis de conduire.

Tant que je n'avais pas le permis, je me sentais limité. Ma nature profonde se sentait probablement déjà, libre d'aller où bon lui semblait, mais ma raison interdisait d'y penser (même pas en rêve, comme on dit à Marseille). Et donc je me sentais limité, tout simplement parce que je m'identifiais à ma raison, et non à ma nature profonde.

L'expansion de conscience serait donc toujours là, tapie au fond de nous. Mais par l'identification aux choses extérieures, nous ne nous autorisons tout simplement pas à la vivre.

Alors, que pensez-vous de cette hypothèse ?

 

100% ok, par cet façon de ovir les choses nous pouvons connaitre un bonheur vrai et profond qui ne dépend pas du monde extérieur  donc ni du avoir ni du faire mais simplement du faire ...

Expérimenter cela est une base pour que notre monde change et que la joie , le bonheur puissent se rependre sur toute la terre !

Bonsoir Régis,

Le bonheur de prendre une voiture et rouler à vive allure me permettait d'avoir se sentiment de liberté absolue,je me grisais de vitesse et j'avais l'impression de voler. Même encore maintenant si je pouvais le faire malgré le risque d'avoir une amende je le ferais. Je vais me rabattre sur le parapente, c'est fantastique d'avoir ce sentiment d'être libre comme l'air....

Ca par exemple je m'autorise à le vivre, d'ailleurs voler comme un oiseau n'est ce pas merveilleux. Aller au bon vous semble, ce serait si bien.

Belle soirée

Alors je reprends le fil de mon idée... Si nos joies ne sont pas la conséquence d'une cause extérieure, alors où faut-il porter notre attention ?

Si nous avons attribué à tort, nos joies à un certain nombre de causes extérieures, alors intéressons-nous d'une manière différente à ces "causes", car elles ne sont peut-être que des ouvertures, des conditions qui font que nous nous autorisons à vivre la joie.

Et quand nous sommes joyeux, ne cherchons pas pourquoi, mais quelle est la condition qui fait que maintenant, je m'autorise enfin à vivre une joie que je m'interdisais il y a seulement cinq minutes. Pourquoi nous autorisons-nous à vivre la joie uniquement quand tout va bien autour de nous ? Demandons-nous aussi pourquoi nous faisons du bonheur un but, et non un point de départ.

Régis ..
Je t'ai connu plus simple !

"... Si nos joies ne sont pas la conséquence d'une cause extérieure, alors où faut-il porter notre attention ?"

Où tu veux !!!

"Si nous avons attribué à tort, nos joies à un certain nombre de causes extérieures, alors intéressons-nous d'une manière différente à ces "causes", car elles ne sont peut-être que des ouvertures, des conditions qui font que nous nous autorisons à vivre la joie.

Pour un Béotien, c'est dur !!!
"En gros", intéressons nous à nos illusion extérieures !?

"Et quand nous sommes joyeux, ne cherchons pas pourquoi, mais quelle est la condition qui fait que maintenant, je m'autorise à vivre une joie que je m'interdisais il y a cinq minutes.

j'ai le droit de m'interdire et de m'autoriser !!!

"Pourquoi nous autorisons-nous à vivre la joie uniquement quand tout va bien autour de nous ? "
Nous sommes Tous un peu Japonais : on rit quand tout le monde rit, et pas quand tout le monde ne rit pas … Régis, serais tu un "mal élevé" !?

"Demandons-nous aussi pourquoi nous faisons du bonheur un but, et pas un point de départ vers l'action."
Parce que au départ, le but c'était l'action.
Etre, ou ne pas être, voila le bonheur .. ou pas !

Ha Lovyves, je me demande si tu ne compliques pas encore un peu plus...

Je crois qu'on est devenus compliqués, en s'éloignant de la nature. C'était sans doute moins compliqué quand on travaillait dans les champs, et qu'on faisait la sieste dans le foin.

--

Le bonheur est d'être vraiment soi-même à sa bonne place. Clarine

 

 Le bonheur est un vaste sujet, avec diverses explications, un jour nous pouvons être dans la joie la plus totale.... simplement, en toute simplicité en ce qui me concerne aujourd'hui ma petite belle fille qui me dit vous savez, votre fils vous adore. Alors là je suis devenue joyeuse et rayonnante en une seconde. C'est simple finalement , l'Amour filiale et maternelle qui transante tout.

 Un bonheur parmi tant d'autres.

 Marye

 

Merci beaucoup de ta réponse Roland,

oui, "la folie du monde", "l'inconscience puissance dix", et tout ce que tu dis, voilà l'explication pour cette victime innocente et châtiée, cette toute petite fille si jolie et si malheureuse… !!!

L'explication est aussi que L'Indifférence tue.

Dans le monde, il y a des moutons blancs et des moutons noirs. Il y a aussi encore quelques uns de ceux qui ont pourtant sauté pour de bon par dessus la barrière de l'enclos, et fréquentent les vastes pâturages. Il y a des guerriers de lumière…

En réalité, hors de l'enclos, il n'y a plus de diable et de souffrance, il n'y a que Amour et Paix. Notre souffrance, c'est souvent d'avoir peur du Grand Méchant Loup qui existe en nous…

Je voulais vous alerter, vous Roland, car je respecte et apprécie ce que vous dites de tout votre coeur sur Le Bonheur. 

Ce que nous devons faire ? Signer cette pétition car cela nous prendra 3 secondes éternelles.

Ensuite, si on veut aller plus loin, on peut passer une soirée à méditer en compassion pour cette enfant qui est loin mais, en réalité, si proche de notre coeur compatissant à chacun, et chacune. N'est-ce pas ?

Bonne soirée.

Clarine

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