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l'âme n'est pas créatrice du monde. C'est l'humain qui créé ces mochetés, par ses pensées non positives et manque d'Amour et de Lumière.
"l'âme est une croyance."
C'est ta croyance.
:-)
Réponse un peu décalée , mais qui a peut-être à voir ... trouvé ici :
http://perlesdebonheur.blogspot.com/2010/01/scott-kiloby-de-la-cons...
Scott Kiloby : de la conscience après la mort
Q: Oui, c'est compréhensible que l'on puisse expérimenter ou n'être que la conscience lorsque l'on est vivant, mais qu'en est-il de cette conscience après la mort ?
En d'autres mots, où est alors la conscience JE SUIS ?
S: Remarquez la tendance à personnaliser la conscience, comme s'il s'agissait de "votre" conscience (un soi séparé individuel). Dans la croyance en un soi séparé, il y a une lourde dépendance envers la pensée, ce qui signifie que l'identité se situe dans l'histoire du passé et du futur. Naturellement, l'histoire regarde vers sa fin et dit : "Que va-t-il m'arriver à "moi" la conscience, lors de la mort ?" Voilà pourquoi nous ne pouvons pas trouver notre identité réelle dans les pensées. Les pensées, lorsqu'il y a croyance en un soi séparé, sont l'histoire. Elle est pratiquement complètement auto-centrée, plaçant littéralement une entité imaginée au centre de l'univers. C'est la personnalisation de la conscience. Et ainsi ces questions viennent d'une peur de la mort, la peur de la fin de l'histoire du "moi".
Relisez votre question et ma réponse et remarquez ces choses en tant qu'apparences dans la conscience qui est éveillée là, maintenant. C'est si immédiatement présent qu'on n'y prête pas attention, et que nous nous tournons vers les pensées... Cette conscience est ce que vous êtes. En reconnaissant cela instantanément ou en y retournant dans la journée, si telle est votre pratique, il est clair que ce qui regarde n'est pas une histoire. Tout comme les réflexions d'un miroir ne changent en rien le miroir, cette conscience qui est votre véritable identité reste intouchée, inchangée, elle ne bouge pas peu importe les pensées qui apparaissent et disparaissent en elle.
Ce qui regarde n'est jamais né. L'histoire d'être né est une apparence qui va et vient en elle. L'histoire de mourir un jour est aussi une image qui passe. Voyez par vous-même. La seule façon de savoir que vous étiez né ou que vous allez mourir est de se référencer à la pensée. Ce qui se tient en tant que pure conscience là, maintenant n'a aucun moyen de concevoir "être né" ou "mourir" jusqu'à ce que ces concepts apparaissent.
C'est pourquoi, vous entendez souvent "Vous êtes au-delà de la naissance et de la mort". La seule façon de croire que la conscience ne "continuera" pas après la mort, c'est la personnaliser. En fait, la conscience ne "continue" pas après la mort. Le sens de "continuer" est le sens du temps. Le temps n'existe que lorsque la pensée apparaît. "Continuer" est encore la pensée, c'est l'histoire du temps, l'histoire de la personne. La conscience a toujours été ici, présente et pourtant dire "toujours été" implique un passé. Le passé et le futur sont des pensées qui apparaissent dans ce qui est éternellement éveillé. Ce qui est éternel ou atemporel n'est pas sujet au passé et futur et de ce fait n'est pas sujet à la naissance et à la mort.
La clé ici n'est pas de croire ce qui est dit, mais plutôt de demeurer tel que vous êtes déjà - la conscience- et voir tout ceci par vous-même.
http://www.kiloby.com/D’accord avec Yannick : notre vie a un sens parce que la vie continue après, et que nous n’allons pas vers le néant, ce qui n’aurait aucun sens. De nombreux témoignages de l’au-delà, et je pense ici notamment aux bons livres de François Brune sur ce sujet, « les morts nous parlent », nous indiquent plusieurs choses :
1. Nous conservons dans l’au-delà notre conscience individuelle, nos souvenirs, notre personnalité. Pas de dissolution dans une quelconque conscience collective ou énergie universelle. J’ai rencontré dans mes conférences de nombreuses personnes qui m’ont apporté le témoignage de leur communication avec un parent ou un enfant décédé, de manière très convaincante.
2. Nous avons dans ces plans (il y en a de nombreux) un corps qui est certes plus subtil que le corps physique, mais qui est de même forme, et lui aussi doté d’organes de perception. Nous continuons de voir, d’entendre, de ressentir tout ce qui est de même nature que ce nouveau corps, ce qui est sur la même longueur d’onde que lui.
3. La vie dans l’au-delà dépend du plan dans lequel on se trouve. Et celui-ci dépend du niveau d’évolution et du degré de pureté de notre esprit et de ses différentes enveloppes. Plus l’esprit est évolué, plus il rejoint des plans purs et lumineux, et y retrouve des êtres en affinité. La vie est paisible et sereine. Tout est fait pour continuer d’apprendre et de prendre conscience. Mais ceux qui ont des aspirations basses et égoïstes se retrouvent eux aussi par affinité, dans des plans ou ils se font souffrir mutuellement, jusqu’à ce qu’enfin ils aspirent à sortir de cet « enfer » qu’ils ont eux même créé…
Pour étayer ce débat je vous propose de visiter le site du Dr Jean-Jacques Charbonnier,
médecin anesthésiste-réanimateur qui étudie les NDE
http://jean-jacques.charbonier.fr/v2/
http://jean-jacques.charbonier.fr/v2/qui-suis-je.htm
Il fait des conférences un peu partout en France :
http://jean-jacques.charbonier.fr/v2/actualites.htm
Il dit :
"Mon métier de médecin-anesthésiste-réanimateur fait de moi un professionnel averti de la NDE (ou EMI, Expérience de Mort Imminente) car voilà maintenant plus de 20 ans que je m'occupe de personnes en état de mort imminente ; des comateux qui, plongés dans les limbes d'une dimension inconnue, parviennent parfois à revenir à la vie après avoir traversé une expérience bouleversante.
Durant toute cette longue période, j'ai effectué un grand nombre de réanimations cardio-respiratoires et ma pratique me permet aujourd'hui d'affirmer un certain nombre de choses que je développe longuement au cours de mes conférences ou de mes écrits.
Celles-ci font voler en éclats les paradigmes scientifiques concernant nos conceptions de la mort.""
Merci à Eric Leroy de citer jean jacques Charbonnier. Dans la droite ligne de Raymond Moody, qui dès 1975 (la vie après la vie) avait compris que la vie continue après la mort en étudiant les témoignages de personnes ayant vécu un état de mort temporaire. Or le fait que ces témoignages décrivent tous les mêmes phases, très objectivement, quelles que soient la culture, la religion, les conceptions sur la vie après la mort de ces personnes, démontre que ce n’est ni leur imagination, ni même un « résidu » de fonctionnement du cerveau qui est à l’origine de ces témoignages, comme voudraient le faire croire les médecins matérialistes. D’ailleurs, on se demande bien quelle fonction du cerveau permettrait à ce personnes de décrire, dès leur réveil, ce qui se passait dans les pièces voisines de la salle d’opération dans le médecin les a constatées décédes… ?
Si c’était le cerveau qui imaginait, tous ces témoignages seraient forcément très différents les uns des autres. Or il n’en est rien ! Et nous avons aujourd’hui environ 20 millions de témoins qui depuis les années 75, racontent toujours la même chose sur les premiers pas d’une âme dans l’au-delà !!!
Et il y aussi des milliers de personnes qui aujourd’hui, en France, communiquent avec des personnes décédées. Non pas par le spiritisme, comme à la fin du siècle dernier, mais avec des appreils tels que de simples magnétophones (TCI : transcommunication instraumentale)
Donc, et pour répondre à Elisabeth Conil, nous avons de nombreuses sources qui se recoupent à 100% pour pouvoir affirmer que nous pouvons savoir beaucoup de choses sur l’âme, et sur l’au-delà !!!
Grâce à ces témoignages, aui sont recoupés par les observations de nombreux voyants, je crois donc que la question de savoir si l'âme existe à déjà trouvé une réponse. Car justement cette réponse n’appartient pas au domaine de la foi, mais à celui de la connaissance !
Mais ce n’est pas parce que l’idée de l’éternité est séduisante…qu’elle est fausse !
Les voyants ont aussi pu constater que l’âme reste rattachée au corps physique quelques jours après la mort, ou parfois quelques semaines. L’âme et le corps sont reliés pendant ce temps comme par un cordon ombilical qui relie l’âme au corps au niveau du plexus solaire.
Ce n’est que lorsque ce « cordon d’argent » (car il est de couleur argentée) se coupe, que l’âme peut enfin se libérer, et monter vers le plan de l’au-delà qui correspond à son niveau de maturité du moment...
Une question vient en vous lisant . Sait on combien de jours exactement reste attachée cette âme ? Que dire des âmes qui continuent à se manifester quelques centaines d'années après ?
Le sujet est vaste et suscite toujours des interrogations ....
Je réponds tout d’abord à Lhamo :
Le temps pour la libération de l’âme est variable selon chacun. En inde par exemple, l’idée de la continuité de la vie est tellement évidente, que la libération est rapide. Mais le délai de trois jours avant d’incinérer le corps est toujours respecté pour laisser à l’âme le temps de se libérer afin qu’elle ne subisse pas de dommages à cause de la chaleur des flammes. Car le corps astral est d’une nature très proche du matériel.
Nos pensées forment toujours ce que nous voulons : si nous sommes très attachés au corps physique, alors la libération sera lente, et peut durer des semaines.
Donc plus on est convaincu que seule la matière existe (matérialisme), et plus il est difficile de s’en libérer…mais seul un voyant peut dire si dans un cas précis le cordon d’argent est rompu…tant qu’il n’est pas rompu, la personne peut revenir dans son corps. Le cas de la résurrection de Lazare est bien connu dans le nouveau testament.
Sur le livre « Un autre corps pour mon âme : Souvenirs de voyage dans l'au-delà » de Michael NEWTON.
Je ne connais pas ce livre, mais il semble intéressant. Je crois moi aussi que beaucoup d’âmes sont en attente d’une nouvelle vie, afin de dénouer elles aussi leur karma accumulé au cours de leurs vies précédentes…
Merci Claudie , je n'ai pas encore lu Michael Newton , par contre il y a des vidéos sur daylimotion . Pour Freddy , il est certain que plus la personne vit d'une façon matérialiste, plus il lui sera difficile de couper le lien avec la vie terrestre . Les tibétains annoncent des chiffres pour le nombre de jours (voir les bardos) .
Il est dommage que les trois jours après le deuil ne soient pas toujours respectés en france (j'ai eu le cas dans ma propre famille). Imaginons la souffrance de celui qui revient dans son corps ou ne l'a pas quitté ...Certains n'ont pas fait le travail de se"détacher du corps" durant leur vie ...
L'un d'entre vous a t il lu Mourir n'est pas mourir?
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