La solitude peut conduire au bonheur sans l'amitié d'autrui qu'il peut en attendre.Etre heureux et trouver le bonheur seul dans la béatitude de son isolement.......JC
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"Il faut parfois du temps pour accepter ce que nous savons et que nous ne voulons pas admettre."
ou accepter ou consentir. He oui c'est qu'alors ce n'est déjà plus la même carte du monde. Il s'agit de co-naissance entre soi.
Content de lire que vous avez trouvez cette personne. Et je comprend que quand vous trouvez la personne qui vous y accompagne he bien vous pouvez souhaitez aux autres un équivalent.
Donc vous savez bien qu'il ne peut y avoir de recette et que cela n'est pas magique. Peut-être alors faut-il vous en félicitez et vous-même prendre ce temps de vous en félicitez. Devenir son propre ami prend en effet du temps et parfois requiert un sacré courage, celui de nous confronter à nos ombres, nos croyances etc.....
mine de rien cela peut- être le chemin d'une vie. Et tellement singulier à la fois, c'est bien là aussi ce qui par ailleurs en fait le charme.
Je n'irai pas jusqu'à dire que cela en fait le charme.
Je suis fière par contre de moi, aujourd'hui, parce-que je viens d'admettre que je suis une belle personne, comme celles avec lesquelles j'aime dialoguer.
Je peux dire maintenant qu'il n'est pas besoin d'être deux pour vivre être heureux...
Chaque rencontre, cependant contribue à majorer l'idée qu'être heureux ne tient pas uniquement à soi, mais aussi à l'accompagnement même succinct que l' autre peut nous apporter...
Être heureux seul, certes, mais avec de belles rencontres...
ça en fait le charme dans le sens ou je conjugue le mot charme au singulier. He puis ce qu'il peut y avoir de beau dans la rencontre comme vous le dite, c'est justement ce sentiment de rencontrer l'autre et que cela ne se programme pas. A plus
Bonjour à Tou(te)s
catsaison me fait (toujours) sourire; et, ce matin c'est particulier car je vais abonder en son sens.
Il m'est plaisant de lire "que lorsque l'on est heureux on est souvent joyeux, mais le bonheur peut être calme, serein, doux et souriant, sans tapage.".
Et que : "Il y a aussi des personnes au tempérament joyeux quoi qu'il arrive.".
Selon ce que nous savons de Bouddha, il était toujours souriant, donc l'on peut dire joyeux; mais pas d'une joie tapageuse.
Cependant, paradoxe, il parait qu'à un voyageur qui cherchait Bouddha on lui a répondu : "va là où l'on rit". Donc nuance entre le rire (bruyant) et la joie (bruyante).
Il est possible que la joie (forte) ne soit plus du domaine du bonheur mais des émotions; donc fonction d'événements extérieurs.
De mon propos voyez en ce que vous voulez, ceci étant votre affaire.
"Le bonheur ou la joie est-ce la même chose pour être heureux la est la question"
Ne pourriez vous dire : "là est une question ?" ou bien "là est ma question" ou bien "cette question je me l' a pose ?" ou encore "je me trouve avec cette question" et puis voir comment vous -même y répondez. Mais LA question ????
Peut-être question du siècle , allez savoir ? Fort heureusement notre langue permet quelques nuances, de taille.
… Et que la réponse, tout le monde l'a.
Cependant, il est fort possible, que LA réponse à LA question (Le bonheur ou la joie est-ce la même chose ?) ne convienne pas au formatage des gens.
Et que la langue française devrait être modifiée en fonction du formatage BCBG, de la mode actuelle, de la société du spectacle (verbale) : un petit félin, nommer couramment "chat" est en réalité un coléoptère à poils, gris la nuit et d'une autre couleur le jour.
Nous vivons une époque joyeuse !!!
C'est précisément au formatage que répond cet énoncé avec "LA". Comme une sorte d'universalité de la question. Personne se poserait de question sur la ou les façons de poser les questions ? Par exemple ou/qui est le sujet parlant ? ET puis arrive le spécialiste anti/poncifs ou plutôt questionneur de poncifs leauvive. Il semble ne pas aimer la concurrence ce qui me rappel cette phrase " dans le monde des hommes le pouvoir ne se partage pas..."
Tout à fait J C,
L'amour n'est pas toujours dans les prêts, cependant il est près des prés.
A moins que ce soit à deux enjambées d'un champ où l'on cultive des herbes que fume l'amie (Lisa); ceci dit, si j'ai bien le compas dans l'œil.