La solitude peut conduire au bonheur sans l'amitié d'autrui qu'il peut en attendre.Etre heureux et trouver le bonheur seul dans la béatitude de son isolement.......JC

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Réponses à cette discussion

Bonjour à Tou(te)s .. les heureux.
.." les émotions sont surprenantes", ceci est fort possible.
J'ai appris à l'armée (référence douteuse, donc à prendre avec tact) que tout homme surpris est un homme mort.
Alors depuis, je fais attention de ne jamais être surpris (physiquement) et de mes émotions, aussi.
Je ne suis pas candidat à l'automutilation, ni au suicide… même émotionnel.

Rires gras, rires maigres; rires fins, rires grossiers .. tout est bon dans le cochon et la vache qui rit.

Bonjour à Tou(te)s
catsaison s'en va en guerre.
Comme Don Quichotte, probablement.
Est-ce bien raisonnable, dans un monde civilisé et pacifique (pléonasme) ?
Dans un monde civilisé, une (belle) question, hautement philosophique, de plus, est la preuve de la bienveillance et de la pondération entre les individus.

Ce n'est parce ce que j'ai tiré (sens second) quelque(s) bénéfice(s) de mon passage à l'armée française, que je me sens en guerre; bien au contraire.

"le rire est-il une émotion ou la réponse à une émotion" ?
A ma connaissance le rire n'est pas une émotion.
La joie, l'enthousiasme peuvent s'exprimer par le rire.
Le rire étant alors le moyen d'expression d'une émotion.

Le rire une réponse à une émotion ?
Par rapport à l'individu (lui-même), ceci arrive assez souvent, plus chez les femmes (constat).
Ce rire est souvent un rire de gène, d'excuse ou autre(s) justification(s) à un manque de transparence.
Ou, autrement, comme dans cas de l'expression d'une émotion (positive) (comme ci dessus).

Par rapport à autrui, oui, l'émotion d'autrui peut faire rire.
Et, ceci pour diverses raisons, très différentes( allant de l'empathie à la moquerie).

Bonsoir à Tou(te)s
et à catsaison et particulier,
J'ai écris :
"Le rire une réponse à une émotion ?
Par rapport à l'individu (lui-même), ceci arrive assez souvent, plus chez les femmes (constat).
Ce rire est souvent un rire de gène, d'excuse ou autre(s) justification(s) à un manque de transparence.".

Il me semble, que ceci implique que ce n'est pas LE rire des femmes en général et en toutes occasions.

Ceci dit, est ce que j'ai dit est faux ?
Est-ce uniquement sorti de mon imagination que certaines personnes, plus souvent des femmes, rient ou commencent par rire au lieu de répondre à une question ou à une situation donnée (situation donnant une émotion de confusion, contrariété, d'incommodité)?

Bonjour à Tou(te)s
Tout à fait, j'en fais le constat, puisque catsaison vis exclusivement dans le monde des bons cœurs, je vis (exclusivement)dans le monde des mauvais cœurs.
Cependant ceci n'est peut être qu'une généralité (ou "parfois").

Il faut au moins être deux, pour avoir un échange, un partage...

Cela me semble de plus en plus rare de trouver des personnes sincères, sans jugement .

Pour mon cas particuliers je vis seule,la maladie et le divorce m'ont isolée de mes amis.

Cette solitude me pèse et il est compliqué de se lier à mon age...

Quelle solution ?

Merci pour cet encouragement...

Je travaille dur pour me reconstruire

Bonsoir à Tou(te)s
Et à FERLIN Michele en particulier,
Il n'y a pas de "reconstruction" dans la vie.
Il n'y a pas de "travail", et, encore moins de "travail dur".
Nous fonctionnons (mentalement) d'une certaine manière; généralement selon le "formatage" de notre jeunesse et de nos diverses expériences.
Si nous voulons changer, changer notre perception de la vie, de nous-mêmes, c'est une décision.
Ensuite un peu de discipline pour que ce changement soit intégré, devienne "naturel".

Nous vivons dans une société qui, avec les mots, empêche, les individus de sortir réellement, de leurs difficultés et des manières de vivre culpabilisantes.

La joie, l'enthousiasme, le bien-être dans la voie du changement désiré.
Lire, entre autres "la Pratique de la Voie Toltèque".

Je prends note des commentaires.
Je reformule donc je me de formate, j'ai décider de changer mes comportements et c'est parfois très compliqué.j
mercij

Il me faudrait un peu plus de temps pour singer les conseilleurs. En effet il ne suffit pas de vouloir. Et ce que semble ne pas envisager quelques autres ici c'est que cela ne marche pas sur commande !! Vous pouvez Michèle avoir besoin de vous faire aidé. Car les déterminismes qui nous conduisent ne sont pas forcément conscients. Quand à  la parte à la crème des accords toltèques, la méthode Coué à autant d'effet. Donc les : " il faut....tu dois....y a qu'a....il suffit de......les outils de culpabilisation." ne sont pas indispensables. En revanche si vous avez le sentiment Michèle que tout cela vous dépasse, que c'est "plus fort que vous" alors je pense qu'il faut consulter : cherchez dans votre environnement quelqu'un qui vous indiquera un bon psy. Comme disait un ami : compétent, qui parle là ou vous vous sentez en confiance. Parfois il faut ne pas hésiter à en voir plusieurs. pour trouver celui/celle qui vous convient.

Bonjour à Tou(te)s
Et, de plus, je suis persuadé que Gérard Jean-Jacques parle exclusivement dans l'intérêt de Michèle.

Merci Jean-Jacques de ce conseil.
Je consulte depuis un petit moment...
Il ne suffit pas Uniquement d'être motivé, il faut aussi changer des années de comportements
J'ai banni depuis peu, il faut, tu dois car c'est sans doute ce type de mots inculqués depuis l'enfance qui m'ont menée ou j'en étais il y a quelques mois.
Pour en revenir au thème de la discussion, pour être heureux à mon sens, il suffit déjà d'être UN.
Pourtant hier je vous aurai dit, il suffit d'être deux...
Et si il se rajoute des pièces au puzzle pourquoi pas...

Je parle dans l'idée que son  intérêt Michèle le connait, mais peut-être que Michèle ne sait pas qu'elle le connait. D’où l'idée de se faire aider par une personne compétente.

L'expérience m'a déjà largement montré que les troubles relationnels se dépassent dans et par une relation. Bien entendu par n'importe laquelle. Quand aux recettes de perlinpinpin de type comportementalistes. Elles sont des succédanés à : il faut...tu dois...il suffit de .......Mais pour l'heure la parole est à Michèle et pas nous à sa place.

Je ne suis pas sur qu'il s'agisse de "changer" mais peut-être davantage en se découvrant de mieux se considérer et par là de mieux considérer les besoins émergent , lesquels parfois nous étaient en effet camouflés par (notamment) nos conditionnements. Dans tous les cas je vous souhaite le meilleur.

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