La solitude peut conduire au bonheur sans l'amitié d'autrui qu'il peut en attendre.Etre heureux et trouver le bonheur seul dans la béatitude de son isolement.......JC
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Et bien Catherine,
j'aime beaucoup ta façon de voir les choses,message plein d'espoir et de persévérance..........qui fini toujours par payer.
Merci
Carole
Bonsoir à Tou(te)s
J'aime beaucoup les derniers commentaires de chacun.
Quand les ressentis des uns et des autres sont directes, émanent de la personne (toute entière); pas du cœur ou du mental ou de je ne sais où.
Aimer, oser (sortir de sa zone de confort) c'est très souvent simple.
Le bonheur, c'est du simple, le ressenti, l'absence de pensées momentanément.
La pensée, le "mental" contribuent aussi au bonheur, quand l'amour, la bienveillance sont là.
Simple quand nous y mettons pas les superlatifs.
Je me mets en action, avec mes capacités, en étant perfectible.
Mais pas en dépassant mes limites, il n'y a que les morts qui dépassent leur limite.
Et, quand j'agis, c'est avec ma pensée, mes ressentis, le cœur.. oui, le reste aussi, tout autant.
L'inconnu, c'est quelque chose (quelqu'un) qui mérite d'être in (dans le) connu !
Merci Demsey. Je partage votre ressentis : ça se donne, et nous en avons un réservoir peut-être inépuisable. Comme le disait d'une autre façon l'ovyves. Ce n'est pas obligatoirement une affaire/histoire de l'ordre de l'amoureux et pas plus de l'autre du deux ou encore du trois..... ça me fait penser à de l''énergie, de la circulation, de la légèreté, de force et aussi de vulnérabilité de nommable et parfois de non nommable. Il s'agit d'immatérialité qui n'enlève rien à la matérialité. Que voudrait dire "tout passer au tamis " ? Nous avons des sens , nous avons la pensée, les sentiments, nous avons nos sensations et peut-être bien l'intuition..alors il s'agit de s'en servir, pas plus , pas moins. Il y a et il y aura toujours ce qui nous échappe et je le pense ainsi : tant mieux. De l'ordre du mystère du vivant. De nombreux déterminismes éducatifs et socio nous donnent des illusions de maîtrise. Quand nous éprouvons sans danger que nous ne maîtrisons rien y compris avec nos paroles. Que comme le dit l'ovyves cette épreuve de "nos illusions" ce n'est pas rien que d'affronter le rien, le presque rien, voire le vide ! Le risque ou la tentation peuvent être importante que de lâcher la rampe de la vie d'une façon ou bien d'une autre. Et encore une fois les mots savoir qui s'accrochent le plus souvent à croyance qu'a co-naissance. Et puis d'assumer notre subjectivité ce n'est pas rien non plus, se sentir unique ( sans narcissisme excessif) et se sentir isolé parfois cela se frôle. Alors dirais-je que nous vivons sur un fil bien mince et qu'il est toujours venu le temps de nous apercevoir de ce qui est vraiment important pour Soi ?
Indépendamment de toutes autres considérations donnons nous la liberté lorsque nous utilisons le mot amour de vous poser ces questions; de quoi le mot amour est-il le nom ? De notre dépendance : JE TE ME, JE T'AIME, JE = TOI ET MOI....Le "moi" fait un retour sur lui-même et peut alors dire : sans toi je ne suis rien.....?. De notre interdépendance : sans un TU pas de JE (reste alors à choisir mes "tu"....he oui !). Un masque de notre finitude ? De notre solitude (pas confondre avec isolement), de notre être limité ? De nos peurs : du non sens possible et plausible ? N'excluons pas la pensée et l'esprit pour la mise à jour et mise en lumière. Ou bien accommodez vous de cette nébuleuse prétentieuse qui signifierais qu'elle se suffit d'elle même , à laquelle je réponds : NON. Bien entendu ce n'est pas à moi qu'il faut répondre (si il y ait quelques chose à répondre ?), mais à vous-même. Amicalement.
Catherine, je ne sais pas de quoi vous parlez. Vous qui semblez aussi affirmative. Quand j'écris amicalement cela veut dire que c'est écrit avec le souhait de ne pas offenser quiconque. Tout en n'étant pas responsable de ce que l'autre fera de mon propos, il m'importais de le préciser. Votre mot "amour" sans éclairage de l'esprit ne vaut pour moi rien. Mais c'est comme le mot dieu et autres mots...chacun y mettra bien ce qu'il peut. Souhaitons que la carte ne soit pas confondue avec le territoire. Le mot avec la chose etc......(rire)
Bonjour à Tou(te)s
G JJ, Pardonne leur, elles savent pas ce qu'elles disent.
Quand GJJ dit ce qu'il pense, son ressenti, on lui demande s'il parle avec son cœur !
Que d'insultes à la personne !
Comme si c'était une partie, un organe de GJJ qui parle d'une certaine manière et que d'autres parties, d'autres organes, diraient, en sourdine, différemment ou le contraire !
Et quand GJJ pale de pas confondre la carte et le territoire, on lui répond et le terroir !!
.. Il ne reste plus à GJJ à s'enivrer avec le vin du terroir pour oublier ..
.. Oublier qu'on le considère comme un menteur potentiel, et que ce qu'il veut montrer est n'est pas le bien venu, ridiculiser, pour éviter la réalité qui nous anime .. Tou(te)s.
Car face à la réalité de ce que nous sommes, de la manière, consciente, inconsciente dont nous communiquons, selon les critères de notre domestication, et du BCBG ambiant, il n'est pas bon d'être simple, vrai.
Si j'annonce pas que je parle avec mon cœur ou mon cul, je serais, obligatoirement, sujet de suspicion.
Les bonnes intentions, il y a longtemps, que la domestication à la société les a mises en enfer.
Vous préférez le paradis !?
Alors quitter les bonnes intentions et belles façades.
L'humain vrai, est un être, pas des tranches de saucisson que l'on exhibe.
L'amour, même platonique, c'est du charnel, avec la chair de l'être; l'être qui fait UN.
Pas avec les "simagrées" qu'on nous inculque depuis 50 ans.
Merci Lovyve de ces propos. C'est aussi cela que je dis quand j'évoque les déterminismes éducatifs et sociaux culturel. Mesdames vous êtes assez bassinantes avec votre "amour" que vous mettez à toutes les sauces en "oubliant" bien de dire ou cela vient vous chatouiller quand je pose des questions qui me semble utiles. Manifestement il semblerait que l'humour ne soit pas toujours à la bonne place. Quoi qu'il en soit certains parmi nous peuvent aussi vous faire face avec autre chose que du sirop; avec des sujets qui se passent volontiers de séduction (qui veut dire étymologiquement : détournement). Ma compagne est blonde et parfois la campagne aussi.et alors ?
J'allais oublier ces mecs qui parlent d'amour pour que l'on voie bien que le "féminin" en eux est vivant et ainsi plaire à mesdames et rassurer mesdames...quelle connerie ! C'est surtout dire combien et comment le mythe de l'androgyne est vivace jusque dans cette terminologie pseudo jungienne : féminin de l'homme et masculin de la femme...confondu avec les notions d'anima et d'animus qui veulent dire tout autre chose. Il faudra peut-être préciser qu'ici Eros est le dieu du lien et non celui de la baise.....!! Un petit peu de culture psy histoire d'arrondir ce qui semblerait brut de décoffrage et qui pourrait l'être ( le cas échéant) et sans vergogne .....
Perso les débats ne m'intéressent pas en tant que tel. Quand au sujet énoncé il consiste juste à penser en termes de dépendance ou bien d'interdépendance et nous avons en partie la réponse. L'autre aspect est de quoi "le" bonheur est-il le nom" ?. Juste à questionner; histoire de dire qu'il n'y a pas de sujet tabou. Et surtout de sujet non questionable. Quand au mot philosophe à coté des initiales JC je trouve cela déplacé compte tenu de ce que je peux lire sous cette signature. Maintenant si l'enjeu est de séduire virtuellement des dames, alors c'est peut-être gagné ??? Les mots clefs : amour, spirituel, ego, universel, dieu, soi et quelques autres......surtout si elle sont blondes...nous y sommes.
Thérèse il semble difficile pour vous de vous départir de cette position qui cherche à donner des leçons sans en avoir l'air. Appliquez vous ce que vous nous préconisez. Ou bien il suffit de dire ce qui vous convient ou pas. Réfléchissez un peu cela ne doit pas vous êtes si difficile. Autorisons nous à dire et à faire ce que bon nous semble, peut-être en se disant que personne n'est la conscience de l'autre. Quand je vous cherche du regard (après vous avoir lu) Thérèse je lève les yeux au ciel et vous trouve sur un balcon entrain de sermonner à l'eau de rose.