La solitude peut conduire au bonheur sans l'amitié d'autrui qu'il peut en attendre.Etre heureux et trouver le bonheur seul dans la béatitude de son isolement.......JC
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L'homme se conjugue au présente dit l'un être l'autre pour l'amour ceci, pour l'amour cela et moi : de quoi parlez vous ?
Quelles sont les présupposé de tels affirmations ?
… Peut être pas, juste une démonstration.
Que Hitler et Gandhi avaient ni tort ni raison, ils étaient tous les deux rationnels et sincères.
.. A mon avis bien sur catsaison.
Et si Hitler avait gagné la guerre, comme .. César et autres "Grands"; et, que Gandhi n'avait été qu'un agitateur sans conséquence sur l'Histoire, aurions nous le même "regard" sur ces deux humains ?
.. Moi qui croyait que c'est sur un piédestal en marbre !!
Tout à fait, ceux qui posent des questions (sur l'amour) ne le sont plus ..
Et ceux qui ceux qui en parlent le sont ils encore ?
Et ceux qui ne veulent pas y penser, de peur d'en parler ou de poser des questions, en ont-ils la moindre idée ?
Je ne sais pas si je suis un méritant, mais pour ce qui est des héros, c'est moi (grand prétentieux) qui choisit mon, mes héros.
Du point de vue ou je me trouve il ne peut y avoir d'amour sans haine, de soleil sans ombre et d'esprit sans matière. Cela je le pense , cela je l'éprouve. Pour le reste............!!?? Quand aux qualifications de penseur rationaliste je ne m'y retrouve pas ; mes expériences et les pensées qui les suivent m' ont conduit pas à pas sur les sentiers que j'évoque. On pourrait tout autant me taxer de relativistes, ce serait un peu plus juste. Et puis après tout je n'ai pas ici de leçon à donner et pas plus à recevoir... C'est juste mon point de vue actuel par lequel actuellement je regarde le monde.
Bonjour à Tou(te)s
Voila que Catsaison nous "ouvre" de grands horizons de réflexion.
Parlons de points de vue, le mien est différent de celui de G JJ:
L'amour et la haine existent, nous pouvons éprouver de l'amour ou de la haine, mais pas les deux en même temps.
L'Homme a la connaissance "du bien et du mal", donc il peut agit soit dans un sens ou dans l'autre, les deux à la fois.. c'est surhumain !!
Depuis qu'Adam et Eve ont mangé "la pomme" nous vivons en conscience, mais en étant ignorant de presque tout (lois de l'univers et de la vie); ce qui fait que nous vivons dans le mensonge permanent.
Le plus grave c'est que nous y croyons (aux mensonges).
Tout est illusion, donc tout est mensonge.
Mais, nous n'avons pas le choix, que de vivre avec.
Alors que faire ?
Juste en avoir conscience, l'accepter, et bien vivre avec.
Vivre heureux, au milieu (malgré) des mensonges, au milieu de nos croyances.
Et … éradiquer tous les mensonges qui nous apparaissent (consciemment).
Rien que ceci paraitra, évidemment, une offense aux croyances de ..beaucoup !!
"Mais le psy, en professionnel en sait sans doute plus que moi sur le sujet,". Je suppose que Catsaison, fait, ici, de l'humour !?
Eh bien, Cher Dempsey, nous vivons sur 2 planètes bien différentes !
Chez moi, la haine me prédispose à la violence, à l'envie que l'autre disparaisse ou que je le fasse disparaitre.
L'indifférence, ne me prédispose pas à la violence, à l'envie de tuer.
Oui, autrui peut être très mal face à mon indifférence, mais la cause de son mal être sera lui, pas moi.
Peux on se séparer sans violence, c'est possible là où il y a amour et conscience : nous avons changé, alors pour le bien être de chacun nous continuons nos vies séparément, l'amour étant toujours là, plus encore; et ceci ce n'est pas "bisounours", juste de la conscience et de l'amour.
Appeler ceci "des êtres intellectuellement évolués, spirituellement adultes.." pourquoi pas; ou de parler avec le cœur; mais c'est juste du verbiage pour éviter les 2 mots (qui hérissent souvent dans les milieux de développement personnel) la conscience (bête immonde placée dans le lobe préfrontal du cerveau) et l'amour (lequel est, généralement, "cuisiné" à toutes les sauces dans ces mêmes milieux de … sous développement personnel).
Le mot amour me semble toujours une tarte à la crème, dans un monde de bisounours. J'ai connu ce que j’appelais amour qui se transforma en haine, j'ai connu plusieurs fois le mot haine. Oui je conçois bien le lien avec le mot possessif en effet. Et puis je conçois bien que nous vivons au milieu d'illusions. Mais d'une certaine façon ce qui me semble c’est que cela se traduit le plus souvent par des comportements ou le manichéisme voire la dualité domine. Il me semble que cela met en évidence notre incapacité à concevoir la lumière sans les ténèbres.Et puis les églises ont joué un rôle important dans cette séparation de la matière et de l'esprit. En résumé ne craignons pas de préciser ce que nous nommons et peut-être parfois de nous impliquer un tout petit peu plus..
Avant d'aller plus loin et sans savoir d'avance si j'irais , pas plus ce que pourrait être un "plus loin" je remercie Thérèse, . Dempsey et Lovyve de leurs retours et du partage de leur points de vue. Sur des sujets qui ne sont simples qu'en apparence.
Comme chacun j'ai cru aimer, et me suis rendu compte que peut-être aimer c'était autre chose , autrement...Quelqu'un ici vient de parler de vivre ou de survivre, qu'est ce qu'un amour de survivant, qu'est-ce qu'un amour de vivant ?
Et puis j'ajoute qu'il ne s'agit pas pour moi de séparer mes idées d'amour de la psychologie ou encore de l'esprit scientifique tout cela doit bien avoir sa place...nous avons besoin de toutes ces facettes pour "avancer", il ne s'agit pas plus de les isoler. Il me semble dans le même esprit que nos ouvertures se traduisent dans le rapport que nous avons/entretenons avec les questions , surtout celles qui s'imposent à nous. Les réponses quand à elles sont à mon avis moins intéressante.
Les questions sont des promesses de voyages, les réponses des destinations. En effet il me semble que nous devons regarder de plus prêt nos attachements et nos modes d'attachements. Et que chemin faisant nous mettons en relief nos identifications. Dans mon esprit cela n'est ni bien ni mal. Juste la clarification de ce qui se joue et parfois à nos insu., La mise en lumière de ce à quoi nous sommes identifiés nous permet d'avancer sur /dans nos chemins. Cela ne se fait pas en économisant nos peurs. He oui croyons nous que cela soit si aisé que de voyager dans de l'inconnu ?
Je ne masquerais pas ici que ce sont de nombreuses épreuves et pas des moindres qui m'ont conduit pas à pas sur ces sentiers là : ceux de mes questions d'aujourd'hui. Associé à cette nécessité outre des déterminismes personnels, de mieux repérer quelques déterminismes socio/culturel. Je donne souvent l'exemple de nos enfants auxquels ont apprend à croire au père Noel alors que dans le même temps ils ne sont pas éduqués pour écouter leurs rêves diurne et nocturne. Il existe par là des génocides qui ne disent pas leur noms, mais qui peuvent être à la source de nombreux terreaux d'illusions. Cela vaut aussi le coup de s'y pencher.
Joli Catherine : "nos croyances ont la tête dure" !
Quel joli tour de passe-passe!
Faire de l’anthropomorphisme avec les croyances.
je dirai plutôt : nous avons la tête dure avec nos croyances.
je dirai même plus, nos croyances nous sclérosent le cerveau.
La vie à deux, la vie amuseuse contribue notre évolution; est ce suffisant ?
Certainement pas, et, heureusement, car ceux qui vivent seuls, sans être amoureux, pourquoi n'auraient ils pas d'évolution.
Alors Dempsey vous parlez de vous ? Ou pour vous ? Pour ma part il ne s'agit pas de proposer un modèle ni de promesse, ni "d'amour". Il s'agit parfois juste de questionner notre besoins de croire voire d'y croire. ET peut être bien de mieux repérer à quelle expérience ça s'accroche ? Pour ma part je chemine avec des questions et arrive parfois à des réponses, et puis avec le temps je me rend compte que le cheminement est plus important que la destination. Cela vaut pour moi et peut-être pour quelques autres. Quand au mot amour he bien peut-être nous direz vous qu'est-ce que cela veut dire pour vous ?, et comment vous l'avez éprouvé ?? Puisque ce mot semble vous parler vous convenir...moi il m'arrive de l'utiliser mais il ne me convient pas, il faut dire qu'il est devenu tellement banal comme les mots dieu, religieux, spirituel.....Si il n'y a pas d'implication cela sonne creux à mes oreilles. Et quand il y a de l'implication he bien cela vaut d'abord et surtout pour la personne qui s'expose. Ce sont là quelques conditions pour que je comprenne mieux de quoi l'autre cause. L'irrationnel lié à l'imaginaire n'est pas à confondre avec l'expérience en récit. Autrement dit le monde des croyances et le monde des connaissances n'est pas identique. Un des deux peut se nourrir de contre vérité, de poncifs, voire de truisme...de sophisme pas l'autre