La solitude peut conduire au bonheur sans l'amitié d'autrui qu'il peut en attendre.Etre heureux et trouver le bonheur seul dans la béatitude de son isolement.......JC
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"féminin" de l'homme et "masculin" de la femme, se distribue dans notre culture comme des truismes ou poncifs au choix...moi cela ne me cause pas du tout. Mon propos était juste de dire que l'homme petit "h" se coltine avec un monde maternel intériorisé avec lequel il vaut mieux s'expliquer...ensuite et ensuite seulement peut advenir le ramassage du sel..pour autant qu'un certain nombre de conditions soient réunis l'une de celle-ci est la confrontation des croyances qui viennent du "père noël". Autrement dit : de ce qui en nous s'est bâti à partir de l'inaccessible, le non réel. Cela rencontre mes expériences autant personnelles que professionnelles.
Parler de "l'autre"; parler pour l'autre, à la place de....est une brillante démonstration de la non conscience de l'altérité. Quand l'autre devient vraiment autre alors là c'est une autre affaire. Que nous le voulions ou pas non sommes confronté à nos limites, à la solitude, à la finitude et à nos choix conscients ou pas. Là est le commun là est l'humain. Et par là chacun fait ce qu'il peut. Je ne comptais pas les déterminismes anthropologiques ni ceux de nos histoires personnelles.....Nous voyons de suite apparaître la multiplicité des possibles et des modes d'être au monde. Il peut y avoir dans tout cela une belle leçon de non-savoir.là ou le mot humanité prend bien sa source avec humidité, humour, humilité.......
Il faudrait en plus revenir aux moutons. Je n'ai pas vocation d'être berger. Revenez y si le cœur
vous en dit Demsey. Moi je m'accorde de laisser libre mon inspiration.
Bon nous voyons que "l'eau vive" n'est pas là . Allez .....une bonne pensée pour cet absent.
Ah, ha !
Je trouve le discours de Ann Pascale aussi, voire plus, catégorique que le mien.
Ceci m'est plaisant à lire.
Cependant je vais voler un court instant au secours de Catsaison :
Oui, c'est un peu réducteur, nous sommes, très souvent, complexes et nous jouons à la fois un peu le rôle de bourreau, de victime et de sauveur.
Souvent ceci nous aide à prendre l'échappatoire, d'éviter de prendre la responsabilité d'une attitude claire; jouer sur les 3 tableaux pour ainsi ne jamais être pris en flagrant délit d'être soit un bourreau, une victime ou/et le sauveur en telle ou telle situation.
De nouveaux clichés apparaissent sur le marché du "bonheur" Victime/sauveur/bourreau (à dépasser...)....et puis les gens parfaits. Pire encore cette idée de niveau "d'élévation spirituel" une déclinaison du père noel. Quel merdier. Le new âge avec son défilé de clichés linguistiques est toujours présent.
As-tu réalisé ton "féminin" ? ou "ton masculin" ?.... et ton égo tu en es ou ?......quel merdier.Qui saura de quoi ça cause ces machins là....énoncé le plus souvent comme des évidence vérifiables. Et puis il y aurait les conscients et les autres. Comme si tout cela était maîtrisable...quelle prétention !.....bon je vais boire mon thé et vous saluer pour cette journée pluvieuse à Avignon.