Cette phrase était inscrite en première page d’une revue de libres penseurs dont j’avais été désigné comme nouvel éditeur responsable.
J’avais supprimé cette phrase un peu pour ‘pimenter’ le débat et en expliquant que :
Si l’on souhaite la mort des dieux, c’est que l’on croit en leur existence.
Moi, je suis incapable de vous démontrer que dieu n’existe pas, de même je suis incapable de vous démontrer qu’il existe.
Et en temps qu’éditeur responsable, j’avais prit cette décision.
Et vous étiez tous membres !!!!!
alors, je vous (écoute)
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deux droite parallèles ne se rejoignent pas c'est un axiome, une vérité considérée comme cela
un thérorème: deux points situé chacun sur deux droites parallèles ne se rejoignent pas , car les droite sont paralèles
dieux existe, c'est un axiome
moise, mahomet et bien d'autres ont reçu la parole de dieu écrite dans un livre
oui puisque dieu existe
dieu n'existe pas c'est un axime
moise mahomet et bien d'autre ont reçu la parole de dieu
non puisque dieu n'existe pas
voiilà pour faire simple
Pendant qu'ils sont nombreux à se poser cette question d'existence ou pas de dieu. Et qu'a écouter, il semblerait que la réponse soit importante. Ils en sont aussi nombreux à se poser la question de la vie après la mort.(?) Pour le moins cela semble bien traduire une insécurité ontologique fondamentale voire existencielle. Et chemin faisant une autre question est laissée en jachère : que faisons nous de notre vie d'avant la mort ? Comme le dit mon ami Pierre Rabhi : "nous allons au bahut, et en boite et nous y allons dans nos caisses, et puis plus tard, parfois même nous habitons dans des cages..... nous travaillons dans une boite et finissons notre vie dans une boite.........!!
alors !! Dieu ? Pas dieu ?? Que faisons nous avec notre vie, avec la vie ?
Bonjour à tou(te)s
En tant que petit penseur .. libre, limité par ses connexions neuronales, j'ai un concept : infini.
Il est juste de dire que depuis le père noêl et le père au cieux . Notre imaginaire même est conditionné à penser "En grand"celui qui sait pour nous mieux que nous etc.....Ce tout non visible là..... A certains égars nous pouvons estimer que c' est encombrant et énergétivore. Nous savons tout de même que l'exercice qui consisterait à déboulonner "ses statuts" semble pour beaucoup ne pas aller de Soi et parfois même angoissant tel le vide, voir le rien ou encore le rien d 'autre.Autant de raisons de s'accrocher aux branches....!!
Alors croyants de tous pays portez vous bien !!
Pas d'enjeux personnels dans tout cela. Ceux qui se reconnaissent comme croyants et qui ne questionnent pas ce besoin de croire (cela reste leur liberté). C'est le besoin de coire et l'imiginaire sous jascent qui peut questionner ou mieux encore les personnes dans leur relation à ce "besoin" là. c'est tout. Notre rapport aux questions.à nos peurs et à nos identifications. ou comment ce que je crois ( mon besoin ) parle de moi d'abord et surtout ce que je me représente de "Dieu" parle d'abord et surtout de mes représentations..
Mon propos je le rappelle était juste de soulignez combien et comment le rapport à nos croyances est si peut questionner.Puet-être juste pour s'accorder un temps de mise en perspective à l'abri des certitudes apparentes...et ou comblements de toute nature ? Je ne préjuge de rien quand au chemin des questions et aux éventuelles réponses.
Mon avis est que la réponse sera personnelle et cela est souhaitable. Je n'aime pas le prosélytisme.Quand à savoir si cela tient de la philosophie mentale ou autre . Moi c'est le cadet de mes soucis.C'est la dimension psychologique du besoin de croire qui me semble intéressante.
Comment sont posées les données de ces questions et donc pas surpris des réponses. Généralement elles sont contenues dans les questions elle-mêmes. L'Homme en rapport avec l'absence, avec le vide avec ses manques généralement ne tient pas, chemin faisant quand nous allons plus dans l'intime personnel nous voyons bien d'ou émerge certaines représentations.
Le sujet proposé par Parachaco à ceci d'intéressant qu'il nous propose une métapohore. Si nous le regardons sous l'angle des croyances he bien nous donnons beaucoup d'énergie/attentions aux dieux. Cette énergie la n'est pas disponible dans l'éventualité d'une liberté plus grande. Il me semble important ici d'élargir l'idée même de dieux. Ce mot est employé ici au pluriel . Cela nous invite donc à y regarder du coté des mythes qui vivent en nous ou pire encore de nous. En fait il s'agit aussi par là d'évoquer l'esclavagisme de la pensée. Moise l'avait déjà fait au nom d'un dieu "Un"....alors....?? L'homme a-t-il une capacité pour tuer les dieuxs dont il est servile ? Mon avis est oui, mais c'est un long chemin semé d'embûches qui en appelle à une capacité persoennelle de vivre le vide. Au carrefour de ce que nous propose de partager Parachaco est la question du vide et de notre attachement aux servitudes ( prédations/addictions) de différentes natures..dont il s'agit de s'affranchir en somme.
Cette phrase doit être considéré telle qu'elle.Il s'agit des dieux sans aucune autre précsion !
Donc je reviens à mon propos d'avant pour ajouter que ce n'est pas rien d'en apprendre toute la mesure.
Selon moi les enjeux ne sont pas seulement de la liberté de penser. Mais plus globalement encore de la liberté d'être. Ce qui suppose la déconstruction de nos conditionnements, de nos mythes.
Je ne suis que de passage. Merci à Parachaco . Au fait Sednatoo je ne suis pas dans une joute. Juste je trouve que la question posée méritait que nous nous y arrêtions au moins quelques instants. Bon vent.
Bonsoir à Tou(te)s
Que vois je !?
"…désolé je me suis mal exprimé pour avoir fréquenté les cafés philo et connaître bien quelques libres penseurs, ils aiment faire de la joute verbale,…"
Café philo, "bien sous tous rapports".. sauf socratique, je suppose !
La limite de Dieu existe; et celle de Dieu n'existe pas, où en êtes vous !?
Des arguments pour l'un et ensuite pour l'autre, pas des joutes verbales !
Et si cette phrase de Parachaco suggérait simplement un clin d'oeil à la parabole du papillon?!
Il serait donc temps que le Dieu-chenille deviennent l'Homme-papillon.
Ou autrement dit, comme pour Jésus: "Et Dieu se fit Homme"
De la mort de tous les dieux naîtra la vie de tous les hommes , de la mort du dieu unique naîtra la vie de l'individu , de la mort de tout ce que je crois ou ne crois pas naîtra ce qui est vrai vraiment .