Réponses à cette discussion

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 12 Juillet 2013 à 16:41

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 12 Juillet 2013 à 0:03

très beau ce que vous dites pascal, merci beaucoup.

Et sur la Justice de Dieu, il y a trop à dire, et ce n'est pas ma place de le dire.

Dieu est La Perfection, L'Intelligence, La Beauté, La Liberté, La Vérité, La Justice, IL EST tout cela en parfait.

IL s'est incarné dans un humain, Jésus, né du Saint Esprit de Dieu dans le ventre d'une humaine de Nazareth en l'an à peu près O.

Cet humain, Jésus, vivant dans l'infini Amour de Dieu, sur La Terre comme au ciel, IL a pu être selon La Perfection, L'Intelligence, La Beauté, La Liberté, La Vérité, La Justice, L'Amour.

En plus, IL a parlé et des apôtres ont répété et écrit à leurs façons "inspirées par Dieu" tout ce qu'IL a dit.

A 33 ans, cet humain "engendré non pas créé" est "mort" sur une croix (ou un poteau selon les Témoins de Jéhova).

Puis, 3 jours plus tard, IL est rescucité des morts et alors là… Qui l'a vu ? Une femme, Marie-Madeleine.

Ce "détail" de l'histoire de Jésus, à mon avis, est une information primordiale pour les femmes d'aujourd'hui.Ce sont les femmes, les filles et les mères, qui vont défendre ce qu'il reste d'amour et de justice sur cette planète mère, ce qu'il reste de naturel et de vivant, ce qu'il reste de Liberté et de Beauté, etc… jusqu'à de ramener L'Amour qui est Dieu = La Vie dans tous les coeurs

et jusqu'au Gouvernement Mondial qui se met en place dans l'ombre d'un mensonge aux peuples et d'une gigantesque manipulation de l'opinion public depuis des lustres.

Que d'orgueil en ce bas monde matérialiste… C'est laid. 

Et "Peace and Love, and Light", c'est trop facile à dire… certains ont essayé en 1970 en France et faux voir où ils en sont rendus avec 43 ans de plus…

:)

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 10 Juillet 2013 à 5:51

Mgr Aillet nous demande de défendre la vérité

POSTED ON 9 JUILLET 2013 BY MAXIMILIEN BERNARD IN CULTURE DE VIE, EN UNE,PEREPISCOPUS, POINTS NON NÉGOCIABLES AVEC 0 COMMENTAIRE

Dans un éditorial incisif, Mgr Marc Aillet estime que la mobilisation ne doit pas retomber et que chacun doit se positionner en fonction de la vérité :

« Comment cet été pourrait-il être calme et serein, après le vaste mouvement d’opposition pacifique à la loi Taubira qui n’a cessé de s’amplifier et qui se heurte à une répression policière et judiciaire des plus inquiétantes pour la démocratie, devant le chaos économique et social dans lequel la France s’enfonce doucement sans propositions de solutions sérieuses et crédibles à même de rassurer les français, et face aux menaces qui pèsent lourdement sur la vie humaine – avec le projet de loi sur les embryons – et sur l’éducation des enfants dans nos écoles – avec l’enseignement du gender, dès l’âge de six ans ?

S’il n’est pas dans le rôle de l’Église de se lancer dans la bataille politique, c’est sa mission de prendre toujours la défense des plus faibles et des plus petits. De ceux qui sont laissés pour compte sur le bord de la route par la crise économique et sociale, de ceux qui sont entretenus dans une précarité morale et spirituelle par une société politico-médiatique qui a rejeté Dieu : « Combien de pauvretés morales et matérielles viennent aujourd’hui du refus de Dieu et du fait de mettre à sa place tant d’idoles » (pape François).
Plus encore, de ceux qui sont sans défense et sans voix : je pense aux embryons humains dont les papes Benoît XVI et François ont demandé la protection juridique, en soutenant officiellement l’Initiative Citoyenne Européenne « Un de nous » (http://www.oneofus.eu/). Je pense au sort réservé aux enfants par la loi Taubira, qui enregistre un grave déni de filiation – un enfant qui naît toujours d’un homme et d’une femme a besoin pour se construire, non seulement de l’affection des personnes qui l’élèvent, mais de pouvoir se référer le mieux possible à son père et à sa mère – porte ouverte sur la Procréation médicalement assistée (PMA) pour tous, voire la gestation pour autrui (GPA), qui priveraient ainsi légalement un enfant de son père ou de sa mère.

Comment pourrions-nous rester les bras croisés devant de telles injustices ? Sans doute, notre première attitude sera celle de la cohérence. « Nous ne donnons à personne aucun sujet de scandale, pour que le ministère ne soit pas décrié », dit saint Paul aux Corinthiens, en donnant son comportement en exemple : « par une grande constance dans les tribulations, dans les détresses, dans les angoisses, sous les coups, dans les prisons, dans les désordres, dans les fatigues, dans les veilles, dans les jeûnes ; par la pureté, par la science, par la patience, par la bonté, par un esprit saint, par une charité sans feinte, par la parole de vérité, par la puissance de Dieu ; par les armes offensives et défensives de la justice » (2 Co 6, 3-7).
« Une charité sans feinte » dit saint Paul, qui nécessite l’accompagnement concret des personnes, la prise en compte de leurs souffrances, quelles qu’elles soient, la proposition d’un vrai chemin de croissance, à l’instar du bon Samaritain qui prend en charge jusqu’au bout l’homme laissé à demi-mort sur le bord du chemin, malgré la distance culturelle, religieuse, voire ethnique, qui le sépare de lui ; et qui comporte encore la condamnation de toute forme de rejet des personnes, d’agression verbale ou physique envers quiconque.

Mais aussi la parole de vérité : « Ne diminuer en rien la salutaire doctrine du Christ est une forme éminente de charité envers les âmes. Mais cela doit toujours être accompagné de la patience et de la bonté dont le Seigneur lui-même a donné l’exemple en traitant avec les hommes » (Paul VI). Pourvu que l’on fasse preuve d’une charité sans feinte envers les personnes, la mission prophétique de l’Église est hautement souhaitable pour éclairer, voire réveiller les consciences anesthésiées dans une société marquée par l’individualisme et le relativisme. Si le dialogue est toujours nécessaire au sein de nos groupes, de nos communautés humaines et chrétiennes, nous ne saurions faire l’économie de la Vérité sur l’homme que le Christ nous a révélée et qui ne peut jamais « faire l’objet d’une sorte de négociation dialogique » (Bienheureux Jean-Paul II). Nous ne pouvons poursuivre le dialogue sur les questions sociétales qui agitent la société française aujourd’hui qu’à partir d’une conscience claire de notre identité de chrétien, attachée à une Vérité qui n’est pas purement confessionnelle, mais appartient à l’humanité tout entière. Force est de constater que les malentendus entretenus dans nos communautés proviennent d’un déficit d’adhésion à la Vérité révélée et transmise par l’Église depuis deux mille ans. Sans compter que dialoguer avec des lobbies, voire des Institutions, qui démontrent depuis des mois leur refus du dialogue, en diabolisant systématiquement leurs opposants et en usant même de manière arbitraire de la force, policière ou judiciaire, pour tuer dans l’oeuf toute forme d’expression populaire contraire, est une véritable gageure.

Si pour défendre le droit à l’objection de conscience face à des lois injustes, ou faire entendre sa voix sur la place publique au nom de la liberté d’expression, de réunion et de manifestation garantie par la Constitution pour promouvoir la dignité de la vie humaine, du mariage et de la famille, on devait risquer l’interpellation sans sommations, la condamnation, voire l’incarcération immédiate, ce qui n’est plus une fiction, alors cela ne rendrait ce combat que plus noble et plus nécessaire. Comme Jésus l’annonçait à ses disciples : « Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux sanhédrins et vous flagelleront dans leurs synagogues ; vous serez traduits devant des gouverneurs et des rois, à cause de moi, pour rendre témoignage en face d’eux et des païens » (Mt 10, 17-18). La proclamation de la Vérité, pourvu que ce soit sans violence et dans une charité sans feinte, est un devoir dont aucun chrétien ne saurait s’exonérer. Comme le Christ, nous sommes appelés à être « un signe en bute à la contradiction …afin que se révèlent les pensées intimes de bien des coeurs » (Lc 2, 35). Autrement dit : chacun est appelé à se positionner pour ou contre la Vérité ! Nous ne pouvons faire l’économie de cette division apparente à laquelle nous répugnons tant : il en va de « la connaissance de la Vérité » (1 Tm 2, 3) qui seule « nous rendra libres » (Jn 8, 32). Oui au dialogue, pour une meilleure compréhension réciproque, mais sans ambiguïtés et en vue de se rapprocher de la Vérité.

N’ayez pas peur ! Ce fut le mot d’ordre du pontificat du bienheureux Jean- Paul II. Comme on l’a dit : « Les peureux disent aux courageux : vous êtes téméraires  ». Soyons de ceux qui ne transigent pas sur la Vérité et qui appliquent l’exhortation de l’apôtre Pierre : « Soyez toujours prêts à la défense contre quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous. Mais que ce soit avec douceur et respect, en possession d’une bonne conscience » (1 P 3, 15-16). »

http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/mgr-aillet-nous-deman...

Lien permanent Réponse de Pascal Cadart le 12 Juillet 2013 à 16:38

[Ce qui est en italique reprend les citations de Monseigneur Aillet.]

S’il n’est pas dans le rôle de l’Église de se lancer dans la bataille politique, c’est sa mission de prendre toujours la défense des plus faibles et des plus petits.

Que fait-elle concrètement ? En France, pas grand-chose. Comme je l’ai déjà je me suis occupé de sans abri dans un milieu catho. En 13 ans les bénévoles peuvent se dompter sur les doigts de la main pour ceux qui se sont présentés et pour ceux qui sont restés une seule main suffit. Je fais aussi parti du Secours populaire. Plus de 50 bénévoles dont 16 actifs tout au long de l’année, dans une vile d’un peu plus de 5000 habitants. Le curé de la paroisse où logeaient les sans-abri disait qu’il fallait aller voir les pauvres alors que lui n’est pas venu nous voir une seule fois. Pourtant notre président allait à la messe dans cette paroisse très souvent.

Ah, si au début de l’association, on a eu un prêtre formidable, disciple de Marie. Il a été vice-président de notre association. Il a créé plein de groupes de prière qui, pour la plupart, continuent d’exister. Il s’est fait virer du diocèse… par ses paires…  S’il était resté les autres auraient été obligés de faire comme lui. Il est plus facile de prêcher aux autres ce qu’il faut faire que de le faire soi-même.

« Une charité sans feinte » dit saint Paul, qui nécessite l’accompagnement concret des personnes, la prise en compte de leurs souffrances, quelles qu’elles soient, la proposition d’un vrai chemin de croissance, à l’instar du bon Samaritain qui prend en charge jusqu’au bout l’homme laissé à demi-mort sur le bord du chemin, malgré la distance culturelle, religieuse, voire ethnique, qui le sépare de lui ; et qui comporte encore la condamnation de toute forme de rejet des personnes, d’agression verbale ou physique envers quiconque.

Même réponse que ci-dessus.

Mais aussi la parole de vérité : « Ne diminuer en rien la salutaire doctrine du Christ est une forme éminente de charité envers les âmes. Mais cela doit toujours être accompagné de la patience et de la bonté dont le Seigneur lui-même a donné l’exemple en traitant avec les hommes » (Paul VI).

Jésus n’a pas enseigné la patience et la bonté. Il faudrait peut-être relire les évangiles. Non pas qu’il ne faut pas être patient et bon, mais cela ce n’est que le minimum à faire. L’enseignement de Jésus est avant tout spirituel. « La chair ne connait rien, c’est l’esprit qui vivifie. » « Vous vous êtes la lumière du monde » Jésus ne s’est pas occupé des problèmes de société, ses disciples non plus. L’enseignement de Jésus n’est pas pour les gens qui se pensent spirituellement intelligent, l’enseignement de Jésus est spirituel et pratique. L’enseignement de Jésus ce sont les évangiles et pas autre chose, mais il ne peut se comprendre qu’avec le cœur. Il ne s’agit pas d’être chrétien, catho, mais d’être disciple de Jésus. Il y a une trentaine d’années c’était les femmes qui avortaient qui étaient mises au pilori par l’Église. Heureusement, il y a une communauté, Mère de miséricorde,  qui a dit « nous nous ne jugeons pas ! » et elles ont accueillies ces personnes et elles ont prié pour elles. Aucune ne s’est sentie jugée, certaines n’ont pas avortées, d’autres l’on fait mais sans être culpabilisées. Mettez-vous pendant quelques instants dans la peau d’une personne qui va avorter ! On n’avorte pas par hasard ou par confort. Une personne qui avorte est dans la plupart des cas incapable de s’assumer et encore moins d’assumer un enfant. Elle a souvent elle-même manqué d’amour. Et la loi sur l’avortement a été votée. Alors plus d’avortement clandestin, de faiseuses d’anges et d’avortement à l’étranger pour les personnes qui en avaient les moyens. Pour les autres qu’ils se débrouillent. Et l’Église qui interdit le préservatif dans les pays où le sida fait des ravages. Quel est l’Amour qui vit dans cette Église ?

 

Pour tout cela, ce ne sont pas les lois qui vont changer quelque chose. Encore une fois, Jésus a-t-il créé un code juridique.

 

Un déficit d’adhésion à la Vérité révélée et transmise par l’Église depuis deux mille ans.

Si l’Église avait enseigné la vérité et non sa vérité, le monde ne serait pas tel qu’il est aujourd’hui Si l’Église avait mis en pratique l’enseignement de Jésus, la société serait totalement différente de ce qu’elle est.

« Tout royaume divisé en lui-même devient un désert. » Luc 11, 17

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 12 Juillet 2013 à 16:43

Lien permanent Réponse de Anne le 6 Septembre 2013 à 19:19

Bravo, Pascal, bravo, Dragondor, pour vos idées que je partage sur le fond, quant au rôle de cette fameuse Église catholique!

Lire ces vérités sorties de votre cœur et de votre plume! est un plaisir.

Je peux dire, pour ma part, que le rôle du pape n'a jamais été ma préoccupation. Cependant, j'ai d'abord apprécié la sensibilité de ce nouveau pape, imprégnée de social... Puis, je n'ai tardé à me dire que si ce n'est lui qui fait partie de la grande manipulation, vaticane et cie..., il pourrait bien être manipulé lui-même, et peut-être annonciateur d'un prochain dernier pape...

Bon! qu'importe! je reste dans le Présent!

Clarine, je suis touchée par ton être authentique, ressenti dans la profondeur de ton expérience de la Vie, avec tes passions, aspirations lumineuses...

Quels que soient nos chemins, détournés ou directs, ralentis ou accélérés, l'école de la Vie nous conduit tou(te)s dans la même direction, vers l'Unité d'une Conscience qui se prépare à baigner dans l'Amour, autrement que par intermittences lorsque nous faisons le vide en nous - vide du mental, vide de l'ego, vide des conditionnements qui l'un après l'autre, se décroche(ro)nt inexorablement...

Ce chemin d'Amour, je ressens que nous le traçons nous-mêmes, par notre propre Pouvoir, qui, dans notre démarche spirituelle, sans cesse relancée par notre Âme avide de Paix et de Joie, ne fait que grandir. 

Les expériences qu'elle nous a fait rencontrer nous (m') ont permis de ressentir que cette Source d'Amour est en nous, au cœur même de nos cellules, qu'elle est cette Conscience, cette Énergie concentrée dans les photons, véhiculée par le Souffle vital qui nous relie tous et au Tout de l'Océan cosmique - et qu'on peut aussi appeler... Dieu. (À chacun son vocabulaire. Qu'importent les mots. La Réalité n'est pas dans des mots)

Science quantique... Cantique mystique... Quelle différence? 

Cette Énergie onde-particule, nous la respirons, la conscientisons, et même la manipulons... Et là, que de livres de l'Univers écrits ou à écrire! Il y a Tout... Ombre... Lumière... 

Nous choisissons la Lumière, ce Dieu en nous. 

Alors, avons-nous besoin d'une Église ou de toute autre institution pour cela? Avons-nous besoin d'être chapeautés, dirigés - manipulés... encore... au bout du compte? Non, nous sommes libres et nous pouvons faire ce chemin en toute autonomie.

La manipulation d'une Église asservie par les forces du mal a assez duré et de plus en plus d'êtres en prennent conscience et reprennent la direction de leur vie, de leur véritable nature, qui leur a été confisquée depuis des millénaires par des pouvoirs occultes, institutionnels... et plus...

Les images de Jésus, de Marie... ont été absentes de ma vie - familiale, professionnelle, sociale, culturelle... car trop présentes dans le conditionnement de l'enfance (en étant détournées de leur véritable sens!...) Un seul souvenir émouvant : une sensation de béatitude d'Amour mystique au moment d'une photo émouvante de ma communion... avant le grand oubli qui a suivi...

Puis, c'est au fur et à mesure de mes expériences de vie que j'ai progressivement retrouvé l'enseignement similaire à celui de ces grands Êtres - à l'image de tous ces êtres réalisés qui, à leurs époques et puis toujours, ont tant fait sur la planète pour indiquer à qui veut l'entendre, le chemin à retrouver, cette voie universelle...

Leur enseignement est authentique. Ils savent de quoi ils parlent. Cette Conscience d'Amour, ils l'ont vécue dans leur Âme, dans leur Esprit, dans leur Corps. Et ils ont œuvré dans leur vie, en accord avec cet état d'Amour.

Quant à ces hommes (!) d'Église, pour l'immense majorité, que connaissent-ils de cette Conscience qu'ils n'ont pas expérimentée?

À quoi servent leurs discours, leurs sermons - qu'ils soient dictés par les "bons sentiments" de leur mental ou par le mensonge, l'hypocrisie de règles qu'ils ne savent appliquer, de jugements... dictés encore par le mental avec tant de parts d'ombre...

Et quand cette Ombre appartient à des institutions dont les tentacules ne pourront plus être enfouies dans les cavernes de l'ignorance...

Contentons-nous de notre propre ombre, pour la transmuter en Lumière, face à nous-mêmes, c'est essentiel, avec la Joie de la Connaissance, qui apporte la Paix dans nos cœurs. Que l'Amour soit notre chemin, agrémenté de vigilance, et nous relie de plus en plus nombreux sur la voie du Nouveau Monde véritable qui doit l'emporter... et qui l'emportera...

Lien permanent Réponse de dragondor le 6 Septembre 2013 à 22:15

bravo  toi anna ...pour ta clarté avec laquelle je suis en parfait accord.....ca fait toujours du bien de lire la vérité et l'intelligence humaine quand elle s'exprime....merci pour ca...petite douceur sur toute l'abérance trop souvent véhiculé....alors voilà...je t apprécie....au plaisir de te relire...

Dragondor

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 10 Juillet 2013 à 6:03

On parle beaucoup aujourd'hui de la mission prophétique de l'Église.  Ce mot est parfois employé à tort. 

Mais il est vrai, pourtant, que :

l'Église ne doit jamais pactiser avec l'esprit du temps. Elle doit interpeller les vices et les dangers d'une époque ; elle doit s'adresser à la conscience des puissants mais aussi aux intellectuels, à ceux aussi qui, d'un coeur étroit et tranquille, veulent vivre en passant indifférents devant les misères de l'époque. 

Comme évêque, je me sentais obligé de remplir cette mission. 

En outre, les déficits étaient trop flagrants : découragement de la foi, régression des vocations, abaissement des valeurs morales précisément parmi les hommes d'Église, tendance croissante à la violence et bien d'autres choses.

J'entendais résonner à mes oreilles les paroles de la Bible et des Pères de l'Église, qui condamnent avec la plus grande rigueur les bergers qui sont comme des chiens muets et, pour éviter des conflits, laissent le poison se répandre. 

La tranquillité n'est pas le premier devoir du citoyen, et un évêque qui ne chercherait rien d'autre qu'à éviter les ennuis et à camoufler le plus possible tous les conflits est pour moi une vision repoussante.

Concert pour le Pape
L'interviewe de Mgr Müller dans "Die Welt"

______________

ben oui : Dieu déteste les tièdes, les lâches, les inquiets, les orgueilleux, les profiteurs et les hypocrites !

Et tout cela est marqué… dans La Bible. Santorine peut vérifier, elle trouvera.

:)

Clarine

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 10 Juillet 2013 à 6:05

@ Santorine

et moi aussi je suis "un peu trop long" et alors ?

Dieu est Le Seul Vrai Juge.

:)

Lien permanent Réponse de Lovyves le 10 Juillet 2013 à 7:15

Bonjour à Tou(te)s
"…et moi aussi je suis "un peu trop long" et alors ?
Dieu est Le Seul Vrai Juge."
Là ! Clarine, c'est faussement juger !
Et de plus par un euphémisme !
… Tout ayant pas le temps de lire les pages des autres; elle pense par elle-même !
!?
Faut il penser que Clarine pense par elle-même depuis qu'elle est embryon !?
Qu'elle n'est jamais eu d'éducation, qu'elle n'a jamais lu !?
A ma connaissance des êtres humains comme Clarine Il n'y en a pas deux, et ce, certainement, depuis la nuit des temps !
Ah, j'oubliais le :" et alors ?" !
Et alors,  "j'en ai rien à .. cirer", je suppose ! (en Bretagne les cirés sont souvent à l'honneur).
Mais bien sur, Clarine, c'est ton droit, il m'amuse, même, beaucoup !
Car un seul mot me suffit pour voir à quel chrétien(ne) j'ai affaire !

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 10 Juillet 2013 à 14:28

BONjour à Lovyves en particulier et aux autres,

je te laisse à ton et tes jugements socratiques ou pas.

Chacun sera Jugé selon ses oeuvres… au jour du grand passage…

Si je suis "trop longue", c'est parce qu'aux derniers temps, tout sera révélé…

Vois ma bonne "excuse" !

   :)    

Epanews, comme toute la toile d'araignées inter-net enregistrée par certain(e)s,

est "la boite noire de L'Apocalypse",

celui-là qui se déroule devant nos yeux,

ouverts ou fermés.

Clarine

et bonne journée !

Lien permanent Réponse de Clarine Faure le 10 Juillet 2013 à 17:46

et sache qu'il y a toutes sortes de chrétiens et de chrétiennes,

toutes sortes d'humains et d'humaines,

nous marchons chacun chacune sur notre "sentier étroit", là où Dieu nous met.

:)

Dieu ?

IL EST La Providence…

Yaka ouvrir les yeux !

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