Avez-vous peur de la mort ????

Cette étape nous terrifie la majorité du temps

nous quittons toutes les personnes qui nous ont aimées

et tous ces biens accululées durant tant d'années  pour partir vers l'inconnu..

 

Merci pour votre participation

 

Léo et Célina 

 

  

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Réponses à cette discussion

  

Bonjour à toutes et tous,

  si ont y regarde de plus prés je crois que notre nature humaine a plus peur de La VIE :))

  il y a un combat incessant a refusée ce QUE NOUS SOMMES VRAIMENT !

  A  abandonner notre identité personnel, croire  et croire encore a cette personnalité, a ce mental, a cet égo qui nous éloigne sans cesse de la vrai réalité qu'est La VIE, QUE NOUS SOMMES,

il serait bon de ce préoccuper de notre vie, plutôt que de que de notre mort, Que faisons-nous de Nous ?

  voici mon regard sur la question.

bonne journée a toutes et tous,

 

 si tu le dis  Karen :)))  ce n'est pas un scoop !  

 honnêtement quelle importance ! :))

 je te laisse avec tes scoops qui ont l'air  important pour toi.

merci de ta réponse  intéressante, mais qui n'est pas un scoop :))

Bonne journée a toi,

Bonjour à Tou(te)s
Je suis toujours très intéressé par les énigmes épistolaires.
Si tout le monde est d'accord pour que ce ne soit pas un scoop, alors c'est pas un scoop.
Et je dirai même plus, si tout le monde est d'accord (sur le sujet), sans être d'accord (sur les mots), ce n'est pas non plus un scoop.
Et, maintenant, je vais me permettre de poser cette question :
Malhonnêtement, quelle importance ?

Bonjour à Tou(te)s
Décidément, les énigmes épistolaires sont à l'ordre du jour par ici.
Après le scoop, ou pas scoop; voici :
"Et ce ne sont pas ceux qui ont le plus belles théories qui s'y prennent le mieux" !
Ceci est possible, mais alors …
Y aurait il, par ici, sur ce forum, quelqu'un qui aurait une moche théorie et qui sait bien s'y prendre ?

En attendant la mort, on rigole.

bonjour,

La vie après la mort chacun pense ce qu'il veut, ce qu'il ressent, ne faisons pas de polémie sur ce thème, vivons pleinement notre vie avec Amour après malgré l'Amour que l'on reçoit dans l'Au-de-là, ce n'est pas pareil pour tout le monde, donc tout le monde à peut être raison, tout le monde à peut être tort, quand le moment sera venu essayons de partir dans la paix, la plénitude et l'Amour.

Sans vouloir polémiquer, PERIER ,
Est-ce que la polémie, se situe entre la vie et la mort, dans un endroit où tout le monde pense pareil, et que le "peut être" est surement un état d'être ?
Donc la question : Avez-vous peur de la mort ?
Est sans intérêt, voire nuisible pour la bonne entente entre les humains.

Je pense qu'à aujourd'hui c'est très dur de donner de l'Amour autour de soi dans un monde négatif et égoïste

Bonjour à Tou(te)s
Le commentaire de PERIER , me semble très intéressant et révélateur du conditionnement sociétal dans lequel nous sommes (la difficulté d'aimer).

Je suis en complet accord avec le 2° paragraphe de Roland :
"Il ne s'agit pas d'aimer le négatif et l'égoïsme, mais de se rendre compte de la misère de ces êtres humains, de la violence et du vide de leur vie ... et là, oui, on peut leur donner de l'amour, souhaiter qu'ils grandissent et cessent de se faire souffrir et de faire souffrir le monde autour d'eux ...".

Ainsi que le commentaire de catsaison

Par contre je ne comprends pas la logique du 1° paragraphe :
"Le monde n'est pas négatif et égoïste ... Certains hommes le sont, oui, et ils sont surtout aveugles sur ce qu'est le bonheur, et leur incapacité à l'être. Ils le sont beaucoup et puissamment, et ils ont, certains, beaucoup de pouvoir, mais nous le sommes tous un peu, à un degré ou à un autre ..."
Si nous sommes tous un peu.. beaucoup (aveugles du bonheur, donc, aussi, négatifs et égoïstes) alors "le monde (l'humanité) est ce qui est décrit.
Tous les humains (qui composent l'humanité) sont aussi, un peu .. beaucoup, altruistes, aimants.

Ne nous voilons pas la face sur ce que nous sommes (plus ou moins bons et mauvais).

Il n'est pas plus difficile (ou facile) d'aimer autrui ou pas, hier comme aujourd'hui.
Les" méchants", les "bons" ont besoin d'amour, ou plutôt, l'amour d'autrui leur fait du bien (à Tous).

Eh oui, nous avons été "éduqués" à aimer ceux qui nous plaisent et ne pas aimer, voire détester, ceux qui ne nous plaisent pas.
C'est pas parce que nos "éducateurs" avaient un comportement de "marchants", que nous devons faire de même.
Justement, d'apprendre, soi-même à aimer, tout le monde, sans distinction, sans attentes, sans jugement moral, nous permet de recevoir alors le plus de satisfactions et de bien-être et d'être fier de ses actes.
La valeur d'un acte (d'amour) ne dépend pas du résultat, mais de l'intention que je lui donne.

oui j'en ai une grande appréhension car j'ai peur de l'inconnu, car j'ai encore des doutes sur une vie après la mort, comme tout est le fruit de nos pensées si l'idée de cette vie d'après n'était qu'imagination?

Et je suis triste en pensant à ce corps que j'abandonne, à mes animaux innocents que je laisserai, à la tristesse de ceux que j'aime...oui ça m'attriste déjà.

Voila un proverbe qui mettra peut être tout le monde   d'accord...

Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir
Car j’ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !

Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner
Le bonheur que vous m’avez apporté !

Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul.
Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.

Nous ne serons séparés que pour quelques temps !
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et et la vie continue !
Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai !

Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là,
Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement
La douceur de l’amour que j’apporterai !

Quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir,
Absent de mon corps, présent avec Dieu !

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas !

Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d’automne,
Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l’étoile qui brille dans la nuit !

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer
Je ne suis pas là, je ne suis pas mort

Magnifique poème, Merci. De qui est-il ?

Très proche de celui-ci que j'adore:

L'amour ne disparaît jamais. La mort n'est rien. Je suis seulement passé dans la pièce d'à côté. Je suis moi, vous êtes vous. Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours.

Donnez-moi le nom que vous m'avez donné, parlez-moi comme vous vous l'avez toujours fait, n'employez pas un ton différent.

Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble; priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.

Que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été; la vie signifie ce qu'elle a toujours signifié. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de votre pensée en étant simplement hors de votre vie ?

Je vous attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin.
Vous voyez, tout est bien ! (Henry Scott Holland)

J'ajoute à ce beau poème: "il suffit d'être attentif, parfois une petite fenêtre s'ouvre et là, c'est le vrai bonheur." (Jean-Pierre, un internaute)

Mais pour cela il ne faut avoir AUCUN doute sur l'éternité de l'âme/Conscience/Soi ! Et là pour ma part j'ai encore des doutes quant à cette éternité.

Bonsoir Elisiane

C'est un proverbe amérindien ,le tien est très bien aussi, et en voila un autre.

Je suis debout au bord de la plage
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon.

...

Quelqu’un à mon côté dit :
« Il est parti ! »
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard. C’est tout…

Son mât est toujours aussi haut,
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi,
Pas en lui.

Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ! »
Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux,
S’exclament avec joie :
« Le voilà ! »…

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