Chronique n°236 : L’origine de la maladie

 

Sur radiotokpa.net, le 30 novembre 2011

 

Bonjour,

 

Nous sommes à l’ère du verseau, une période dans laquelle les êtres humains vivront pleinement l’interconnexion de toutes leurs idées, leurs émotions et leurs actions. De mieux en mieux nous nous rendrons compte que tous ensemble formons un seul corps appelé humanité, composé de plusieurs membres ou organes que sont les populations, les peuples, les individus avec leurs particularités. Nous savons déjà que le corps physique est le même chez tous. Personne n’a trois yeux par exemple, ou une troisième oreille, etc. Tous les humains qu’ils soient blancs, noirs, jaunes, mixtes, ou autres sont constitués des mêmes organes.

 

Il est moins répandu dans la masse que ce corps physique ne représente qu’1 % de notre totalité. L’approche des 99 % restant commence par l’étude de notre pensée. En effet un peu d’attention sur soi nous montre que nous pensons sans savoir d’où vient la pensée. Mais lorsque nous examinons le processus de penser, alors nous plongeons en nous-mêmes, parfois si profondément que l’on peut faire un voyage dans l’inconscient. Lorsque l’on revient de ce voyage dans l’inconscient, on a la certitude que l’inconscient et le conscient ne font qu’un. L’inconscient nous plonge dans notre être profond.

 

C’est amusant et enrichissant d’effectuer cette plongée au fond de soi-même. A force de s’y habituer, vous instaurez votre méthode d’introspection de vous-même. Vous pourrez examiner tout ce qui se rapporte à votre corps interne et externe. Vous pourrez ainsi étudier les sujets qui vous occupent avec votre lampe intérieure. C’est ainsi qu’aujourd’hui j’ai choisi de partager avec vous, une analyse de Nathalie Andreu Renault, en intégralité sur la maladie. Le titre de son texte est « la maladie a du mal à se dire ! ». Voici ce qu’elle dit :

 

« La maladie est une distorsion de notre être profond. En cas de cancer, il y a les cellules en bonne santé, et les cellules destructrices, celles qui non seulement ne veulent plus vivre, mais en plus s’attaquent aux autres. Comme si, à l’intérieur de nous-mêmes, une partie de notre être voulait vivre et l’autre… se dit : « A quoi bon ? », « Je ne suis pas aimé(e), pas reconnu(e) », « Je ne vaux pas le coup » etc… A l’origine de la maladie, il y a une dysharmonie de notre être. D’un côté, il y a l’âme qui pousse à une quête : une quête d’amour, une quête du sens de notre vie, de qui je suis et qu’est-ce que je veux vraiment. Il s’agit de cette quête de « Le Je divin ».

 

Et de l’autre, il y a nous, qui nous débattons entre le travail, les enfants, la vie de couple ou de célibataire. Nous qui courrons après le temps, après l’argent… parce qu’il en faut pour vivre, et payer ses factures. Or l’éducation, l’école, la société nous apprend qu’il faut travailler, gagner de l’argent, se marier, avoir des enfants. Il n’y a qu’à voir les pubs pour nous inciter à consommer : c’est exactement ça. Le problème est que l’on tend toute notre vie à réaliser tout ça, plus ou moins bien, mais surtout à quel prix !Comment la maladie s’installe t’elle ? Nathalie Renault explique : On travaille « parce qu’il faut bien gagner sa vie ». On reste avec tel ou tel conjoint : « Bon, lui (elle) ou un(e) autre… J’ai pas envie d’être seul ». On a des enfants parce qu’on approche de la quarantaine (enfin, pour les femmes) et qu’on nous a dit que c’était mieux d’en « faire » avant…

                                                                                         

Oui, la société nous apprend tout cela et c’est notre quotidien, notre vie. Mais notre âme, elle, pendant ce temps, bouillonne. Elle a soif. Elle a faim. Il est nécessaire de la nourrir, de lui donner à boire. Et elle, par contre, est bien loin du métro-boulot-dodo pour lequel on se « tue » à la tâche…!  Auditrices et auditeurs, notre âme ou bien notre être profond, qui occupe les 99 % de notre totalité, a des aspirations beaucoup plus hautes, beaucoup plus élevées pour chacun d’entre nous. Elle nous pousse, à trouver le sens, le sens véritable de ce que l’on vit. Nous reviendrons demain sur cette analyse faite par Nathalie  Renault. Pour aujourd’hui retenons qu’elle nous dit que la maladie est une distorsion de notre être profond.

 

Réfléchissez sur cette chronique, et faites un diagnostic sur votre être profond et également sur l’âme du Bénin. Vous découvrirez certainement les indélicatesses qui font mal à l’âme profonde du pays béni. Ecrivez-nous par mail à jfmans@yahoo.fr pour votre contribution. Je pourrai citer certains parmi vous.

 

A demain,

 

Jean François MANSILLA

Chroniqueur radio, Analyste des énergies émergentes

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