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Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 13 Septembre 2013 à 14:44

prenons cette quetsion sous un autre angle : j'ai le souvenir de cette femme dont l'enfant fut violé et tué.

IL lui faudra une quinzaine d'année pour se pardonner d'avoir survécu à son enfant. Ensuite la personne qui avait commis ces actes se trouve donc en taule. Cet homme.n'était pas forcément dans une demande de pardon. Car manifestement la considération de l'altérité, n'était pas forcément dans sa carte du monde . Ensuite l'enfant n'étant plus là.  Nous étions donc dans une situation ou l'impardonnable prenait du sens. Ensuite reste à penser les voies de l' amendables (??). Cela rend plutôt modeste.

Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 13 Septembre 2013 à 14:32

Lovyves ,

Comme vous amenez régulièrement avec vos légumes sur la table les accords toltèque. Je finis par penser que vous avez des accouintances avec l'éditeur ou un diffuseur ...?? Quand à l'impardonnable au delà des avengiles il s''agit bien de dire que les conditions d'un pardon par l'autre ne sont pas toujours réunis. Diificile à accepter n''est-ce pas ? Cependant toute chose étant relatives il est au moins intéressant de le concevoir. Donc je ne suis pas du tout d'accord avec ce que vous dites. Ce sont encore une fois vos affirmations plus ou moins masquées qui me chatouillent. Peut-être aurons le droit un  jour d'une autre parole dans le style : voilà ce dont j'ai fait l'expérience.

Commentaire de Lovyves le 13 Septembre 2013 à 14:16

Bonjour à Tou(te)s
Le pardon, sujet qui suscite des commentaires bien divers, bien que nous soyons toujours en été.. et toujours être est important .. pour pardonner !
L'impardonnable !?
Ceci n'existe que quand j'ai décidé (généralement par idéologie) de ne pas pardonner.
"pardonnez leurs, car ils ne savent pas ce qu'ils font". Jésus.
Donc pardonner son meurtre, c'est possible.
Quant aux paroles, actes des autres; rien n'est impardonnable, si je le veux, si j'ai assez d'amour en moi, pour moi.

"avoir raison" !
Quel tarte à la crème !
Tout le monde à raison; tout le monde à tort … sur le sujet ou autres.
Car tout avis, est valable et limité en sa cohérence.
Il ne s'agit pas de prétendre avoir raison, ou refuser que mon avis à de bonnes raisons, ou de dire qu'il est très relatif !
Oser présenter son avis fièrement et être prêt, souhaiter, qu'autrui va trouver les "failles" de cet avis; ceci est enrichissant.
Pas la formule "tous les avis se valent" (si certain(e)s pensent que tous les avis se valent; je peux vous en présenter et vous demandez si vous être toujours d'accord avec votre opinion).

Pour reprendre une partie du commentaire de l'Amie Thérèse :
"…ceci dit , revenons au sujet, ( à nos moutons?) le pardon est ambigüe, il implique que je me considère blessée par l'autre. Je passe à l'étape " l'autre ne me blesse pas parce que son ressenti est le sien et il ne m'appartiens pas, je ne suis pas concernée" ce qui me fais penser que nous ne devrions ( dans un monde parfait) ne jamais se sentir concerné par ce qui blesse et donc ne jamais avoir à pardonner.".
Là est bien l'essentiel; voir, accepter qu'il y a grande différence entre la source et la cause (d'une blessure).
Il n'y a pas 36 nuances : l'autre ou moi sont la source d'une émotion, voire d'une blessure; mais c'est toujours moi, que moi, qui est la cause de mon émotion et de la blessure.
C'est pas un avis, un besoin d'avoir raison : c'est un fait !
Cependant Chère Amie pas de duplicité : "( dans un monde parfait)" !!!
Non, non, dans notre monde imparfait, c'est possible !
Ce n'est à ailleurs, en un autre monde, que je suis la cause des mes blessures; c'est ici bas, présentement; peut être que je vais réagir imparfaitement (fort possible), je ferais mieux la prochaine fois ; mais …
La cause de mes blessures c'est moi !!!!
.. pas facile paroles impeccables !!

A Gérard, je suis toujours béotien, je ne vois pas le rapport entre "accords toltèques" et "Tables de la Loi" !?

Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 13 Septembre 2013 à 12:12

C'est aussi une aventure dans l'intime cela je le partage volontier. En même temps convenons qu'il n'est pas idiot de suggérer de revenir au sens du mot et de l'action. D'une personne à l'autre avec le même  mot nous ne parlons pas de la même chose. Je pense que la vidéo à permit de lancer un sujet important.

Une raison  pour en prendre soin

Le pardon à pour effet d'annuler l'offense.  Il reste à vérifier dans l'après coup cet effet d'annulalion. Dès  lors que cela ne sinscrit pas dans une morale. Et tenez vous bien : sur la terre ( Pas au ciel,) c'est possible j'en témoigne.   

Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 12 Septembre 2013 à 22:49

Albus Puella s'il vous plait : pourquoi malheusement ? Pour qui ? Et puis votre avis c'est quoi ?

Commentaire de Albus Puella le 12 Septembre 2013 à 22:40

Jolie vidéo. Malheureusement, je ne suis pas de cette avis ! c'est cela la liberté de penser.

Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 12 Septembre 2013 à 20:15

Si vous en êtes d'accord allons un peu plus loin en nous basant sur votre parole  :  S'agissant des images les commentaires sont pures projections. La réflexion commence là ou le pathos s'arrête . Il s'agit précisément de ce surcrois émotionnel qui masque la sensibilité associé à la réflexion. Nous en sommes d'accord ce sujet est  très intéressant. A conditions de se dégager de toutes mystification, voire de l'iconographie émotionnelle.connsidérer le silence c'est aussi se laisser sentir sa qualité d'oberver les regards etc......Mais attention considérer n'est pas interpréter...!!

Commentaire de Jean-Marie Lecèdre le 12 Septembre 2013 à 19:47

La dimension du grand silence est à considérer. Les pleurs du père et du fils empêchent le recours à la parole. Il faut utiliser le biais du papier pour communiquer. Triste situation. Belle réflexion.

Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 12 Septembre 2013 à 19:03

 "Sommes nous ici sur un forum de discussions où chacun émet son avis, ce qu'il pense savoir; ou bien dans un cabinet de psy .. à pathologies graves !?"

Qu'est-ce qui dans les propos tenus ferait penser à un cabinet Psy (à deux chasses SVP ) Alors que de nombreux propos témoignent d'un imaginaire parfois sans limites guidé par une morale sans limites. Reste ensuite à savoir ce qui distingue une pathologie grave d'une autre peut être une pathologie du normal après tout ?? Cela pourriat bien s'appeler normatose plus ou moins aigue (rire)

Commentaire de Gérard Jean-Jacques le 12 Septembre 2013 à 18:50

Qui dit mieux : accords toltèques, tables de la loi etc......

A mes yeux/oreilles et ressentis les seules questions qui vaillent sont les suivantes : c'est quoi pardonner ? C'est comment ? Quelle place à l'impardonnable dans tout cela quelle place ? Y répondre c'est d'abord sortir des il faut, tu dois, y a qu'a.... il suffit de .....ensuite de revenir à son expérience sans morale ni jugement. Je vous propose en toile de fond le seul accord non toltèque , non biblique mais qui dans une autre mesure les contient  : l'accord avec SOI.

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