Si l'autre n'est pas heureux, comment pourrais-je être heureux !

Interview de la commédienne Philippine Leroy-Beaulieu à l'ocassion de la journée de la compassion - Documentaire INREES

Remerciements à Ambroise pour la première diffusion.

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Commentaire de Lovyves le 23 Janvier 2014 à 9:46

Bonjour à Tou(te)s
Chère Thérèse,
J'ai remarqué, chez moi, que plus j'ai de la distanciation avec les événements, plus je peux être sensible à tout ce qui est humain, et tout ce qui est vivant.
Toute souffrance d'un être vivant me "touche" beaucoup plus que la mort, même d'un proche.
Nous Tou(te)s nous nous aimons jamais assez; mais acceptons le, en riant, nous ne serons jamais parfaits.
Alors ne regardons que le mieux que nous pouvons faire, pour soi et, ainsi, pour les autres… et ne doutons pas de ceci, faisons.

Notre corps se guérit de nos blessures physiques par son action vigoureuse, il ressent de la douleur, mais il est dans l'action de guérison.
Alors, pour les douleurs psychologiques, que nous nous créons, idem, action, et le rire est le remède le plus efficace; n'en déplaise, possiblement, à la "bien pensance" !

Je ris, pour être heureux; je n'attends pas d'être heureux pour rire.
Love.

Commentaire de Lovyves le 22 Janvier 2014 à 11:26

Bonjour à Tou(te)s
Je le savais déjà, et depuis longtemps, aussi, je suis un psychopathe, avec un cerveau malade (voir une certaine liste) !
Je remercie, vivement, Thérèse de le confirmer :
"Etre heureux quand l'autre ne l'est pas, ce n'est pas possible, ou alors pour les psychopathes incapables de ressentir la souffrance de l'autre."
24 heures sur 24 en notre humanité il y a des êtres qui soufflent, certains beaucoup, il y en a même des milliers qui meurent de faim.
Donc, si je suis heureux, c'est une maladie grave … affaire de logique pure.
C'est une manière d'être et d'accepter notre réalité, notre humanité et soi-même.

Et, bien j'assume d'être heureux au milieu de la souffrance; et je fais en sorte de consolider mon état de bonheur tous les jours.
Avec le fait d'être vivant, de pouvoir profiter des mes sens, de mon intelligence, de ma conscience.
Et ainsi, d'être, d'avoir un maximum d'énergie pour être, et agir en sorte que les souffrances d'autrui s'amenuisent .
Car, dès que mon bien être diminue, j'ai toujours remarqué que j'avais moins d'énergie, et de capacité à aider autrui.

"…aimer son prochain comme soi même c'est bien, c'est beau, mais des fois on s'aime soi même bien peu..."
!?
Chère Thérèse, reprenons cette phrase à l'envers (ce qui n'enlève rien au sens des mots) :
Je m'aime bien peu, des fois, mais aimer son prochain comme soi même c'est bien, c'est beau !
Est-ce beau et bien, de peu aimer son prochain !?
Car, si je m'aime peu; il me parait impossible d'aimer plus autrui !
Dit autrement si je suis peu heureux, comment pourrais je rendre les autres heureux !??

Vu l'état (mental) de notre humanité, il est fort possible que d'être un psychopathe (en ce monde) soit une preuve de bonne santé mental !
Ceci n'est que l'avis d'un cerveau malade (officiellement).

Commentaire de Lovyves le 13 Avril 2013 à 20:00

Bonsoir à Tou(te)s
Si je reprends les derniers commentaires :
"Pour être heureux, cultivons la compassion."
et
" que deviens je si l'autre n'est pas heureux et/ou ne veux pas être heureux !

Etre heureux dépend t'il de l'autre ou de moi !?
S'il dépend de l'autre, le bonheur peut être éphémère et je n'ai pas de maitrise sur lui, je ne peux même pas en être responsable; le bonheur de l'autre est responsable de mon bonheur.
Voila un "joli" cas de dépendance !
Cultivez la compassion, être en passion avec l'autre, être comme ses ressentis, son bonheur!
Là aussi, d'une façon plus subtil, il y a dépendance : je suis dans les émotions, les ressentis de l'autre; mon bonheur est en fonction de l'autre.

Etre heureux .. deux temps, trois mouvements !!!
1° temps, indépendamment de tout, je décide d'être heureux, quelles que soient les conditions, la condition de l'autre, ma condition (riche, pauvre, bonne santé, mauvaise santé).
2° temps, étant heureux, je peux être en compassion avec l'autre, sa situation n'affecte pas mon bonheur (indépendant de tout), mais je ressens sa situation, je la vis comme je vis ma situation, quelle soit bonne, moins bonne selon les critères de la société .. conformiste !
3° mouvement : je ris !
Car quand je suis heureux, je ris, et rire c'est contagieux, .. pour ceux qui ont de la compassion !
Ceux, qui n'ont pas compassion, ou qui ne veulent pas être heureux, no problème !
Le bonheur n'est pas un devoir, ni un dû; c'est une décision .. personnelle !
je ris avec ceux qui adhèrent au club .. du rire; et, aussi avec ceux qui ni adhèrent pas, puisque c'est leur décision, alors tout va bien, à chacun sa liberté.

Aimer son prochain comme soi même.
Peut s'écrire : aimer soi même pour que je puisse aimer mon prochain également, également (aussi, de manière égal).
Si non, ce n'est que de la gesticulation spectaculaire, de Pharisiens, comme il était dit autrefois !

La compassion, c'est très beau; mais comme tout ce qui est beau, il faut se donner les moyens, de l'avoir, de l'être... pour le donner ensuite, encore plus beau.

Commentaire de trebolverde le 10 Avril 2013 à 20:41

Pour être heureux, cultivons la compassion....Namaste

Commentaire de marie claire le 10 Avril 2013 à 10:20

L'amour , la liberté , le bonheur ? comment définir ? où sont les limites à ne pas franchir pour ne pas être dans la souffrance ?

Je ne conçois un changement que lorsque je suis persuadée de la nécessité, lorsque j'ai toutes les données pour le faire ... c'est peut être un conditionnement mais comment distinguer un conditonnement de l'intuition qui est un langage ... qui vient certainement de nos mémoirs profondément encodées dans nos adn.

Le conditionnement demande une réflexion , un raisonnement , l'égo mental ou spirituel ?

L'intuition nous donne la certitude de la vérité

La voie du milieu nous situe où ? quand prend-on la décision ?

Commentaire de épanews le 10 Avril 2013 à 4:54

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Commentaire de Lovyves le 9 Avril 2013 à 19:28

Alors, redevenons simples.
Pourquoi nous sommes malades ?
Parce que nous sommes manipulés, domestiqués (comme dit D. M. Ruiz) par les forces dominantes :
Ultra libéralisme : société de la marchandisation (laïques).
Et les forces dites spirituelles : religieuses (anciennes et modernes) !

Mais, il est possible que de découvrir tout un pan de la manipulation, ne donne pas le bonheur !
La réalité demande beaucoup de "voie du milieu" , de détachement … à nos attachements.
Marie Claire est elle prête à penser le contraire de ce qu'elle pense actuellement, et ainsi de suite, car tout est illusion !?
Seul l'être (vivant) mérite d'être aimé !
Bonne soirée à Tou(te)s

Commentaire de marie claire le 9 Avril 2013 à 18:58

Un humour décapant mais quel plaisir de jongler avec les mots !, quel plaisir de vous lire aussi.

La langue française est belle, elle nous permet d'aller dans des nuances infinies mais où se trouve la vérité ,dans ces dédales ? je suis perdue

Il est vrai que nous sommes malades, pourquoi donc ?

Commentaire de Lovyves le 9 Avril 2013 à 18:14

Ah, ah !
Oui, les voyages dans les étoiles !
Les étincelles d'étoiles qui se produisent au contact entre les neurones… dans notre tête !
Alors, comme disait Bouddha : "Il faut toujours suivre la voie du milieu".
Car craignons les grands moments sombres et craignons tout autant les grandes extases.
Restez au milieu et soyons heureux, alors nous ne connaîtrons pas la dépression.
La joie de la nouveauté : merveilleux, mais … avec conscience !
La conscience : un petit paquet de neurones dans le cerveau, lequel (paquet de neurones) déplait tant, à ceux qui fonctionnent au mental, avec le cœur, ceux qui ont horreur de la responsabilité de leur bonheur !!!!

La psychanalyse, la psychiatrie, la psychologie : mille analyses, oui, bien sur, car avec une dizaine, par de quoi en faire un métier !
Juste un peu de volonté pour rester "au milieu", sans contaminations, des malades qui veulent nous guérir.
L'amour, c'est simple, mais pas de quoi en faire du cinéma, du théâtre, c'est pas rentable, dans une société marchande !!!
Alors compliquons nous, pour être des malades "normaux" !!!

Commentaire de marie claire le 9 Avril 2013 à 17:36

Il est en effet possible de parler d'amour sans passer par la réincarnation mais je me suis toujours posé la question :

Pourquoi, toutes les amours qui commencent toujours par un voyage au delà des étoiles , finissent très souvent , par atterrir sur des territoires  sombres et désolants ?

La spychologie et la psychatrie nous fournissent mille explications mais ne sont jamais arrivées à une seule guérrison, si çà ne tenait qu'à notre volonté, ce ne serait pas difficile car nous recherchons tous le bonheur, qui est-ce qui a échappé à notre analyse ? 

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