Contre-enquête sur un reportage diffusé par Canal+ à propos d'Olivier Manitara et de l'Église Essénienne.
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Commentaires bienvenus
Bonjour à Tou(te)s
Et pour répondre à Nathalie
Oui, tout à fait, un journaliste est avant tout un homme ..ou une femme, disons un humain.
Une prostituée est avant tout une femme, c'est aussi une prostituée.
Un gardien de camp de concentration est avant tout un humain, c'est aussi un gardien de camp de concentration.
Il me ne semblait pas avoir dit le contraire, ou, du moins, ne pas l'avoir dit !
Oui, je juge les faits !
Le contenu de mon commentaire est il faux !?
Monsieur John Swinton, est il un menteur !?
Si oui, je suis prêt à réviser ma position.
Le non jugement, est aussi un jugement; ou du moins ne pas vouloir se positionner.
L'amour, c'est dire qu'un chat est un chat, c'est tout à l'honneur de celui qui le prononce, et c'est, possiblement, très bénéfique pour l'impétrant.
Je résume : un journaliste est un humain, comme chacun d'entre nous, qui a droit à autant de respect que soi, et c'est professionnellement un humain au chômage, … oui, non !?
Eventuellement, pour la rubrique "faits divers" il y a des journalistes, et encore , il y a tellement d'interprétations par les journalistes de ces faits !
Bonjour à Topu(te)s
Un journaliste qui fait du journalisme, est un journaliste .. au chômage !
Un journaliste ne pense pas , il dispense la pensée, l'idéologie, de son employeur.
Un journaliste est "un chien de garde" du système qui le fait vivre.
Il aboie les faibles, et lèche les puissants.
Voyons ce qu'en dit un journaliste .. délesté !
Paroles prononcées en 1914 par John Swinton,
rédacteur en chef du New York Times,
dans son discours d’adieu à ses collègues,
au cours d’un banquet en son honneur,
à l’American Press Association,
à la veille de son départ en retraite :
“Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante ! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais : il n’y a personne parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et, s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé 250 dollars par semaine pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille.
D’autres, parmi nous, reçoivent la même somme pour un travail semblable. Si j’autorisais la publication d’une opinion sincère dans un numéro quelconque de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, comme Othello. L’homme suffisamment fou pour publier une opinion sincère se retrouverait aussitôt sur une route à la recherche d’un nouvel emploi. La fonction d’un journaliste (de New York) est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien ou, mais c’est la même chose, pour son salaire. Cela, vous le savez et moi aussi : quelle folie alors que de porter un toast à la presse indépendante !
Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses.
Nous sommes leurs marionnettes ; ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles.”
La peur de l'Inconnu, voilà ce qui rend ces "journalistes" agressifs. Ils ne savent rien donc ils ont peur et se montrent attaquants. C'est tout simplement inconsciemment, et parce que c'est ce qu'on attend d'eux, qu'ils répondent à la demande de la "vindicte populaire", vindicte habituée à juger sans connaitre tout ce qu'elle ne connait pas. Ses "journalistes" créent "le pathos", "la peur", "le mensonge" par la manipulation mensongère des esprits qui les écoutent. C'est la réalité de leur imaginaire dont ils parlent ainsi à la télé, en tant que journalistes qui, relayée par la télé s'incarne dans le réel en chaque foyer.
En fait, ils aimeraient bien "savoir", "co-Naître vraiment", mais ils ne peuvent pas car ce n'est pas ce qu'ils cherchent, ce n'est pas ce qu'ils attendent de "trouver", et donc ce n'est pas ce qu'ils trouvent ! Ils trouvent ce qu'ils espèrent trouver pour prouver leurs idées, préconçues dans la peur de l'inconnu.
Il nous arrive souvent ce à quoi on s'attend, c'est la "Loi de l'attraction… Nous créons ce que nous pensons. Nous vivons ce que nous disons que nous sommes. C'est la physique quantique : le phénomène observé existe parce qu'il est observé. L'observateur crée le phénomène. C'est "l'incarnation de la pensée" dans "la réalité".
La vraie réalité est donc interractive, "hollogramique" et fonction de nos pensées, de nos sentiments, de nos projections, de notre histoire, de nos ancetres, fonction de l'amplitude entre notre conscience de "L'Idéal" et notre "misérable lucidité réalité". Fonction de la grandeur ou de la faiblesse de notre pensée, nous créons un paradis ou un enfer. C'est tel que tu veux tu choises…
Merci pour Epanews, cher Monsieur Ambroise, c'est une merveille…
Une Oeuvre d'Art interractive comme La Vie !
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