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Commentaire de BERTRAND le 6 Mars 2013 à 1:50

Je vous remercie de toutes ces précisions et j'en profite pour vous dire que j'ai beaucoup aimé vos photos sur les flammes.

Commentaire de Clarine Faure le 6 Mars 2013 à 1:41

Re-bonjour,

En fait, je parlais dans L'Absolu et L'Universel. Comme cette grande dame que je viens de réécouter.

Merci beaucoup pour cette méditation pas silencieuse mais très instructive !

Cette dame connait si bien La Parole de Dieu, elle la cite si naturellement, de mémoire, et elle l'explique, c'est cela qui est beau.

Elle parle de son expérience de la prière et de la transformation que Dieu fait en nous, de nous, avec nous, et par nous. Puisque nous sommes par Lui, avec Lui et en Lui.

"Ayons confiance en nous même car Dieu est en nous". dit-elle, Oui !

Et Jésus, Le Miséricordieux, nous dit : soyez miséricordieux.

"Prière et travail, travail et prière"… dit-elle

La Parole du Christ :1/  Tu aimeras Le Seigneur ton Dieu, 2/ Tu aimeras ton prochain comme toi même

"Paroles-force, pensées-semence…" dit-elle

Semence comme La petite graine qui devient Baobab à la fin… de Keny Arkana.

Vive Le Partage ! Ai-je répondu à votre question ?

Commentaire de Clarine Faure le 6 Mars 2013 à 1:26

Bonjour Bertrand,

réagissant à cette grande dame qui nous parle dans cette vidéo, je faisais référence à ma vie.

Et là, ci-dessous, je rendais un hommage à Keny Arkana, très actuelle, et qui n'est pas "une référence".

Dommage car elle est très vraie dans ses propos, c'est flagrant.

Voici la suite du texte, cher Bertrand, merci de votre réponse :

Bienvenu ici-bas, asile grandeur nature, communication hertzienne  Pour s’faire entendre faut brûler des voitures. Alors j’écris entre les Lignes, entre les ratures, entre la lumière et la brume, entre le Soleil Et la Lune car j’ai grandi trop vite, j’rejette la vie d’adulte, et comme j J’ai vu à qui profite la merde j’ai épousé la lutte. Toi qui es parti marcher Tes rêves, je te salue, éternel éphémère ce qui était ne sera plus. Sors de ta rue et vois le monde qui t’a vu naitre, la force est infinie Comme l’univers ou l’âme humaine. Préserve ton esprit, les médias C’est l’arme du règne, ceux qui accusent l’incendie sont souvent ceux Qui l’allumèrent. Enfant de la lumière, sors de la cage intime, aucune  Cause n’est perdue, aucune prière n’est indigne. Dans nos têtes, le Monde s’imbibe et s’imbrique, ça voyage en un clique, Babylone est Un crime. Ici tout à un prix, même ce qu’on n’achète pas, frangin y’a  Pas qu’les stars, sens l’malaise car on est esclave. La Terre est grande Pourtant on n’a pas assez d’place, monde bestiale, alors on s’noie en Regardant l’espace car c’est carpe diem, au jour le jour on ne sait pas
De quoi s’ra fait demain souvent les chemins se séparent. Héritiers du Venin mais on ne souille pas le cristal, (.. ?) nous sommes les plumes Qui racontons une autre histoire. Héritiers d’une parole, d’un esprit ancestrale, malgré les interférences De l’époque non, on n’a pas toujours l’étoffe du message ni l’envergure, Mais on s’efforce de penser sage même dans l’amertume. Grandissant  Loin d’la verdure mais connecté à la Terre on a r’découvert c’qu’on  Croyait avoir perdu. Héritier d’une lignée rappelle toi Babylone a plié Nos ancêtres pour s’autoproclamer Roi. Tant d’mal a été fait, peut-on  Soigner les plaies en les niant. Monde ton grand cœur émane des blessés. La guérison vient du pardon, oui c’est vrai, mais pour pardonner faut aussi Qu’chacun reconnaisse ses méfaits. Ici le tortionnaire te parle de haut, te  Traite de fou, insulte tes rêves et tes racines, s’acharne sur l’peu qui reste Debout. Interminable serait la liste, mais comprend le vrai problème,  Guéris-toi d’abord que l’monde est d’abord en nous-mêmes. C’est c’que  La vie m’a enseigné dans mon calvaire, planète bleue arrivée en 20.12 oui J’ai pleuré la Terre. Dans des révélations, pourtant tout semble brouillé, Embourbé mais qui par enquête finira par trouver ?  Partout les mêmes masques sur les cœurs, c’est parce que ça aime trop sa Coquille que ça refuse d’éclore. Éclore c’est douloureux mais l’ange m’a Dit c’est pas trop tard, dis-leur que petite graine deviendra baobab.

Plus paroles: http://www.parolesmania.com/paroles_keny_arkana_10026/paroles_entre...
Tout sur Keny Arkana: http://www.musictory.fr/musique/Keny+Arkana

Commentaire de Clarine Faure le 6 Mars 2013 à 1:14

Oui j’ai juré d’rester la même, (oui j’ai juré d’rester la même), Mais qui suis-je ? Les hauts les bas, montagnes russes affectives, Tensions internes mais je dois guérir, sans s’avouer à périr avant La fin du périple. Dans ma dérive j’ai touché l’infinité, je suis morte  En silence et j’ai lutté dans la dignité. J’ai fait les choses par conscience D’en bas, j’ai fait les choses par amour ce qui en découle ne  M’appartient pas. Compte seulement l’instant présent : c‘est c’que la Vie m’a enseigné, oui demain c’est un autre monde, demain rien N’est plus sûr, le poids du monde sur les épaules, une époque qui Veut éradiquer l’futur, humanité du dernier round eu à l’usure,
Alors c’est ça : que sont devenus les descendants des sages ? Aveuglé par ce qui brille, on ne peut voir les présages, peu Importe qu’on me comprenne ou pas j’fais passer l’message. Le passé n’est plus, oui tout devient chimère, à la mémoire d’hier Et de tous ceux qui nous quittèrent. J’ai dégringolé ravin un soir D’hiver, depuis ne s’en libèrent que les parfums de mes prières. J’ai noirci des pages de griefs de larmes et de rages, alarmes et 
Société ou armée de lâches ? Incarnée, j’ai voulu touché les étoiles, J’étais pas prête et j’crois que j’me suis plus que brûler les doigts. Alors j’suis partie affronter mes peurs à la belle étoile, la nature M’a guérie parce que j’suis restée pieuse, seule avec moi-même A regarder la danse des constellations, à méditer pour apaiser ma
Peine. Parce que société est perverse, t’écrasera si tu t’perds, te  Regardera de haut du haut de sa bassesse de merde.  Mais où on va si même les gens qui s’aiment se taisent, se détestent,  Se jugent et se vendraient contre un peu d’espèces ? J’désespère pas J’sais qu’tout part en éclat, éclaire de conscience, nan : j’obéis pas A un état. A l’heure où s’accélèrent les sortilèges des CRS qui  Fracasseraient même un cortège de veuves et d’orphelins. J’suis née Dans c’monde, en l’dénonçant j’attire les foudres, parce que j’chante Son effondrement un peu seule contre tous. J’suis née dans c’monde De béton, de mitards, comme toi sous les néons glauques d’une salle D’hôpital. Bienvenu ici-bas, asile grandeur nature, communication hertzienne  Pour s’faire entendre faut brûler des voitures. Alors j’écris entre les Lignes, …

Commentaire de BERTRAND le 6 Mars 2013 à 0:40

Il y a longtemps que j'ai publié ces vidéos,  je ne me souviens plus de leurs contenus, à quoi faites-vous référence ?

merci de m'éclairer.

Commentaire de Clarine Faure le 5 Mars 2013 à 2:07

Faut-il vraiment se taire toujours ? Non.

Il y a un temps pour tout : un temps en silence, un temps pour Dieu, un temps pour la prière, un temps pour l'étude, un temps pour la parole, un temps pour l'action, un temps de désespérance immense, et un temps pour Dieu, pour devenir servant de La Vie. Et là, on recommence, autrement, en conscience, par Lui, avec Lui et En Lui, on recommence toute sa vie…

C'est ainsi, tant qu'IL veut bien de nous… Tout est évolution permanente… Marche en avant…

Aujourd'hui, le temps est venu de la Révélation, de la Réconciliation et de L'Unité.

Non ? Pas encore ? Il faut encore se taire ?                   ?

Merci à cette main bleue, et à cette grande dame si belle, si sincère, si digne et si vraie.

Amen.

Clarine

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