Interview de Lise Bourbeau par Lilou Macé sur son livre "Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même".
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Commentaires bienvenus
Lire Lise Bourbeau et les Cinq blessures a été un vrai gros réveil dans ma vie.
Encore aujourd'hui je la remercie et je remercie les phrases qui lui viennent du coeur. L'amour véritable c'est accepter les parties de soi qu'on n'aime pas. Ca résonne si fort en moi.
bonne journée
Bonjour,
Pour continuer à partager avec vous, chaque personne avançant des choses sensées, ce qui est bien agréable à lire, un petit texte :
Le cadeau de la vie (a lire à haute voix plusieurs fois à la suite si on veut)
Je bénis ce jour et remercie d'être en vie
Je pardonne complètement toutes les personnes qui m'ont blessé (répéter trois fois)
Je demande à toutes les personnes que j'ai blessées d'accepter de me pardonner (répéter trois fois)
Je me fais des excuses pour le mal que je me suis fait et le mal que j'ai fait aux autres (répéter trois fois)
Je m'excuse pour toutes les blessures ou le mal faits à toute forme de vie (répéter trois fois)
Je m'excuse pour toutes les blessures ou le mal faits à la terre et à la vie de la terre (répéter trois fois)
Avec cette délivrance, la liberté, la paix, la force et la nouvelle vie, je bénis toute la création dans l'univers entier et je remplis l'univers entier de mon amour
J'aime et je bénis la terre, toute vie et toute l'humanité
j'aime, je bénis et respecte le visible et l'invisible
Je me réjouis et remercie pour ma nouvelle vie, ma nuvelle force et ma nouvelle santé et donne à jamais toute ma bénédiction et tout mon amour à toute vie et à toute la création
Voilà, merci de laisser un feedback qur le forum si vous récitez ce petit texte pendant un moment... Il se passera surement des choses
Je souhaite une excellente journée à tout le monde, pleine de bonté......
en effet lorsque l'on parle de pardon c'est, bien évidemment, de nous-mêmes qu'il s'agit :
se pardonner soi-même et tout le reste suit. Et puis tout ceci ne sont que des mots, le pardon, le lacher prise,
le détachement....tout cela s'expérimente et se vit de l'intérieur, ce n'est que lorsque c vraiment intégré et vécu au quotidien que l'on sent de dedans que tout cela ne reste que des mots. Toutes ces discussions sont, à mon sens, utiles parce que je me dis tiens, ah oui bonne réflexion, celle-ci a experimenté cela ou voit cela comme ça, c un partage. Et travailler sur moi c à mon sens un plaisir et non une souffrance, c comme d'aller travailler en râlant ou d'y aller le coeur léger, heureux de ce que l'on fait. Amma dit une phrase que j'aime :
"nous ne pouvons pas changer certaines choses mais nous pouvons changer notre comportement par rapport à ces choses" et aussi une que j'adore : "ne fais pas du but de l'action, le fruit de l'action !" et oui ça, ça me parle et au quotidien c un travail bien agréable !
Bonjour,
Elisabeth,il n'est pas donné à tout le monde d'avoir précisément ce bon sens quotidien.Certaines personnes peuvent peut être conduire leur vie plus au plus près de leur vérité que d'autres parce qu'ils sont naturellement moins parasités par leur histoire(question de personnalité ou d'équilibre de la personne...) ou parce qu'ils ont trouvé un moyen adapté pour faire un bon nettoyage dans ce qui était trop parasitant pour marcher librement...A priori,vous avez trouver cet outil qui a révélé le meilleur de vous même.Je suis d'accord avec vous,nous nous tournons trop souvent vers le côté sombre et bien souvent ce mental malin nous oriente vers l'analyse et la mortification des choses, nous sommes ainsi empêchés d' honorer la vie dans une plus grande simplicité.Mais c'est ainsi et il ne faut pas risquer de culpabiliser ceux qui font ce qu'ils peuvent pour rencontrer leur vérité.Pardonner aux autres commence par un pardon à soi d' être ainsi confronté à ses propres limites,à sa complexité,à sa noirceur qui a sa raison d' être.Il faut accepter aussi que tout cela prenne un temps plus ou moins long.C 'est tout ce cheminement de l' être que je trouve passionnant et utile...passer de l' ombre à la lumière.Pour moi,réparer ses blessures,c'est faire face (quelqu' en soient les moyens) à ses démons,ce n'est pas souffrir pour souffrir,c'est simplement dans l'idée et ça vous le savez bien,que si je me libère alors je libère ceux qui m'approchent.
Bonjour,
J@ Aemale : Je ne prétends pas élever mes dires au niveau de La Vérité; je ne parle que de simple bon sens quotidien. La seule blessure est d'être coupé de la vérité.
Dans ce monde ordinaire nous vivons beaucoup trop sur l'idée de la coupure et pas assez sur le sens de l'unité.
Qu'est- ce que la bonté sinon une chose simple qui fait fonctionner la "pharmacie du Bon Dieu", extrêmement économique de surcroît ?
@Lovyves : remède de cheval non, remède simple et ordinaire; s'occuper de sa santé est plus productif que s'occuper de ce qui un jour a été mal ou plus ou moins bien comme nous le voulions (le mal étant très subjectif)
Les choses simples dérangent, ce n'est pas nouveau car elles arrivent directement en court-circuitant l'analyse, donc ce mental malin qui ne sait pas ce qu'il veut et donc veut une chose et son contraire.
Mes propos peuvent paraître subversifs certes parce que notre culture est mortifère et lutte sans cesse contre la mort (ou la blessure) au lieu de mettre son énergie vers la vie. J'ai été à bon école, celle de Rolando Toro, la biodanza et je l'applique dans ma vie : révéler tout de suite le meilleur de la personne; comme je l'ai dit dans mon précédent post la lumière fait venir l'ombre quand même, mais au moins on a allumé la lumière et elle ne s'éteindra plus.
Je dis souvent qu'il est plus facile d'être héros que victime, mais encore faut-il le vouloir ; cela demande du courage, du vrai, celui du coeur comme son nom l'indique; je ne parle pas de l'huile de coude. C'est un mot galvaudé.
Bonne journée !
Bonjour,
Je ne pense pas qu'il y ait une seule vérité. Elisabeth a sa façon d'aborder la vie qui va aider certaines personnes à résoudre leurs histoires et d'autres comme Lise Bourbeau et bien d'autres, qui ont vécu certaines expériences, et qui peuvent être soulagés à l'idée de savoir qu'il y a eu une blessure au départ de la vie.
Pardonner peut conduire ailleurs... c'est une étape à un moment donné, toujous pareil, pour celui ou celle qui a besoin de la vivre. Il suffit juste d'interroger les personnes qui ont eu ce parcours.
Le mot blessure, peut-être traduit par d'autres mots.... il y a quelque chose à vivre qui va pouvoir nous conduire vers l'unité. Et bien d'accord Lovyves, nous pouvons sans doute parler des 5 moyens (ou plus, nous vivons dans un champ infini de possibilités) d'être heureux pour rester dans une vibration positive. Un peu de bonté suffit ....? http://www.lespaquantique.com/vibration-bonte-etre-plus-heureux/
Sur ce bonne réflexion .....
Bonjour à Tou(te)s
...les guéri(e)s,
Avec Elisabeth ..."remède de cheval " !
Non, je ne l'ai pas pensé, pas dit, et j'écris le contraire, c'est pas exagéré !
Mais c'est dit "pas par quatre chemins" et je me sens débordé !
C'est bon parfois d'être débordé par une femme, je ressens, alors, que mes propos n'étais pas trop "masculin" !.
Si je pense aux cinq moyens d'être heureux, d'être moi même, peut être, que je ne vais plus avoir le temps de penser à autre chose, et ceci n'est peut être pas un manque d'intelligence.
Bonjour !
Vous allez peut être dire que j'exagère C'est pas grave je le dis.
C'est quoi c'est 5 blessures sinon, une invention ! je le redis, pourquoi pas 10, 20 1000 et vas-y donc !
Jamais je n'écrirai un livre comme ça. Je vous dis que Lise Bourbeau a une belle entreprise et peut être les meilleures intentions mais elle appuie là où les gens aiment avoir mal, coûte que coûte.
Le moins on entretiendra cette illusion diabolique et moins il y aura de blessures.
Plus on écoute le mal et plus il a de choses à dire et c'est sans fin.
J'écrirais plutôt les "cinq qualités qui font plaisir" ou "qui aident à devenir soi-même"
Sinon c'est comme s'acharner sur les "factures et dépenses qui appauvrissent" au lieu de s'occuper " des dons et créations qui enrichissent"
Et comme Lise Bourbeau est placé sur un piedestal par principe, les gens se persuadent qu'ils ont des blessures.
Comment vendre un remède à quelqu'un ? en lui faisant croire qu'il est malade
Lise Bourbeau est une business woman et c'est très bien parce que je suis pour la richesse mais cela n'empêche que je pense qu'elle enracine le mal pour avoir elle le plaisir de l'arracher. De toute façon cultiver sa santé psychologique fait ressortir les mauvaises habitudes à changer, c'est déjà beaucoup à faire.
D'autre part, voici aussi ce que je pense de la notion de pardon ; Ah c'est le jour...
c'est comme les blessures, il n'y a RIEN à pardonner; c'est extrêmement "orgueilleux" de pardonner. c'est vraiment prendre le pouvoir sur la vie d'un autre, symboliquement, énergétiquement;
un jour ça pardonne, ça oublie, ça se dissout, ça lâche prise à ce vieux contrat quand je n'en peux plus de tenir l'autre par le col...et surtout parce que j'ai trouvé autre chose pour m'occuper;
Soyons humbles, avec dignité mais soyons humbles.
Plus on veut pardonner et moins on le peut parce que là encore il y a derrière cette histoire de "blessures";
L'autre a blessé mon égo, mon idée de moi-même est "qu'il ne devait pas me faire ça". Je lui pardonne est l'autre facette de l'histoire. JE ne peut pas pardonner.
Je crois que ce que l'on peut faire de plus juste c'est "écouter les rêves que la vie nous souffle et les mettre à exécution" et pas se torturer avec ce qui a été plus ou moins bien accompli parce que la matière était brute; développons davantage le cadeau, allons vers le noyau, toujours plus fin, subtil et les emballages ne servent pas à grand chose.
Ceux là se recyclent tout seul.
Je me sers des contes de fées parce que ce sont vraiment des joyaux, qui nous aident à mettre au monde, nos souhaits, nos rêves, en allant les chercher là où ils sont, par la simple magie de savoir qu'ils existent...par grâce.
Si vous n'avez pas lu cet article et si jamais vous pensiez que les contes de fées n'existent pas...
J'y fais le décodage d'une histoire courte et magique, celle de Brigitte. On comprend bien qu'elle avait gardé intacte en elle la structure des contes merveilleux ; ce qui est rarement le cas puisque la pensée mythique a été refoulée au grand profit de la pensée rationnelle et objective.
Brigitte a été blessée mais elle ne s'est pas occupée de sa blessure. le plus fort chez elle était son fantasme, même si elle le cachait...un jour la fée est venue réveiller son rêve
Bonjour Fifi,
Je fais écho à votre commentaire et à celui d'Elisabeth. les personnes qui ont souffert et qui ont fait le chemin, parfois tortureux, font preuve d'enthousiasme par la suite et déclarent même "je suis heureux d'avoir souffert". Je viens de lire une interview qui va dans ce sens sur le blog www.aimaenergy.com.
Quand au pardon, il est nécessaire pour notre guérison. Il peut prendre du temps, car à mon avis il ne s'agit pas seulement de dire à quelqu'un "je te pardonne". Cela va bien plus loin. Des textes spirituels desquels émane une certaine vibration peuvent nous aider, un lâcher-prise dans l'inconscient aussi. Je suis d'accord Chetana, il est à la portée de tous, à partir du moment ou on a fait la prise de conscience qu'il fallait pardonner. Est-ce que tout le monde fait cette prise de conscience ?
A bientôt pour la suite de la discussion.
Dans le groupe, peut-être que quelqu'un a expérimenté autre chose ?
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