Ancien médecin-chef à l'hôpital de Roubaix. En 1944, à 21 ans il est médecin. En 1967 ses travaux en biologie et cancérologie l'amènent à poser des postulats nouveaux, il révolutionne alors les principes fondamentaux de la biologie. Père de la théorie des cellules souches. En 2011, cinquante ans plus tard, la plupart de ses théories sont reconnues au niveau mondial, sans jamais que son nom ne soit cité. Aujourd'hui, ses travaux permettraient de soigner différentes pathologies

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Commentaire de Pier Bruch le 28 Janvier 2014 à 16:59

Association Pour André Gernez :

http://www.gernez.asso.fr/#/le-mot-du-president/3901220

Le mot du président

Tout jeune médecin (il a obtenu son doctorat à l’âge de 22 ans) et chercheur à la renommée Fondation Curie, le Docteur André Gernez constata en 1946, qu’une certaine maladie de la gorge appelée syndrome de Plummer-Vinson se transformait inéluctablement en cancer si le médecin la laissait évoluer sans traitement mais que si elle était traitée, par des remèdes très simples, le cancer n’apparaissait pas. Il s’est dit : et si c’était vrai pour tous les cancers, s’il y avait un mécanisme commun ?

Il fallait, processus habituel pour un chercheur, étudier un maximum de faits sur une littérature importante et formuler des hypothèses. Cette démarche le conduisit à mettre en question le postulat admis par tous du double cycle cellulaire, postulat selon lequel, pour expliquer le renouvellement d’un tissu, une cellule serait alternativement fonctionnelle et reproductrice. Il formula le postulat qu’il existait en réalité, dans chaque colonie cellulaire d’un tissu, deux types de cellules : les cellules génératrices (ou souches) et les cellules fonctionnelles. Il formula alors la théorie de la cinétique cellulaire, ce qui permettait de construire le mécanisme de la carcinogénèse et de la cancérisation.

Il fit parvenir les résultats de ses recherches aux Académies de médecine et des sciences, puis à l’ensemble de la communauté scientifique française et internationale de 1967 à 1970.

L’accueil fut enthousiaste, puis, – il avait dérangé bien trop de personnes et d’intérêts – un silence de plomb fut érigé et ses travaux quoique repris et confirmés furent tenus sous le boisseau.

Dès 1970, le docteur Gernez récusait un autre dogme, celui émis par le savant espagnol Ramón y Cajal, selon lequel il n’existe pas de cellules souches dans le cerveau. En partant de l’hypothèse que de telles cellules existaient, il devenait possible d’expliquer le mécanisme des maladies neurologiques dégénératives : sclérose en plaques, schizophrénie, maladie d’Alzheimer, myopathie de Duchenne.

Les théories des cellules souches et de la cinétique cellulaire permettent de formuler le mécanisme de toutes ces maladies dites dégénératives, et surtout de proposer une PREVENTION adaptée à chacune de ces maladies.

L’Association Pour André Gernez (APAG), s’est fixée pour but d’informer et de mobiliser les personnes concernées – c’est-à-dire nous tous – les chercheurs et les politiques, pour qu’enfin les théories de Gernez soient examinées, mais aussi de donner des informations pratiques, par exemple sur la prévention active, des cancers en particulier.

Jaques Lacaze

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