Les gens se plaignet alors que d'autres non rien
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Rahane, je t'ai lue ...Je partage totalement ta réaction Rahane ! L'important , à nos niveaux, c'est de ne point se taire et divulguer nos révolutions... Tu alimentes un juste débat, que dis-je ? Rahane . L'égoisme, le capital, les 10 % de nos nations vivant dans l'obésité du bien être sont aveugles face à la MISÈRE ... se dédouanant avec bonheur d'une aumône insuffisante aux besoins urgents d'un juste partage. Oui Rahane, je partage.... Isabelle
ces images renvoient à la faim plus qu'à la pauvreté
la pauvreté est un concept économique
elle ne se résume pas à 1 ou 2 ou même 3 dollar et un pourcentage de population en dessous d'un seuil
il y a aussi des pauvres chez nous et ils ont bien plus que 3 dollars et cela n'est pas soutenable non plus
la pauvreté est issue principalement d'un problème de répartition de PARTAGE résultant d'un rapport de force qui est bien plus la conséquence des agissements et des choix humains que des incidences des catastrophes naturelles ( en tout cas aujourd'hui) comme on se plait à nous le laisser entendre pour susciter des émotions propres à nous enroler dans les systèmes même qui entretiennent ce paradigme.
la pauvreté est issue de la manière dont les hommes exercent leur pouvoir de domination ( économique) sur d'autres hommes
et ce qu'il y a de difficile à résoudre au dela de la compassion ressentie pour l'autre en difficulté vitale est que la pauvreté se résoud par la politique et que c'est à ce niveau qu'il faut investir de l'énergie pour la combattre réellement
cela exige que les personnes aient conscience de la part politiques de leurs choix quotidiens pour influencer le partage plus que seulement par le biais d'un vote tous les 5 ans
par le fait de se renseigner et comprendre les agissements des multinationnales et de soutenir ou pas par le fait d'acheter leurs produits les politiques qu'ils mènent au quotidien et qui font la différence de partage entre les pauvres et les autres( ceux qui ont le choix)
la vrai pauvreté c'est de ne pas avoir ce choix et plus encore
de l'avoir et de ne pas l'exercer.
Le nombre de personnes vivant sous le seuil d’extrême pauvreté [1] dans le monde s’est réduit de 1,9 à un peu moins de 1,3 milliard entre 1981 et 2008. Une évolution d’autant plus positive que dans le même temps la population mondiale s’est accrue. Du coup, le taux d’extrême pauvreté a été réduit de moitié : 22,4 % de la population mondiale vit aujourd’hui avec moins de 1,25 dollar par jour contre 52,2 % au début des années 1980.
La plupart des régions du monde ont vu l’extrême pauvreté reculer. La réduction la plus spectaculaire est observée en Asie de l’Est, notamment sous l’impulsion de la Chine : on compte aujourd’hui 284 millions de personnes extrêmement pauvres (14,3 % de la population) alors qu’elles étaient plus d’un milliard en 1981 (77,2 % de la population). Le constat pour l’Afrique subsaharienne est en revanche plus mitigé. La part de la population concernée par l’extrême pauvreté n’a reculé que légèrement (47,5 % en 2008 contre 51,5 % en 1981), et le nombre de personnes a même augmenté (386 millions aujourd’hui contre 204,9 millions en 1981). La baisse de l’extrême pauvreté depuis le début des années 2000 ne compense pas la hausse observée durant les années 1980 et 1990.
Il n’y a pas de fatalité au sous-développement et aux inégalités dans le monde : la situation des pays les plus pauvres peut aussi s’améliorer. Toutefois, ce jugement positif doit être nuancé. Le seuil d’extrême pauvreté considéré est particulièrement bas : en prenant un seuil à 2 dollars par jour, on compte toujours près de 2,5 milliards de pauvres, soit 43 % de la population de la planète.
Il y a toujours un décalage important entre le moment où les données sont diffusées et les années qui leur correspondent, en raison des difficultés de collectes. Les dernières observations sur la pauvreté dans le monde datent ainsi de 2008. Comme le reconnaît la Banque mondiale, le ralentissement économique mondial, la flambée des prix alimentaires et pétroliers risquent d’avoir des conséquences dramatiques pour les populations les plus démunies. Enfin, ces données sont parfois partielles : il manque les données de près de 30 % des pays d’Afrique subsaharienne et de plus de la moitié des pays d’Afrique du Nord et du Moyen Orient.
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