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Commentaire de Anne le 21 décembre 2015 à 9:33

La Musique est une passion!

Vibrations de commUnion avec les Autres, d'Unité en Soi...

Harmonie, Paix, Connexion divine...état de Conscience modifiée... Amour...

Créons un monde de Musique et de valeurs Naturelles pour une Nouvelle Terre...

Que les êtres humains accomplissent leur guérison intérieure!... Le processus suit son cours pour ceux qui entraînent les autres dans le Changement...

Commentaire de Anne le 21 décembre 2015 à 9:28

Commentaire de Anne le 20 décembre 2015 à 18:06

Un acteur maître de la transition démocratique

Alors qu’un visa pour l’Ouest lui avait été longtemps refusé, on le laisse désormais quitter le pays et diriger des formations étrangères. Sans qu’il n’ait jamais adhéré au parti communiste, Masur entretient d’habiles relations avec le régime : tout en ne se compromettant pas, selon de nombreux témoignages, il parvient, par son aura artistique et personnelle, a obtenir des faveurs du régime, dont la construction d’une nouvelle salle de concert, qu’il supervise jusqu’à son inauguration en 1981.

Alors que la crise de son pays atteint un point de non retour en 1989, Kurt Masur devient un acteur maître de la transition démocratique, faisant de sa salle de concert un lieu de débat. Il sera pour beaucoup dans le fait que la manifestation du 9 octobre 1989, qui vit quelque 70 000 personnes défiler devant le QG de la Stasi de Leipzig, ne se termine pas réprimée dans un bain de sang. Les « manifestations du lundi » qui suivirent furent un pas décisif vers la chute du Mur, un mois plus tard, le 9 novembre 1989.

Plébiscité par les citoyens, qui viennent en masse déposer des bougies sur l’immense et sinistre place Karl-Marx, devant la salle de concert, Kurt Masur aurait sûrement pu alors devenir une figure centrale du nouveau pouvoir politique. Mais il se refuse à endosser un tel rôle. Ce qui ne l’empêchera pas de dialoguer avec le président François Mitterrand, lors de sa visite à Leipzig, le 21 décembre 1989 : « Il craignait que la Grande Allemagne ne réveille la germanophobie des Français », dira-t-il au Monde du 10 septembre 2003, ajoutant : « La réunification de l’Allemagne était devenue une nécessité absolue. Les gens auraient fini par s’entre-tuer. »


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2015/12/19/le-chef-d-orc...

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