Une expérience qui démontre l'influence du racisme ambiant sur les enfants.
Vidéo présentée par Michel Poulaert.
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Etrange, je suis blanche et j'ai le souvenir d'une poupée noire étant enfant que j'adorais. On fait parler les comportements comme on le souhaite. Nous pouvons également voir que l'enfant se cherchant dans sa dualité va puiser à l'extérieur ce qu'il pense ne pas possèder à l'intérieur. C'est ainsi une ouverture et une acceptation de soi-même et de l'autre dans différents aspects. Ne pas comprendre l'autre n'est pas du racisme à mon sens. Ne pas vouloir, est de l'entêtement à ne pas vouloir se découvrir soi-même, l'autre étant notre miroir
.
Pour en savoir plus sur lez fond et la forme de ces études, je vous invite à lire des articles sur le professeur Kenneth Clark, dont celui-ci, pour commencer : http://en.wikipedia.org/wiki/Kenneth_and_Mamie_Clark
A mon avis, curieusement ce n'est pas un test sur le racisme des enfants, mais sur le racisme des personnes qui font passer le test, et celles qui l'ont conçu. L'enfant se réfère "instinctivement" à la croyance dominante de son entourage . . .
bonjour à tous,
je viens de regarder cette vidéo. Il y a dans les conclusions quelque chose qui me dérange. Je pense qu'il faudrait se documenter de manière plus appronfondie sur la perception des enfants face à des jouets sombres ou clairs . Est ce peut être nos esprits d'adultes qui donnons une interprétation ?
Quel est le but recherché?
de montrer que les enfants noirs auraient une préférence pour des êtres blancs?
parce que les blancs (symbolisé par la poupée blanche "seraient" plus gentils et plus jolis.....) je reste dubitatif
Ce test n'est pas objectif, car il est bien connu que les personnes à peau noire veulent devenir blanches (cf Michaël Jackson par exemple) il aurait fallu aussi faire le test avec des enfants blancs pour voir si le choix allait aussi dans ce sens: la préférence des poupées blanches.
C'est édifiant. Essayons d'aller au-delà du millimètre de peau coloré, au-delà de l'infime couche de la personnalité.
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