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Commentaire de colibri7 le 18 Février 2014 à 19:04

secouez moi secouez moi lol! mais c'est vrai faire des choix dans l'amour et suivre son intuition! c'est important!

la vraie liberté est intérieure c'est toi qui va faire le taff le plus dur c'est d'avoir une bonne estime de soi

j'essaie en ce moment de créer du plaisir sur du déplaisir et aprés j'espere pouvoir me laisser le choix et m'autoriser ce qui me fait vibrer le plus! 

merci lilou la spontanéité c'est vachement important!

Commentaire de Clarine Faure le 16 Février 2014 à 17:08

Ici, je souhaite ouvrir mon lieu cet été, je suis actuellement au RSA, et bien l'assistante sociale qui est en rapport avec "Le Docteur Faure" (ma mère retraitée de 83 ans), m'a dit de rédiger mon dossier d'insertion en ne mettant surtout pas que j'allais créer mon entreprise ! Voyez, c'est ainsi, le dénigrement dans mon dos est si nuisible ! Au lieu de m'encourager, on m'empêche et me dénigre sans cesse. J'ai décidé donc de m'adresser directement à la direction de La CAF et de ne plus passer par cette assistante sociale dont je n'ai en fait pas besoin. Elle marche avec ma mère, et cela me bloque !

Je crois que nous avons tous et toutes une histoire particulière et qu'il faut oser la regarder en face et même la dire à tout le monde. Voilà 16 ans que je pardonne sans cesse et tente de faire comme si il n'y avait pas tout cela underground dans ma vie. Maintenant, j'éclate la mascarade et le pôt aux roses devant les tribunaux, et retrouve toute ma belle énergie à cette idée. Oui, je confie tout cela à la justice et, ensuite, je serais enfin Libre car Libérée de ma famille. C'est un peu comme si je vivais dans une prison psychique depuis 16 ans, 1997, l'année où on m'a volé mon fils pour raisons d'argent et de mensonges dans mon dos. Je sais qu'il va me falloir encore et encore beaucoup de courage mais je suis prête à faire ça.

Merci beaucoup isabelle pour cette vidéo qui me donne l'occasion de te dire tout cela, et encore bravo à Lilou !

:)

Clarine

Commentaire de Clarine Faure le 16 Février 2014 à 17:08

Ensuite, en 1989, j'ai créé mon entreprise avec le père de mon fils, j'ai travaillé beaucoup sans salaire, sans même signer mes images, souvent… J'étais très joyeuse, douée et dynamique. Le père de mon fils m'a ruinée et calomniée et là où ce n'est pas normal, c'est que ma mère et mes soeurs ont travaillé contre moi avec celui-là, et j'ai peu travaillé ensuite, officiellement en tout cas… Comme tu le sais, ils m'ont pris mon enfant à coup de calomnies et… c'est le traumas de ma vie ! 

Maintenant, en réalité, j'ai tout bon. Mes deux enfants sont avec moi, j'ai ma maison, je suis en Bretagne là où j'ai toujours voulu être, je vais avoir l'héritage de mon papa pour finir les travaux dans la maison et ouvrir mon lieu public. Le problème, c'est la traque qui ne s'arrête jamais, et cette délation permanente depuis 15 ans !

Je n'ai jamais voulu envoyer la justice à ma mère et au père de mon enfant. Je préfère publier un livre autobiographique pour rétablir la vérité de ma vie. Mais, si ils ne me lâchent pas, je vais devoir aller en justice contre ma famille. Une avocate, déjà, m'a dit : "des personnes comme ça, seule une décision de justice peut leur faire entendre raison". Je leur ai écrit à répétition beaucoup de choses mais ils n'entendent pas, tout est bon pour entretenir leur mépris de moi et leur jalousie. En fait, ils n'ont pas ma démarche qui est spirituelle et ne peuvent me comprendre. Ce qui les rassure, c'est de me calomnier et de voir toute ma vie en noir.

J'ai lu un livre (en diagonale) qui a pour titre "ceux-là qui vous empoisonnent la vie" et, en conclusion, il est dit que la solution est de réussir sans eux. Je sais aussi que des personnes qui attaquent leur famille en justice il y en a (et des artistes connus même) car c'est parfois la seule solution pour avoir la paix.

Je disais il y a quelque temps à mes amis qu'ils avaient carrément inventé un famtome de moi car, si je les ai oubliés, eux ne m'oublient pas. Je sais qu'ils parlent entre eux de moi dans tous leurs dîners de famille où je ne vais jamais. Oui, je suis leur sujet de conversation favori et c'est toujours pour s'inquiéter à outrance, inventer toutes sortes de choses à mon sujet, et me projeter toutes les tares. Comme dirait Jean-Louis Aubert, "chaque journal de 20 heures emplifie leur panique intérieur". Ils me colent tous les problèmes qu'ils voient à la télé !

Je suis pourtant une personne tout à fait normale, sociable et joyeuse, mais je m'aperçois maintenant que je suis restée recluse 3 ans, rien que ça ! Je me suis repliée sur moi-même à force d'empêchements. Il fut un temps où chaque fois que j'ai proposé des reportages, ça ne marchait jamais. J'ai écrit plusieurs concepts d'émissions de télé, plusieurs projets de documentaires : et bien chaque fois on me disait d'abord "c'est super, OK ça marche" et, ensuite, on m'appelait pour annuler. Voilà, on peut avoir une cabale sur la tête qui vient de sa propre famille et ne pas être au courant… C'est horrible !

Commentaire de Clarine Faure le 16 Février 2014 à 17:06

Chère Isabelle,

Je te remercie pour cette vidéo. J'aime beaucoup Lilou qui est très juste en ce qu'elle dit. Je crois que nos âmes se ressemblent, elle a compris beaucoup de choses et les expriment bien. Elle a eu comme moi des difficultés et elle a su les "sublimer". Oui, j'apprécie beaucoup cette femme. Et… toi aussi !

J'ai, pour ma part, toutes les cartes en mains pour réussir enfin ma vie comme je l'entend. A 50 ans bientôt, il serait temps !

J'ai affaire à une mère intrusive et abusive, une mère louve, et à des soeurs qui ont fait des études, elles, et qui ne veulent pas que je réussisse, moi qui n'en ai pas fait. Je suis la cadette… et je suis partie la première du domicile familial, à 16 ans. Ma mère, fille d'ouvriers, s'est battue pour avoir le droit de faire des études, et elle est devenue médecin. Elle n'a pas avalé le fait que je sois partie à 16 ans de la maison avec un GO du Club Med qui, en plus, était "noir" !

J'ai refusé ses incessantes propositions de devenir médecin, avocate ou ingénieur comme elle l'aurait souhaité. A l'adolescence, j'ai voulu d'abord être religieuse puis bergère (imagine la tête de ma mère !). Puis, j'ai souhaité devenir avocate puis psychiatre mais ces idées là en moi n'ont pas duré longtemps. Ma mère nous stressait sans arrêt sur notre orientation professionnelle car la réussite sociale était chez elle une obsession.

Vers 14-15 ans, j'ai voulu devenir reporter photographe pour voyager tout autour de la planète et découvrir le monde en grand avec mon appareil photo pour compagnon. Je pense que mes 3 soeurs, au même moment, ont fait de gros efforts pour réussir leurs longues études. Je pense qu'aujourd'hui, finalement, elles ne sont pas vraiment satisfaites de leur vie dans la ville, malgré leur bonne "réussite sociale" et leur argent.

J'ai beau ne pas avoir fait d'études, j'ai beaucoup travaillé toute ma vie d'une façon autonome et indépendante, au gré des rencontres. Je suis entrée dans une agence de presse photo à 18 ans, j'ai voyagé en tant que reporter. En 1984, j'ai fait un voyage seule au Mali, j'avais alors 20 ans. Ma mère me disait alors que j'allais me faire manger par les crocodiles et mes soeurs me disaient que j'allais me faire violer par les noirs et volé mon matériel photo. Je suis partie quand même ce qui m'a valu mes premières parutions et ma carte de presse, une expo au Musée de l'homme à Paris, et plein de contacts avec des personnes passionnantes. 

Commentaire de Isabelle Paoli le 7 Janvier 2014 à 10:53

Comment se sortir de la spirale infernale? Lilou Macé

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