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Commentaire de REGIS NANOU le 13 Janvier 2011 à 17:39

J'apprécie de me nourrir d'images positives. Personnellement j'ai fai le choix de me construire en dehors des images parentales, c'est possible ! Tel père tel filsl c'est pas obligatoire telle mère telle fille c'est pas obligatoire aussi. Choisir de vivre en marge de sa famille génétique beaucoup l'ont expériementés...

Nous avons continuellement le choix de nos décisions de pensées...l'important ensuite c'est d'aligner pensées paroles actions....

Commentaire de Christophe le 12 Janvier 2011 à 23:57

J'ai bien pris notre de vote précision, et à la fin du texte que j'ai posté est bien indiqué un nom : Auguste Comte, c'est ce que j'ai trouvé sur le Web!!!

Alors ok pour Christian Godefroy, mais comme il finit par une citation d'Auguste comte et que l'on trouve de nombre texte qui indique seulement Auguste comte, la citation se fond avec le texte et il apparaît aux premiers abord que le texte est signé A. Comte. Mea culpa.

Commentaire de épanews le 11 Janvier 2011 à 23:25

Réponse à Christophe : quand vous citez un texte, indiquez le clairement et faites référence à l'auteur.

Le texte "la mort de mon père" est de Christian Godefroy d'après cette source

Commentaire de Christophe le 11 Janvier 2011 à 23:13

"On est écouté (suivi) par ce que l'on fait, et non par ce que l'on dit"

Superbe vidéo comme support d'étude pour des cours avec des petits, et aussi les grands (surtout)

J'ai eu la douleur de perdre
mon père il y a quelques années,
des suites d'une opération
chirurgicale qu'il n'a pas
supportée.

Ça n'a pas été facile d'accepter
son absence. Il était un modèle,
un contre-modèle, et même si il a
été dans mon enfance un père déficient,
je lui ai pardonné.

 Nous étions de vrais amis. Il me
donnait de la force. J'ai réussi, peu
ou prou, à être ce que je suis,
sans lui, mais aussi grâce à lui.

Il y a peu de temps, j'ai fait
un rêve étrange. Je ne sais pas
si un songe peut être un
"messager" de l'au-delà. Mais je
vous livre tout de même son
contenu, parce qu'il m'a aidé à
mieux vivre par la suite et qu'il
peut peut-être apporter un
réconfort (une réponse ?) à
toutes les personnes qui ont
perdu un proche.
 
Dans ce rêve, je marchais sur
la plage avec mon père.

À chaque pas, j'avais comme des
flashes de ma vie passée, des
épisodes heureux de mon enfance,
des tracas aussi, des moments
forts, des éclairs de confiance,
des bouffées de chaleur humaine.

À chacune des scènes, triste ou
joyeuse, correspondait une série
d'empreintes de pas dans le sable :
les miennes et celles de mon
père.
 
La dernière partie de notre
balade était accompagnée de
flashes particulièrement
douloureux : la maladie, la mort,
la perte, la détresse, etc...
Alors, je me suis retourné et
j'ai vu une seule série
d'empreintes dans le sable : les
miennes.
 
Effondré, je demandais à mon
père : "Tu m'avais dit que tu
serais toujours là, même dans les
pires moments de ma vie.
Pourtant, quand je regarde le
chemin parcouru, je vois bien que
j'ai vécu récemment des passages
vraiment difficiles tout seul.
 
Tu n'étais pas à mes
côtés ! Où sont passées tes
empreintes ? Qu'est ce que cela
signifie ? Que tu m'abandonnes
quand j'ai le plus besoin de toi?"
 
Alors mon père répondit :

"Même si je ne fais plus partie
de ce monde, je t'aime et je ne t'ai
jamais quitté. Pendant toutes ces
épreuves, quand tu voyais une
seule série d'empreintes de pas,
ce n'étaient pas les tiennes,
mais les miennes : je te portais
dans mes bras."
 
Même quand nous pensons être
seuls, nous sommes accompagnés.

D'une certaine manière, les
personnes qui ont compté pour
nous dans la vie et qui
disparaissent laissent derrière
elles une empreinte. Ce sont les
signes de leur présence et de
leur "réalité" dans notre monde :
elles continuent de vivre à nos
côtés, par nous et en nous.

Notre éducation, nos habitudes,
nos manières de penser sont
souvent les héritages légués par
ces personnes. Ce sont autant
d'armes pour affronter les
moments difficiles de la vie.

« Il y a plus de morts que de
vivants, ce sont les morts qui
dirigent les vivants ».

Auguste Comte
Commentaire de sophie le 11 Janvier 2011 à 22:38

 

et si on avait la force d'être moins nuls... c'est pas gagné quand même avec un peu de franchise... mais un peu chaque jour peut être !! merci pour la piqure de rappel, bonne soirée, sophie

Commentaire de Annick le 11 Janvier 2011 à 20:48
oui, cela aussi passera comme le dit OSHO
Commentaire de Annick le 11 Janvier 2011 à 15:03
Il est vrai que nous travaillons sur nous et grâce à nos prises de conscience permettons à l'humanité d'évoluer au travers de l'inconscient collectif, mais vite vite, aidez-nous de "l'autre côté du voile". il y a encore tellement de souffrance à dépasser !
Commentaire de Annick le 11 Janvier 2011 à 14:58
Merci Fabienne et Lovyves, nous sommes bien évidemment responsables et non coupables, mais comment ne pas poser ce regard interrogateur lorsque l'on voit évoluer son enfant dans une forme de souffrance. Aurais-je pu faire autrement ? Et oui Ho oponopono
Commentaire de Lovyves le 11 Janvier 2011 à 14:22
Bonjour à Tou(te)s
Merci Ambroise
Merci de rappeler que, peut être, dans des détails : "Ca n'arrive pas qu'aux autres"!
Les parents ont un permis pour conduire une automobile; mais n'ont pas de permis pour conduire un enfant dans la vie.
Dire que j'ai élevé un enfant est un mensonge de haute volée!
Les parents humains, en général, comme les animaux nourrissent leurs progénitures.
La bonne question ensuite : est ce que je n'ai pas abaissé mon enfant à mon niveau?
Car un enfant a, au départ, énormément de capacités à s'adapter aux situations dans lesquelles il va vivre; un enfant est prêt à vivre comme au temps des romains avec les jeux du cirque, ou aujourd'hui au monde des média et de la télé...réalité, laquelle n'a rien de "réalité"!
Donc les parents conditionnent leurs enfants à leurs valeurs, si l'on peut dire "valeurs"; si quand même il y en a quelques unes qui méritent ce critère... plus ou moins!
Cependant, en général, les parents font se qu'ils peuvent, mais là il faudrait avoir la franchise de dire : Vu comment nous avons été formatés, nous pouvons peu !!!
mais dire "je peux peu" et sans se culpabiliser, peut se dire ... sous la torture, et encore !
Les enfants sont intelligents, ils comprennent vite qu'ils sont imparfaits, que les parents sont imparfaits, pas de quoi en être névrosés; mais la dictature de l'incohérence des parents, là ,c'est la névrose élevée à son paroxysme assurément.
Les adultes sont plus forts que ... je ne vous dirais pas qui, je tiens encore à ma vie, je vous envoie aux études de Alice Miller !!!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Miller
Quant à la phrase: j'ai élevé mon enfant !
Ai je permis à l'enfant(qui est né physiquement de moi, mais qui n'est pas ma possession) d'être lui même ?
Lui ai je enseigné tout ce l'humanité possède comme différences sur les plans politiques, religieux, professionnels ?
Lui ai je permis de prendre des chemins loin des miens?
Lui ai je appris que tout est permis, sauf la violence physique ?
Ai je été un exemple par rapport à mes valeurs?

Bon, je suis conscient que je suis un "tortionnaire de parents", je vous prie de pardonner mon outrecuidance.
Et que demain sera beaucoup plus beau qu'aujourd'hui .. si nous le voulons.
Commentaire de Philippe le 11 Janvier 2011 à 13:28

"Tel père, tel fils"... je trouve cette croyance quelque peu réductrice et évite de m'en servir...

Quand à la vidéo, je ne sais pas si le fait de croire à notre influence n'est pas un leurre...

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