Les soucis, les pertes, les peurs, les maladies, les angoisses ce ne sont que le résultat des attachements aux formes qui nous définissent tel que nous pensons.

Il ne peut être autrement sauf si l’homme élève sa conscience à se reconnaître comme le fruit de l‘évidence.

Qui aspire a une étrange sensation qui ne peut en mettre un mot pour le définir au cœur de sa propre vie, qui en outre lui appartient pas, mai elle est présente en ce qui le fait vivre tout simplement.

Nous faisons partie de la puissance et de cette unique force qui nous anime qui est vie car sans elle nous ne serions pas là et encore moin existant.

Nous somme le fruit d’une existence invisible, bien réel, l’évidence de ce qui doit être tel qu’il est et pas autrement ou alors il serait différent mais toujours là, présent.

Au regard de lui même l’homme ce construit et mentalise tous ce qu’il vie, par ce quoi il existe, avec la grandeur de l’illusion (paraître).

Il ce penche au-dessus de l’eau pour un jour ce noyer sans avoir le goût d’avoir accomplis et compris sa réel identité dans ce monde de l’univers.

L’homme, vivant dans la mémoire, le transgresse dans l’immense savoir de l’humanité　 et fini par ce fatigué de la vie, aucune ouverture en n’est possible, comme aucune création au bon sens de la vie car il en crée des résistances qui en n’est l’opposées de ce qu’il est en réalité, ce qui engendre une controverse au sens réel du courant, comme un court circuit dans une ligne de force,(masse).

Cela procure tout son mal-être ou la réalité de son existence disparait ensevelie sous l’ignorance de ne pouvoir écouter seul le courant de la vie et en ce monde il ne pourrait en nourrir son égo, affamés à la perfection de l’image de l’illusion.

Il ne cesse de s’oublier, de fuir, par ces taches quotidiennes ou le questionnement fuse de mille pensées ou l’inquiétude règne et en grandies sa peur, pourtant a ce moment là, dans ce comportement il est dans le monde des morts certain.

Car la vie qui le vie, il ne peut la ressentir… toujours partis au-delà ou il ne peut être présent…. c’est cela être dans le monde des morts! Comme dans la bible: il est dit «　 laisser les morts enterré les morts　»

Nous somme vie, nous faisons partis de cette énergie qui nous habite car nous faisons qu’un avec elle.

Dans ce monde les hommes son imprégné d’une histoire antique ou ils ne peuvent être présent, l’homme vie avec la mémoire et de cela découle le fait de ne pouvoir ce connaître.

Il court a vive allure sans savoir ou ils vont, sans ressentirent d’où ils viennent, qui ils sont et par qui sont-ils parvenue sur la terre.

Les hommes éveillés de nos jours regardent ce monde sans peine mais avec compassion

Ils ne peuvent apporter de solution a son prochain, avec certitude, mai lui communique avec les mots une possibilité d’une existence réel, que juste quelques uns pourrons reconnaître au dépend de leur passage inévitable de la souffrance.

La matrice de l’univers c’est la vie qui est en chacun de nous, masquée par le conditionnement en l’esprit de l’homme au trait d’un carma ou l’imitation inconsciente représente le monde de l’illusion.

Cet état n’est que fragmentation crée par le conditionnement, qui est sans fondement et dissous la possibilité de l’éveil de l’humanité.

Nous avons point d’histoire personnel, car nous sommes l’histoire d’une illusion construite sur les basses d‘une antiquité aux règles multiples, dirigé par la pensée collective, ce déplaçant a contre courant au dépens de découvrir notre véritable identités, Celle qui nous mène ou notre passage prend fin un jour sans rien avoir ressentit et compris.

Nous gardons des souvenir sous différente forme et image et nous projetons des images dans le temps sous forme d’hypothèse ou suppositions comme des rêves, que nous pouvons évidement réalisé mais non aucune structure véritable. Car ils ce réalise dans le conditionnement liées a l’alimentation des attachements ou l’égo n’est jamais satisfait dans la mesure ou il amasse et donne la priorité a différent objet, action et apparence qui ne pourrons jamais lui permettre de ressentir la pure création de la vie.

C’est la force de l’égo dans l’esprit commun ou l’éveil ne peut réaliser son existence.

Nous ne pouvons être différents car l’émanation des ondes par l’ensemble des pensées humaine enseigne inconsciemment à leurs progénitures une règle déterminée ou ils déposent des croyances dans leurs cerveaux donc ils absorbent tous ce qui est dit et tous ce qui voie dans le caractère d’un programme ou le mal-êtres commence déjà a son plus jeune âge(fétus) ce semé et grandir en lui et le renferme dans son propre cachot ou il ce perd dans sa souffrance et ce cache derrière des barrières ou son visage en exprime différent trait.

Mais nous sommes né de l‘essence de l‘espace, elle en n’est toujours présente en nous, alimenté par le courant activé par la magnétosphère (vie), ce qui en fait battre notre cœur.

Cette essence nous compose, elle représente la bonne note, le bon sens de la vie et cela crées avec le conditionnement qui nous est infligé, composée de croyance conditionnelles, une interférence, une masse, un contre courant, engendrant, dualité, opposition, crée des tensions, divisions en notre esprit , en notre corps qui génère la souffrances, stress, angoisses, peur, destruction de soi même, récoltant les maladies alimentées par les croyances qui nous sont transmise inconsciemment par nos parent de chaire et consciemment par les pouvoir qui dirige les peuples.

La loi de l’univers, vous pouvait l’intituler de la manière que vous le ressentez est la loi de l’essence qui nous compose, qui circule en nous et autour de nous, enfin de compte nous somme cette énergie, alors nous sommes en nous comme en dehors de nous, nous sommes l’arbre que nous observons, touchons, comme toute chose qui nous entour de prés comme de loin.

Ce que l’homme vie aujourd’hui et le savoir, non la connaissance de la vie, il est la vie, mai ne la ressens point.

Tourmentais par ses préoccupation, il avance sans savoir qu’il est entrain de reculer, mai pour lui, il avance, accomplis sa réalité entièrement conditionné dans un monde d’illusion et matérialisé.

Ceci n’est pas une fabulation ni un délire de ma part mai cela en est le comportement, la réalité de l’humanité dans un conditionnement de peur, de tristesse, d’angoisses, de maladie, d’argent, de possession, de mots d’images et la majorité en exprime son existence seulement par le confort de ces possession cela le rend vivant, excitent.

Dans un pourcentage dominant, l’homme ne possèdent que le trait du conditionnement, sur lequel ils ont fondaient leurs croyance par l’héritage de leur parents qui eux même ont engendré ceux de leur propre parents et ainsi de suite.

Ce que j’exprime en toute liberté est écrit par le cœur, c’est le livre ou tout et a l’intérieur et l’extérieur comme le battement d’ailes d’un oiseau ce déplaçant, comme la brise pour en ressentir l’essence de l’univers, cela en est notre demeure pied nus de notre existence.

　

La crainte, la peur, les angoisses, les maladies, les souffrances: sont la croyance de l’individu ou la puissance énergétique négative et en action par la pensée d’un conditionnement enraciné, dans les gènes et nous croyons a tout cela émerger dans une compétition d’illusion.

C’est cela que l’homme regarde comme une réalité.

Nous utilisons des mots et nous leurs donnons un pouvoir et de belles images.

L’homme a créé un catalogue des comportements de l’humanité, avec une étiquette pour chaque comportement pour l’individu.

Mai cela est prétentieux et sans conscience évidement.

Cela fait partis d’une belle illusion, étiqueté l’individu!! Pourtant c’est bien cela qui ce passe en ce monde sur cette belle terre.

Nous nous construisons et apprenons, par l’intermédiaire de tous ce qui nous conditionne et qui en sont des images d’illusions d’un mouvement crée par la pensée involutive de l‘Homme.

Ce qui ne représente en aucun cas, notre réel identité car nous retraçons les mêmes pensées, réflexions et action que nos parents.

Nous ne pouvons êtres nous même dans le conditionnement d’une histoire qui nous appartiens pas.

Ce reliés a ce conditionnement ou l’égo ce nourri de forte dose qui empêche l’Hommes d’être, car il est anesthésié en permanence, hypnotisé par différent programmes, ce qui est l’image d’un troupeau de mouton parquet prés pour l’abattoir.

Les peuples son manipuler a un point qu’il en croit cela comme la vérité de la vie. Il son mal dans leur corps et esprits a espéré que cela change un jour, et attendent que quelque chose viendras les sauver.

Il ce disperse dans différente mesure aux cannes représentant les doctrines et religions. s’identifie par celle-ci et ce félicite de leurs savoir, ce regardant personnellement, cette apparence en n’est l’image de leur ego infligé, ou le voile de l‘ignorance en n‘est présent.

Quand un jeune enfant observant des objets, un animal, un arbre, une fleur ou toute chose qui l’entour, il l’observe toute ces choses sans leurs donner une étiquette, il regarde avec ces yeux grand ouvert, fixant avec émerveillement, patient devant toute ces choses sans leurs donner un qualificatif ou adjectif.

Il vie le moment présent et découvre son environnement par ces propre sens qui lui son par nature déposer en ce corps animé.

　

Et c’est bien nous, les adultes qui leur donnons a ces choses des étiquettes comme un chien Il mord! Le loup, Il est méchant! Ainsi de suite et ce comportement nous l’utilisons pour tout ce que nous avons acquis avec nos parent et adultes.

C’est ainsi que l’enfant ne peut identifier son propre cœur, la vérité de la vie, car les adultes avec leurs pensées, (la pensée du passé.) l’imprègne dans l’esprit de leurs enfants sans prendre conscience de la réalité de la vie.

Cela est une réalité, le comment nous fonctionnons et avançons en ce monde perdu.

Nous définissons le mal et le bien, sachant que tous est là pas par hasard, tout est présent comme il a étais déposer par la loi de l’univers, créé par une intelligence qui elle-même nous as créé avec nos possibilité infini, car cette matrice elle-même est infini avec un seul langage et pour toute les galaxies de l‘univers, elle crée la vie d‘une seule et unique énergie. (L’amour)

L’homme, ce limite et ce diversifie comme il ce perd dans ce conditionnement, a vouloir depuis toujours contrôlaient la nature (l’énergie): qui est instable pour les peuple et dangereux car la résultante des sites nucléaire n’est pas certain dans le sens que l’ors un séisme serais à venir comme il le sera un jour, aucune science ne pourras contrôler l’échapper de l’uranium, car l’homme créé sans prendre conscience de la résultante car il l’ignore.

Il contrôle ainsi la culture ou toute graines enfin presque, qui ne peut être replanté, il serait bien d’être conscient que la culture industriel qui empoissonne et tue l’homme a petit feu.

Si nous observons ce qui ce passe en ce monde nous nous apercevrons que les pouvoir agissent sans conscience au dépend des peuples pour gagner un maximum d’argent et tué un maximum de gents par tous le moyens, car si cela en serait le contraire nous vivrons sans risque et en paix, mai nous en sommes pas là encore.

Delà l’homme engendre par la pensée collectives ces souffrances, ces obstacles, ses peur qui lui sont administré par l‘héritage du savoir humain fragmenté, qu’il exprime inconsciemment, avec la mémoire (le temps du passé, l‘idée et la croyance de l‘autre ).

Si l’homme souffre c’est qu’il est perdu en son esprit et ne prend conscience du présent, dans les pensées structuré et conditionner sans pour au tant en être conscient, ce qu’il le positionne dans le contre courant de la vie elle-même.

Le contre courant que j’exprime est l’ensemble du conditionnement lié à l’histoire de l’homme depuis sa création.

Il agie en fonction de la pensées collective qui est l’empire des pouvoirs tenant l’esprit de l’humanité en chaines et ce serre de votre peine et s’enrichissent.

Jésus a démontré la vérité, que l’homme n’a point entendue, Delà les ténèbres étaient le ciel sur terre.

Le chemin de la vie te porteras ou tu ne pourras nullement te posé, tu seras mené comme le courant du vent et tu ne laisseras aucune empreinte, car tu es la vie.

Elle-même qui ne te demande un savoir, mais être seulement présente (l‘existence).

L’empreinte n’est que illusion qui en recouvre des pages pour ne point ce faire oublié, mai cela ne nous conduit point dans le courant de la vie, elle ce dissous dans le néant, a perdre les esprits des hommes et encourt le déchirement des nations, des peuple, dans l’accumulation des traditions, ainsi l’homme vie en étant morts oubliant d’où il vient et de ce part, qui le tient en vie

Elle ne porte aucun fléau, ni drapeau, ni couronne, ni nation, ni mot, elle est la vie unique, elle crée les terres bleu de l’univers l’identique de cette terre ou vous vous trouvez.

La vie elle a créé l’homme de par son essence et cela est inscrit dans notre cœur…… que l’humain a tendance d’oublier. Le son de la vie et vivant et éternel, émanant une seule et unique note dans tout l’espace qui est composé de l’essence qui en crée toute existence.

Jouer de cette note ouvres l’esprit a la présence en notre présence.

Détaché de l’apparence et de toute choses, aucune résistance en fait obstruction, la légèreté se fait sentir, la paix réside dans ce corps de cette unité universelle infinie ou aucune résistance en n‘est présent en ce monde de création, et l’esprit crée toute chose au bon endroit .

La nature vous donne l’exemple de la vie, mai vous ne la regarder point dans sa propre profondeur, car ci cela en étais le cas, vous seriez le courant de la vie elle-même et aucune appartenance vous serez acquise et vous ne porterais point de fardeau.

Ce que vous portez depuis des siècles à essayer de vous en détachais et de comprendre, cela vous étouffe, vous emmène dans le gouffre tes ténèbres, a ne plus respiré la vie qui vous est donnez.

Tous ce que vous pouvez entreprendre dans cette existence ou nulle liberté n’existe pour l’homme, vous le faite dans un esprit commun et construit de toute pièce, forment la plus grande des prisons que l’humanité connait a ce jour, mai dans l’esprit de chacun l’ignorance est existante recouvrant la vérité de la vie.

L’homme ce déplace aux ordres des constitutions, des lois, des règles des conditionnements, dominant sur les nations et les peuples ne pouvant a ce jour vivres leurs véritable vie: (liberté).

Conditionnais dés son jeune âge, il ne peut savoir qu‘il possède (la vérité), car il avance avec la mémoire, émanant les idées et images de l’homme tribaliste et obéis aveuglement a ces règles structurées par le pouvoir.

L’homme fonctionne et avance avec la pensées collective, il retrace l’identique de son père, sa mère qui eux même on retracer l’identique de leurs parents. Nous réagissons comme le troupeau de mouton, parquet donnant leur viande pour l’abattoir et en nourrissons de notre énergie les affamer du pouvoir.

　

L’ignorance résulte l’ampleur de la souffrance qui ne peut ce dissoudre dans les cœurs, car l‘humain est fortement piéger par les structures constitutionnelles, la liberté est inexistante dans cette constitution. Le but fait partis du conditionnement, il ne peut nous permettre de joindre la vérité car aucune destiné ne vous est prévus à chacun.

Ce fixé un but serait s’imposer une destination avec tous ce que cela engendre, comme vous marchez sur des empreintes ou vous seriez l’imitateur du passé dans ce présent que vous ne voyez et vivait point.

Cela ne peut vous emmené dans la profondeur et l’exactitude de la réalité, aucune possibilité dans ce cas pour venir a vous comme le soleil ce lève, (l’évidence).

Être attentionner de ce moment présent de chaque instant de la vie, au-delà de la pensée, vous immergerez dans l’amour inconditionnel et de la justice.

Et la nécessité des formes comme l’attachement, les doctrines de toute sorte, le conditionnement, les constitutions, les religions, les images sur les mots disparaissent dans ce monde ou rien ne vous est rattaché.

La paix en soit surviens comme le courant de la brise et aucun chemin lui est destiner.

Seulement votre présence en serait entendre le réel son de la vie.

Nous ne pouvons être, si nous sommes le passé, car nous agissons avec la mémoire.

Nous ne pouvons êtres, dans le cas ou nous nous identifions à l’image et l’étiquette de l‘antiquité.

Et aujourd’hui l’homme avance avec cette mémoire, et que serions-nous sans cette mémoire? Un nouveau né, une brise prenant toute connaissance de la présence sans aucun attachement ou regret sans parfum, ni couleur, sans expression extérieur, sans noms, sans déterminer qui que ce soit et ce fondre dans cet espace d’unité ou tous ce réunies dans aucune identification mai vivre dans le réel d’un passage présent et de partage.

L’homme vie dans le passé et construit son présent avec ce passé, il évolue dans la technologie, mai perdu de sa liberté ou l’esprit ne peut évoluer cause de son ignorance, car il marche aveuglément sur les pas de la mémoire et ne peut ce libéré dans ce cas.

Le courant de la vie na aucun but, aucun début ni fin.

C’est le courant incessant infini ou aucune règle ne règne, la connaissance du silence et au-delà de la pensée, (la pensée de la mémoire qui constitue le passé).

Nous ne pouvons êtres dans l’absence de ce monde (lumière) tant que nous utilisons le passé comme étant le présent.

Nous nous conditionnons et créons nos croyances que nous mentalisons comme une vérité nous mettons des images à ce que nous croyons êtres l’éveil et ce dire êtres amour.

Mai cela et une graine semé au cœur du buisson de ronce.

L’amour est unique sens, il est le fruit de l’absence de tout but, images, il ne porte aucune caractéristique, il ne peut ce qualifié d’aucuns adjectifs que ce soit en ce monde.

Il ne peut que ce ressentir au-delà de cette pensée ou il y a aucun attachement psychologique, physique, corporel, matériel

.La peur qui habite en l’homme le retient dans l’obscurité, il craint la peur de sortir ne sachant point ce qui est à l’intérieur.

La peur du déséquilibre de n’avoir aucun repère, aucune structure, ceci habite en son esprit inconscient.

Il ne peut ce mouvoir dans l’être avec toute ces résistance, nous vivons que de résistance et nous nous regardons point de ce qui nous habite en nous même.

Nous ne pouvons être dans ce courant infini car nous somme dans l’idée de la mémoire, l’action de la mémoire, nous construisons sur l’empreinte de cette mémoire, ne nous pouvons être libre de création, d’évolution créatrice, car nous somme conduit par l’incessante conscience d’autrui.

Nous enregistrons inconsciemment ce qui faut dire, ce qui faut faire, et nous ne faisons point de ce que nous sommes.

L’hommes fait confiance aux structures divers et a besoin de cela , il ne peut voler de ses propre ailes comme l’oiseau prenant son envole pour la première fois aux risque de tomber , mais il ne ce pose pas de question car il suit l’instinct de la vie qu’il lui a permis d’être ce qui est .

　

　

Le changement.

Le déclanchement ce fait a notre insu après avoir subits un choc psychologique, émotionnel ou autre situation, il arrive bien après un travail sur soit même, dans le juste de la vie, vis-à-vis d’autrui et de la planète de différente acte venant du cœur dans la spontanéité.

L’attachement des choses ce dissous comme la celle sur le cheval tombant a terre.

Une sensation de liberté ce fait sentir dans le sentiment de peur alimenté par la pensée qui elle-même et ressource de la mémoire.

Le sentiment d’insécurité dans ce monde qui nous paraît nouveau ou aucune structure nous est acquis.

Une impression d’un incessant et eternel recommencement, mai cela en n’est l’évolution qui nous est permis d’acquérir pour nous permettre a nous même d’atteindre le pic de Sion.

Pouvons nous ce démunir d’images et regarder ce qui ce passe en nous et le décortiqué en son sens réel? Oui!!

Approfondirent tous sujet vivants en notre intérieur de bout a bout et ce satisfaire a ne plus rien ressentir, jusqu’à VIVRE la paix dans ce lieu. Serait il possible qu’aucun attachement et pensée viennent nous retarder dans cette évolution? Je pense que oui!

Il est nécessaire de ce défaire de touts habits, (le costume des apparences et la fleur des illusions).

Nous avons la possibilité infinie de prendre la décision d’entreprendre ce voyage, sachant que nous savons point ce que nous allons rencontrer et le doute seras présent.

Ce qui nous donne la possibilité de créé et évoluer dans cet univers ou rien n’est construit et c’est de part lui même que nous allons évoluer, car nous y l’habitons depuis toujours.

Nous avons construis depuis des temps et jusqu’as cet instant ou notre conscience en vois le vrais visage, après cette chute du haut de la falaise ou nous avons rien pour nous accroché, pour en atterrie devant la réalité fasse a nous même.

Un sentiment de perdissions ce fait sentir ,que tous ce que nous avons construit étais l’image de l’illusion, cela nous fait mal car nous nous sentons perdu par le fait que nous nous détachons d’une croyance , d’une structure et projeter dans cette immensité ou rien nous reconnaissons .

La vie (l‘amour): et le sens du courant de l’eau, il dit: les gaz des nuages, les goutes du ciel, le ruissèlement dans les pleines, le train des ruisseaux, l’afflue des rivières, l’abondance des fleuves, le monde des mers. Ont vois bien le cycle interminables ce déplacent dans sont évolution dans le sens unique de la vie ou aucune résistance lui fait barrage dans sa nature.

Pour dire que si nous ressentons une résistance en notre temple, nous ne pouvons être dans le fluide de l’amour que dieu a créé en son sein unique, car nous avons en nous l’incompréhension de la chose.

Mai cela ne nous empêche point d’agir comme l’être agréable, doux, serviable, compréhensible, a l’écoute, sans jugement, n’y colère extérieur et tous cela, etc.…..!

Mai nous ne sommes pas dans la réalité unique de dieu. Car si nous nous écoutons nous voyons et ressentons ces résistances, et ne pouvant êtres dans cette totalité de paix.

Car notre esprit est composé de fragmentation, division engendré par le langage des mots avec leurs images et chacun de nous donnons et en faisons une histoire, sans pour cela en regarder simplement la réalité de la chose, qui ce présente a nous même comme une évidence.

Nous contrôlons toujours et toujours les choses, comme la nature, comme les gents, et cela en n’est Bien une résistance sophisme.

Le porteur de la souffrance mondiale et l’unification de tous les être vivant sur cette planète terre, agissant dans l’esprit unique ou les larmes verse le sang de la vie.

Les rivières de mon cœur ce jetterons un jour peut être dans l’océan ou je pourrais en regarder au-delà de l’horizon une mer calme dans un esprit au trait unique.

je me lasserais point de ce moment qui en seras toujours présent ou rien ne pourras m’atteindre et agir au grés de la brise, me sentir dans l’unification d’un monde au sens unique, qui en ravira mon cœur dans le silence des mots, comme la transparence des images enfouis dans l’abîme des ténèbres et je me sentirais libre comme l’oiseau en fait son nid.

La senteur des arômes me seras en mon cœur, comme les couleurs que je respirerais me seront perçus dans l’application des mes sens que la vie a déposée en ce temple donc il en possède le secret.

Je serais libre de voler comme l’oiseau, tourbillonné comme le papillon, rapide comme l’éclair, je pourrais voyager d’une planète à l’autre car je ne porterais aucune résistance en ce monde que je puis comprendre.

Je me laisserais glisser, comme la feuille porté par la force de l’eau dans son courant ou aucune résistance me fera me retourner.

L’isolement et parfois compliqué, je me sens rejeter de mes habitudes.

Un vide ce crée de par lui-même, je n’attire aucune attitude, j’en ressens le son de la vie dans ce silence, combler de toute chose que je détermine nécessaire a la vie. Soulever dans l’espace et maintenue par je ne c’est quoi encore, je traverse un temps sans limite ouvrant mes yeux, aucune images me distingue d’une réalité.

Je suis dans la vie elle-même, m’élevant aux grés de son sens, rien ne me possédant comme rien je ne possède, le sentiment d’aucune appartenance en ce lieu que je ne peux définir.

Suis-je dans une réalité, en ce monde remplis de mémoire? Qu’es-ce le mot réalité ? Es ce le fait de voir, toucher, comme les arbres, les fleurs, les animaux, les hommes, tous ce qui nous entour sur cette terre en dehors de toute création de l’homme.

Cela peut être une réalité mai est telle durable ou éphémère peut importe elle est la réalité de ce présent qui par l’œil de l’attention, qui en élève ma conscience.

La mémoire est elle une réalité? Est tel le fruit de notre propre esprit, de notre propre conscience ?

Approfondir chaque mots dans le sens qui lui est dessiner me mène a regarder en ce moment présent comme en descendre d’un escalier ou a chaque pallier ce trouvant un autre mot comme éplucher un oignons, descendre au plus profond de la chose et en découvrir le sens réel du premier mot comme une purification de soit au plus profond de la réelle existence, qui me mène aux racines de la création.

L’abondance de mon existence ce nome point au terre gelée, elle ne peut voir le jour au milieu du brasier de l’illusion .je ne peut sortir au devant des peuples et leur dire que la vérité et marquer dans le ciel qui et au-dessus de nous, car ils ne pourraient jamais croire a ce qu’ils ne peuvent voir.

Il est existant dans tous les cœurs mais seule le mort qui vient de naître, comme une nova, pourras lire dans ce ciel son message qui le guideras sur le sentier douloureux au bien fait de la foi.

Aucune règle en n’est tracer seule l’évidence de sa propre application de création.

La douleur de ce sentier n’est plus ou moin le nettoyage de votre conditionnement d’une pure fiction créé par l’esprit commun de l’homme depuis tous temps avec ces croyances, ces attachements, la pensée de la mémoire ou toute chose aux yeux de l’homme est étiqueté comme un veau qui vient de naître. Et vous le serait bientôt encore plus.

Vous serais bagué comme des bêtes, car ils vous injecteront sous la peau votre petite puce pour vous identifiés et encore mieux vous contrôler.

Ouvrais les yeux vous qui êtes aveugle, écouter, vous qui êtes sourd.

Seul l’homme ange pourras échapper a ce châtiment car il sera que rien ne peut lui appartenir est réaliseras qu’il peut aussi bien que l’oiseau vivre sans ce demander ce qu’il sera demain, car aucune pensée ne pourras lui être une résistance, seul son attention lui donneras le sens de la vie qui lui permet de nourrir a chaque instant la foi qui est le fruit de l’homme depuis tout temps.

Je me suis construis sur l illusion de Lhomme dans l’incontournable programmation établie par lui-même.

Jais grandie dans le mensonge, l　‘artifice d’une construction mentalisé par les croyances de l’homme car il ne savait pas.

Tous ces composant ne son que la machine des loups pour en contrôler les agneaux depuis des temps. Tous ce qui m’entourais je le prenais comme une vérité, je me sentais mal en mon être.

C’est la que je ressentais et me disais a qu’il y avait autre chose de tous ce que je vivais.

Cela ne pouvait être la vérité, mai leur vérité que je ne pouvais encore m’en nourrir à perdre la vie ou je me sentais déjà mort.

Le ciel en n’est mon père comme la terre en n’est ma mère, je suis le fils né de cette chose donc j’appartiens, car je ne pourrais être, si elle ne serait.

Je ne pouvais croire que la vie en étais cela, quelque chose en moi m’appeler, je ressentais le contraire. Mai j’ignorais que la chose qui me parler en étais la vérité, la vrais, au cœur de cette source ou rien ne pouvais la changer.

Elle en née de nature et ne pourras jamais ce gommer, contrairement a la programmation de Lhomme qui ma étais infliger de toute part. Donc jais le pouvoir de ne plus accepter ce conditionnement quelle m’inflige, ce qui m’amènerais à être dans cette chose inépuisable de par sa nature qui en est L’amour habitant en mon être, car il en n’est l’essence de la vie.

Il en n’est mon identité depuis tout temps, sais bien pour cela que tout homme cherche dans son existence, car il ne vie pas sa réalité mai l’enfer des hommes, du pouvoir qui eux règnent dans les écoles avec des programmes déchu de toute amour, ou ils ont consciemment laissé aucun temps de cour pour l amour inconditionnel dans ces bâtiments.

Jai longtemps donner un sens d’illusion a ma vie au détriment d’une existence réel, ce que je voyais en étais le chemin à parcourir sur l’empreinte d’une tribu et je me perdais sans conscience à croire que les rêves, les buts en étais l’essentiel de l’homme.

Cela en étais leur conviction remplient de mensonges et de tromperie ou j habitais immerger de pensées ou le mal me ronger.

Je ne pouvais en l’absence de ma conscience m’élevé, reconnaitre cette vérité enfouie en mon être, derrière de multitude barrière dons j’ignorais.

Je cultiver a mon insu le sentiment dune raison comme remplir ma valise pour un voyage programmer ou je me construisais et m’éloigné de ma terre promise.

Le sang de la vie en étais présent, cela ce manifestais comme une bataille en mon cœur meurtrie et je ne réalisais point le sens que tout en étais un tourbillon dune condamnation éminente.

Le sentier parcourue de mon jeune âge en étais une escalade saignant mon corps, mon esprits à recouvrir le mal au sourire voiler d’un désespoir ou aucune porte je ne connaissais ni voyait !

La marche fut longue et douloureuse en ce voyage, je me sentais comme dans une toile d’araignée et les menottes aux pieds, je me croyais libre dans l’attachement du mensonge comme l’oublie de moi même!

Aucune vérité en ce monde ne pourrait aujourd’hui me donner la vraie!

Je me laisse porter par ce courant de la vie ou le silence règne et me mène sans aucune résistance de ma part dans l’endroit où rien ne peut m’épargner le couloir de la douleur à la rencontre de la solitude me donnant la raison de mon égarement.

Mai avec persévérance je m’éloigner dune illusion, j’en découvrais la vérité, la chose me parler et me donne la connaissance de la vie, au-delà de tout contact et doctrine !

Je me sentais comme un nouveau né en ce monde, que je ne voyais plus mai je vivais le monde du père, je ressentais le christ en mon cœur dans cette existence !

Jai réalisais que le courant des souffrances en ce monde des hommes, qui eux même en ont l’intelligence pour la cultiver!

Elle ma étais infliger de leur empreintes ou je sais maintenant quelles ne m’appartiennes en aucun cas mai je savais les subir comme si elle mettait destinais a ma propre création, mais après avoir parcourue un long chemin, je décline que toute ces souffrances ne font partis que du conditionnement de Lhomme mai pas de mon courant de vie !

Je ne jette aucune pierre a quiconque mai je me suis jeté a moi même cette pierre a renversé l’enfer pour le christ que je ressens en mon cœur !

Je reconnais aujourd’hui que toute souffrance subit en mon cœur en étais le programme de Lhomme avec le trais de la peur qui en n’est que l’illusion et une mauvaise image de la mort comme une méconnaissance de moi même!

Je me suis attacher a des principes, a des règles, a des conditionnements, a des peurs, des angoisses, des sentiments, des rêves, des hommes, des images, des choses, forment des croyances.

Tout cela me transporter au plus profond de mon abîme, je me sentais perdu, mai non!!! Je commencer a vivres seulement le jour où je ne me suis plus approprié tout cet attachement! Il est difficile pour cela, mai pas a pas, dans un espace pieds a terre, au ciel ouvert, ma libération de ma propre mort! Pour en vivre enfin et sentir la réalité de la chose qui en a crée cette beauté: de celui qui est.

　

La véritable raison de mon passé et que je ne lui donne plus aucun moyen de lui donner de l’importance et raison d’existence , je ne peut dire, qu’il a fait de ce que je suis aujourd’hui ,car si mon être réel étais la vérité de la manifestation aimante de l’univers , et que j’aurais étais élevé par des esprits purifiés non prisonnier du savoir et des pensés collective, j’en serais le fruits pure de l’évidence et je réagirais en fonction de la puissante énergie intelligente avançant sur la route de la connaissance créatrice . Dans une vie quotidienne au aucune règle et conditionnement me serais infliger, mai l’apprentissage du respect d’autrui dans l’amour, tous en marchant dans le courant de l’énergie, me laissant guider a chaque moment de mes journées, et me laisser conduire sur une route desserte ou la créativité serais permanente avec assurance, amour et légèreté. Ayant l’esprit libre, de mes gestes et d’actions, j’exprimerais la connaissance ou la créativité en serait le pur fruit de l’évidence. Sachant que le passé ne nous appartient pas, en aucun cas. Si ceux qui veulent croire cela, c’est leur droit, mes alors! Il ce créé une croyance ainsi il prenne le passé de leur ancêtre, mais non leur passé car nous avons grandi sur les traces déjà du passé, comment être soit et au présent dans un pareil cas?

Prenons le cas d’un enfant vivant dans une parfaite harmonie dans une attention constante et amour de leurs parents qui lui impliquerons le respect dans l’amour inconditionnel.

Cela vous mène dans un esprit spirituel au-delà du conditionnement et dans des fréquences supérieur, surprenante, dans la création de toute chose et de tous les jours pour cet enfant.

Et dans un autre cas un enfant grandissant dans une famille ou l’inquiétude , la colère , la peur , le stress, la violence verbal ou physique, tous c’est composant de la pure illusion du conditionnement ,cela ne peut que donner un enfant perturber ,car il est imprégner de ce qu’ont lui a donner , et de cela il en seras dans les basse fréquence .

L’homme ne peut s’ouvrir a lui-même dans un pareil cas, il reste en basse fréquence et ne peut voir ni entendre la véritable existence que sont âme appel à vivre. Mai rien n’est perdu, car un jour le vent se lève et nous pouvons ressentir le 360 degré. Suite a différents évènement nous pouvons tout un coup ce retrouver dans un monde inconnue, ou tout nous semble nouveau et bien différent, car notre regard a ce moment là et en relation direct avec se qui ce passe en nous et autour de nous, les yeux ouvrent au monde réel et nous entendons tous ce que nous ne pouvons entendre avant ce déluge. Nous décryptons toute pensée et action d’autrui sans spécialement le côtoyer, seulement pour certain par ces action médiatiser et d’autre par relation direct et savons ce qui prépare pour le monde sans que cela soit publier car nous avons le discernement des choses invisible aux yeux de tout homme encore dans les ténèbres.

Nous recevons par le mouvement des ondes, leurs pensées et paroles, cela et compliqué à expliquer comme difficile a croire. Mai toute chose ne peut s’expliquer car quand ont commence a expliqué l’homme ce mais à réfléchir et ce perd. La nature et là devant nous et nous ne la regardons pas, nous l’exploitons de façon économique avec la force de vouloir tout contrôler sans exception et nous la détruisons sans compter sans ce demander ce que nos enfants aurons et avec quoi ils vivront. Nos ancêtre du début du 19 siècle et aussi bien avant, cultivaient un savoir que quelque personne utilise aujourd’hui, mai il ce perd a grande vitesse pour avoir a ce replier sur de la nourriture contrôler et empoissonner. Les pouvoir tienne l’homme enchainer a double tour car il serait bien de regarder que vous avez aucun moyen de vous nourrir a part si le pouvoir le décide et quand leur heure seras venu de vous couper les vivres il ne ce gênerons pas, et ce moment n’est pas loin. Il serait peut être temps de regarder au-delà de ce qu’ils vous disent .et vous font croire, car il vous mène comme un vulgaire bétail, nous n’avons pas évolué, nous sommes resté sur les traces des ancêtres et toujours en prison prie dans la plus grande des toiles du monde.