« Je reconnais avoir commencé ma carrière médicale en croyant tout ce qu’on m’avait enseigné ; mes patients en ont payé le prix pendant de nombreuses années. » Dr R.S. MENDELSOHN, Pédiatre
VACCINS : L’avis d’un célèbre pédiatre,
Quand je suis devenu médecin, j’ai accepté tout ce qui m’avait été enseigné. Mais j’ai assez vite commencé à me poser des questions pour lesquelles la médecine conventionnelle n’avait aucune réponse. Je voulais absolument comprendre pourquoi les enfants faisaient de la fièvre, formaient du mucus, des maladies auto-immunes, des maladies chroniques inflammatoires. Comme la médecine classique ne pouvait fournir de réponses à mes questions, j’ai entamé des recherches dans la médecine chinoise, la médecine Ayurvédique, la chiropractie, la naturopathie, l’ostéopathie, la médecine par les plantes, l’homéopathie.
[…] Il m’a fallu 15 ans de pratique pour me rendre compte qu’il y avait du mercure dans certains vaccins, de l’aluminium et autres produits toxiques, que c’était un non sens de vacciner des gens qui ne couraient aucun risque de faire telle ou telle maladie.
Au cours de mes études de médecine on m’avait enseigné que les vaccins étaient efficaces, sans danger et qu’il n’y avait aucune raison de se poser des questions sur les vaccins parce que toutes les études nécessaires avaient été réalisées. J’ai un jour réalisé que la sécurité que je voulais pour les enfants, je ne pouvais l’obtenir, alors même que j’avais fait le serment d’Hippocrate « En tout premier lieu ne pas nuire ».
Mes nombreuses recherches m’ont finalement amené à comprendre qu
e les vaccins n’étaient pas aussi sûrs qu’on le prétendait. Le problème de l’injection de tous ces produits n’avait jamais été étudié à fond dans les différents groupes d’âge – en pédiatrie et chez les adultes.
Nous ne savons pas ce qu’il advient de ces produits une fois injectés. Nous ne savons pas s’ils se logent ou non dans le cerveau, dans le foie, dans les membres ; nous ne savons pas s’ils pénètrent dans telle ou telle cellule pour peut-être y détruire les mitochondries et les nucléi. Tout ce que nous savons, c’est que les vaccins peuvent produire des anticorps et que les maladies semblent disparaître.
Ma plus grande inquiétude est de pouvoir savoir combien de composants vaccinaux sont susceptibles de traverser la barrière hémato-encéphalique. Dans ce pays (USA), un enfant sur six présente des troubles neuro- développementaux. Comme les troubles neurodégénératifs chez les adultes montent en flèche, il nous faut savoir quels composants vaccinaux pénètrent dans le cerveau. Or nous n’en savons rien ; la chose n’a pas été étudiée. Quels sont les composants qui peuvent pénétrer dans le cerveau ? Aucun, aucun ! Nous devons savoir ce qui se passe dans les neurones du cerveau. Nous savons que la barrière hémato-encéphalique est là pour protéger le cerveau des produits qui pourraient circuler dans le sang.
Quantité d’études sont encore absolument nécessaires pour pouvoir évaluer pourquoi il y a aujourd’hui tant de maladies auto-immunes et tant de maladies neurodégénératives.
Nous ne cherchons vraiment pas à savoir si les effets secondaires ne s’avèrent pas être plus graves que la maladie que l’on tente d’éviter. En fait dans de nombreux cas, les effets secondaires des vaccins se sont avérés plus graves que la maladie que l’on tentait de prévenir.
Je ne me suis pas détourné des parents qui, l’un après l’autre – par douzaines, par centaines, puis par milliers me disaient que leur enfant avait toujours été en parfaite santé ; puis ils ont été vaccinés et leur santé a été ébranlée dans les jours, les semaines, les mois qui ont suivi.
Dans 100% des cas, le système médical traditionnel leur a dit que c’était une coïncidence, que les troubles n’avaient rien à voir avec le vaccin.
Récemment, le Dr Offit qui est un des plus grands partisans des vaccins a déclaré que 20.000 études confirmaient l’innocuité des vaccins. Pour l’idéologie qu’il professe et qui le soutient, on peut dire qu’il a raison ; il y a bien 20.000 études qui montrent l’efficacité et l’innocuité des vaccins. Mais pour nous permettre de creuser quelque peu, il nous faut savoir qui a soutenu ces études, quel en était l’objectif, de qui étaient composés les groupes de contrôle ? Quel était le nombre d’enfants et d’adultes qui faisaient partie de ces études ? Je pense que dans la plupart de ces études, la véritable sécurité des vaccins n’a jamais été prouvée.
On n’a jamais officiellement comparé des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés. Pour que nous puissions savoir si les enfants qui reçoivent les vaccins font ou non des complications, présentent des effets secondaires, il convient de comparer le groupe d’enfants qui reçoivent le vaccin à un autre groupe qui ne reçoit qu’une solution saline (mais sans le contenu du vaccin). Ces études n’ont jamais été réalisées. La raison invoquée par les officiels pour expliquer que ces études n’ont jamais été réalisées, c’est qu’ils considèrent qu’il ne serait pas éthique de priver les enfants de vaccin pour quelque période que ce soit. La plupart des études sur la sécurité et le suivi des vaccins s’étendent généralement sur une période de une à quatre semaines.
Pour vérifier si les vaccinés présentent davantage d’effets secondaires que la population générale, on compare les effets secondaires du groupe vacciné à ceux que l’on retrouve dans la population générale. Mais le fait est que la population générale est vaccinée. Donc on compare en fait un groupe vacciné à un groupe vacciné, on compare finalement le groupe à lui-même.
Un autre problème est que le suivi des enfants ne s’étend pas sur un temps suffisamment long. Que peut-il arriver après trois mois, six mois, trois ans, six ans ou 10 ans ? Aucune étude du genre n’a jamais été réalisée. C’est la raison pour laquelle je ne puis savoir si les vaccins sont sûrs ou non. On ne fait aucune recherche au niveau micromoléculaire. Des anticorps auto-immuns, des marqueurs inflammatoires ont-ils été produits? A quel endroit du corps ces marqueurs se sont-ils manifestés ? Sont-ils restés dans le corps ? Se sont-ils manifestés par des symptômes cliniques ?Aucune de ces recherches n’a été effectuée.
Pour moi, le métier de pédiatre est l’une des professions les plus altruistes qui soit. Les pédiatres aiment les enfants ; jamais ils ne pourraient volontairement vouloir faire le moindre mal aux enfants. L’idéologie qui veut que la vaccination soit la plus grande merveille des 19, 20ème et 21 ème siècles est fortement ancrée dans les esprits. Je comprends parfaitement que pour un médecin qui s’est totalement investi dans l’amour de sa pratique, dans les soins, dans l’amour des enfants, puisse faire marche arrière et se demander : « est-ce que dans ma pratique je pourrais faire du tort aux enfants ? »
Personnellement il m’a fallu des années pour que je puisse m’avouer : « je ne sais pas », « il est possible que je sois dans l’erreur », « il n’est pas impossible que j’aie accompli des actes dangereux ».
L’idéologie est à ce point ancrée, engrammée que les parents qui décident d’espacer les vaccins ou de ne pas les faire sont considérés comme des hérétiques qui veulent quitter l’Eglise, la Mosquée, la Synagogue. Ils sont en dehors du troupeau, en dehors du dogme et c’est là que cela devient dangereux. Quand les choses deviennent dogmatiques, elles n’ont plus rien à voir avec la Science. Il n’y a alors plus de place pour l’investigation, la curiosité, le doute, le désaccord. Il n’y a alors plus de place pour la véritable médecine; nous avons alors affaire à tout autre chose.
Ces croyants d’aujourd’hui sont les mêmes que ceux qui prétendaient que la terre était plate. C’est un réel et gros problème : la terre n’est pas plate et la Science évolue. Et elle évolue en fait pour nous montrer que les choses que nous pensions connaître ne sont plus valables.
Je pense que nous nous sommes écartés de notre rôle de médecins, de notre rôle d’enseignants que nous avons troqué pour une position paternaliste de domination, de coercition. « Où vous êtes avec nous ou vous êtes contre nous ! » Pas de milieu !
Je pense que de plus en plus de parents s’éveillent et disent : nous ne pouvons plus avoir confiance dans toutes vos affirmations ; nous sommes révulsés par votre autoritarisme. Nous vous saurions gré de faire preuve d’un peu plus d’humilité. Vous ne pouvez plus nous dire qu’il s’agit de coïncidences. Nous savons ce qui est arrivé à notre enfant, nos amis le savent, nos parents le savent. Nous savons tous que ces maladies auto-immunes, ces maladies chroniques inflammatoires, nous ne les avions pas avant ces vaccinations. Nous savons maintenant que vous n’écoutez pas.
Les personnes qui écoutent vraiment sont les parents. Il est nécessaire qu’il y ait de plus en plus de parents capables d’entamer le dialogue avec le législateur parce que le législateur ne fait que répéter comme un perroquet l’idéologie du jour parce qu’il n’a pas la formation scientifique des médecins ou la compréhension des parents. Le législateur ne fait que suivre l’avis des lobbyistes, de l’industrie, des organisations médicales et de tous les lobbyistes qui leur claironnent que les vaccins sont parfaitement sûrs et efficaces.
La création du dialogue incombe aux parents parce que les médias ne joueront pas leur rôle, vu qu’ils font eux-mêmes partie des lobbyistes qui doivent s’assurer que l’information ne puisse passer.
Les parents ont un besoin urgent de pouvoir collaborer avec des praticiens qu’ils respectent et qui respectent leurs opinions.
Interview réalisé par le Dr Mercola
http://mercola.fileburst.com/PDF/ExpertInterviewTranscripts/Interview-DrPalevsky.pdf
« La plus grande menace pour les enfants réside dans les efforts dangereux et inutiles qui sont faits pour éviter leurs maladies. »
Dr R.S. MENDELSOHN, Pédiatre, Professeur de pédiatrie
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