J’en suis venu à appeler ce moment dans ma vie, le point de passage, non pas parce que la vie se déroule de manière spectaculaire (ce qui est le cas), mais parce que l’énergie des sphères de dimensions plus élevées est de plus en plus ancrée ici sur terre, dès maintenant.

Il y a beaucoup de gens qui vous diront, qu’il n’existe pas de vie sur d’autres planètes. Je comprends à quel point ceci peut être effrayant. Nous voyons chacun nos rêves et désirs exaucés par les anges qui sont toujours prêts, mais dire que ces anges ont leurs propres chez eux, n’est pas quelque chose à quoi nous voulons penser.
Je ne comprends pas pourquoi c’est si difficile de se souvenir. La lumière en nous est un simple reflet de ce qui nous guide. Nous sommes aimés au-delà de notre compréhension humaine parce que nous sommes cela, une partie intégrante de l’intelligence universelle qui est extatique et électrique de par sa nature.

Le Dieu de tous est également la source de tout. Nous avançons à travers la grande époque de la transition, où nous reconnaissons que nous ne sommes pas seuls mais sommes aidés par de nombreux êtres de lumière et des peuples stellaires tout entiers, qui sont venus ici maintes fois pour semer des graines sur la planète.

Les races stellaires sont venues ici si souvent qu’ils sont devenus nous, et nous sommes devenus une partie d’eux. Bon nombre d’entre nous se remémorent des vies sur d’autres planètes, mais en ont supprimé les souvenirs. Ces souvenirs apparaissent dans notre conscience collective et sont présentés comme étant des rêveries, des films ou des mythes qu’on nous rejoue, afin que nous puissions prétendre que nous sommes surpris et ravis par ces fantasmes.
Les images de l’ère spatiale et les rêveries d’une autre époque et d’une autre vie sont arrivées et nous sommes arrivés au moment, où nous devons nous souvenir de qui nous sommes. Cela ne change pas la façon dont nous pensons, ou ce que nous ressentons sur le fait d’être humain, mais nous fournit juste un peu de recul ou de prospective sur ce qui était et sur ce qui arrivera ensuite.

Il y a eu de nombreuses fois dans l’histoire humaine où l’espèce a fait un grand bond déconnecté. Nous sommes sur le point d’entrer dans l’un de ces grands sauts où, après réflexion, nous réaliserons, que notre capacité à s’adapter à la montée des mers, à la raréfaction des atmosphères et au rapide changement de l’axe de rotation de la terre est une beauté naturelle et un émerveillement, alors qu’en fait, c’est une intervention du destin, un plan bien pensé pour sauver une espèce mourante.
Le changement de climat de l’amour sans condition arrive à grand pas, comme les enfants nés aujourd’hui se souviennent de leurs autres périodes de vie avec une grande précision. Ils arrivent avec des imaginations débridées et des cadeaux plus gros que jamais auparavant.

Nous sommes la génération de la lumière, qui doit éveiller les autres, puis simplement nous accorder le plaisir d’être guidés par une lumière intérieure qui est magnifique.
Nous nous sommes longtemps coupés de notre mode de conscience plus élevé de créer et avons cessé d’ajuster notre sensibilité aux étoiles. Maintenant, nous sommes à la grande époque du retour à nos racines. Nous sommes profondément à l’écoute de ce qui se trouve en nous. Nous sommes à l’écoute de l’orientation à travers la grille cosmique qui continue à nous fournir des volumes d’informations qui restent encore à décoder pleinement, et nous apprenons que nous ne sommes pas destinés à vivre cette vie tout seul, parce que nous sommes entourés par beaucoup d’aide et assistance inter dimensionnelle, alors que nous commençons à faire ce saut exponentiel en conscience.

La race humaine est profondément ancrée dans la compassion. La lumière en nous est câblée pour l’amour inconditionnel. Et la gratitude est ce qui fait croître ce sentiment vers un tout unifié de ce que cela signifie d’être vraiment humain. Quelle union dynamique de deux fréquences de lumière se joignant dans l’unicité. C’est ça l’évolution de la conscience mondiale à son plus haut point.
Dans la grâce
Carol Fitzpatrick

Texte d’origine http://stevebeckow.com/