D’être jugé. Et pour être plus précis, d’être jugé négativement. Depuis la naissance nous sommes jugés. D’abord par nos parents, chaque jour, en fonction de ce que nous disons et faisons, nous sommes un « bon enfant » ou un « mauvais enfant », nous leur faisons plaisir ou nous ne leur faisons pas plaisir. Puis cela devient ensuite la même chose à l’école, sommes-nous un bon élève conciliant (qui fait donc plaisir aux professeurs) ou un mauvais élève turbulent (qui pose donc problème à son entourage). Dès notre plus jeune âge nous comprenons donc que nous devons sans cesse nous adapter aux autres pour qu’ils nous acceptent et qu’ils soient contents, quitte à nous dire non à nous-mêmes.
Au bureau, nous sourions à notre patron même si nous ne pouvons pas le supporter intérieurement, pour qu’il nous aime et qu’il nous garde dans sa société. Nous faisons semblant que tout va bien à la maison, alors qu’intérieurement nous avons envie d’exploser, pour que notre conjoint continue de nous aimer, pour que nos enfants soient bien. Entre amis, nous ne disons pas ce que nous pensons de tel ou tel sujet, par peur de la moquerie, même quand pourtant cela touche nos profondes convictions et valeurs intérieures. Nous restons muets sur des sujets vitaux pour le bien du monde ou tout simplement pour notre propre bien-être, pour cette simple menace de « jugement » de l’autre, comme si, finalement, « l’autre », avait toujours plus d’importance que nous-mêmes.
C’est « l’autre » qui dicte notre vie. Il faut que « l’autre » soit content, il ne faut pas déranger « l’autre ». « L’autre a dit que ce n’était pas bien de dire cela ou de penser cela alors je me tais. « L’autre » n’aime pas quand je fais cela alors j’arrête de le faire. « L’autre » se sent mal quand j’ose être qui je suis alors j’arrête d’être qui je suis. Je perd « l’autre » quand je fais ce que j’aime alors je préfère arrêter de faire ce que j’aime pour garder « l’autre ». « L’autre » va me faire un commentaire si je fais cela alors je préfère même ne pas commencer à le faire. « L’autre » est heureux quand je ne dis rien, quand je ne fais rien, car « l’autre » n’est ainsi pas remis en question, et c’est cela que je n’ai pas encore réussi à comprendre…
Nous sommes bientôt 7 milliards d’humains sur cette planète. « Les autres » représentent donc 6 999 999 999. Maintenant réalisez bien, est-ce réellement possible de faire plaisir à 6 999 999 999 de personnes ?
C’est mathématiquement impossible. Vous serez morts avant même d’avoir réussi à faire plaisir à ne serait-ce que 10 personnes en même temps. Alors, pourquoi même essayer ? Faîtes le test, portez une robe rouge par exemple un jour, et demandez à 10 personnes ce qu’elles en pensent. Pas une seule personne n’en pensera la même chose. Certains trouveront cela génial, d’autres diront que c’est trop voyant, d’autres diront que ce n’est pas approprié, d’autres diront que vous êtes extraordinaire pour oser porter une telle robe, d’autres diront que vous êtes une personne horrible et que ce n’est pas respecter la femme que de porter une telle robe, et d’autres diront qu’au contraire vous honorez la femme en portant une telle merveille. Il y aura toujours autant d’avis qu’il y aura de personnes.
En essayant de vivre pour plaire aux autres et faire ce qu’ILS aiment, nous sommes « ce qui nous aime ». Par exemple, admettons que vous êtes une jeune femme blonde, plutôt jolie. Si vous êtes « ce qui vous aime », vous devenez alors la représentation de ce que vous pensez qu’une jeune femme blonde doit être et penser, pour être aimée. Vous faites et reproduisez ce qui plait, en fonction de ce que vous avez vu depuis toute petite, dans votre famille, dans la rue, dans vos amis, à la télé. Vous devenez finalement une marionette, tenue par « ce qui vous aime ». Ainsi, pour ne pas perdre cet « amour » (ou plutôt cette promesse d’amour, car c’est souvent un amour très superficiel puisqu’il est conditionnel en fonction de ce que vous faîtes et non qui vous êtes réellement), vous resterez à vie coincée dans cette image que vous devez maintenant tenir, de ce qu’une blonde doit être, de ce que les autres aiment des blondes, de ce regard que les autres auront sur vous, de ce que vous estimez devoir être, calqué sur leur appréciation ou non.
Vous êtes « ce qui vous aime ».
Maintenant, admettons que vous soyez une jeune femme blonde jolie mais qui souhaite être dans l’armée, car c’est ce que vous aimez. Ou alors, vous souhaitez devenir motarde, ou banquière, car c’est ce que vous aimez (je donne exprès des clichés de choses que l’on a pas l’habitude de voir justement car il est difficile pour la plupart des gens de sortir des cases habituelles, pour illustrer mes propos). Vous voulez être « ce que vous aimez » et non « ce qui vous aime ». Mais là vous réalisez à quel point c’est difficile car ce n’est pas ce que les gens attendent de vous. Si vous êtes une jeune femme blonde dans la finance, vous vous ferez sans cesse critiquer, montrer du doigt, on vous embêtera, on vous jugera. Pareil si vous vous lancez dans des actions humanitaires, on remettra en question votre réel objectif, on vous dira que vous faites cela pour attirer l’attention sur vous, ou que « vous utilisez votre physique » pour faire ça. Beaucoup préfèreront donc rester « ce qui les aime » et ainsi ne pas avoir à affronter tout cela. La plupart d’entre nous ne sommes pas bêtes. Nous savons déjà bien avance ce que les autres pensent ou penseront de nous. La différence réside donc dans la décision suivante : être ou ne pas être qui nous voulons être ?
Les gens attendent de vous que vous soyez comme ils aiment eux, non pas comme vous aimez vous. Alors, en faisant ce que vous aimez vous, vous courez le risque du rejet, de la moquerie, du manque d’amour, et ça, c’est très douloureux pour l’être humain, surtout celui qui en aura manqué depuis son enfance et qui cherchera toute sa vie à le combler.
C’est la même chose pour un homme par exemple qui serait banquier mais au fond qui rêverait de dessiner des robes de prêt à porter. Les gens aiment que ce soit un financier, sérieux, ils le connaissent comme ça, et c’est ce qu’ils veulent voir de lui. Mais lui au fond, il veut dessiner des robes, c’est ce qui lui remplit le coeur. Il n’est donc pas « ce qu’IL aime », il est « ce qui l’aime ». Il est ce que les autres veulent de lui.
Je crois profondément que c’est une des choses les plus difficiles qui existe durant notre incarnation sur Terre, que de devoir apprendre à se détacher du regard des autres. D’un côté, on nous dit et nous comprenons que nous ne faisons qu’un, et nous sentons justement cette connexion entre les humains, la Terre, les Animaux, mais de l’autre, la réalité ne reflète pas toujours cela et tout humain ne veut pas encore le bien de l’autre. Beaucoup d’humains n’ont pas encore compris justement que nous sommes tous connectés et liés, et que le bonheur des uns devrait faire le bonheur des autres.
La plupart des humains ne sont pas en harmonie avec eux-mêmes, et n’ont pas conscience qu’ils créent leur réalité, à chaque instant, avec chacune de leurs pensées, chacune de leurs paroles, et chacun de leurs actes. Ils cherchent donc toujours à contrôler ce qui se passe à l’extérieur plutôt qu’à l’intérieur. Ils cherchent à ce que les autres se comportent de telle ou telle manière ou changent, plutôt que d’avoir à changer eux-mêmes ou simplement d’avoir à se remettre en question. Ils passent leur vie à imposer aux autres ce qu’ils voudraient qu’ils soient, à donner leur avis, sur tout et sur rien, à dire que les choses devraient plutôt être comme ci que comme ça. Ils vont commenter sur Facebook ou sur internet, que telle personne ne devrait pas faire ça, montrer ça, dire ça, penser ça. « Moi je pense que tu ne devrais pas être comme ça, te coiffer comme ça, t’habiller comme ça, dire ces choses là, penser de cette manière, tu devrais plutôt faire ça, tu devrais plutôt être comme ça, faire moins ça, faire plus ça, etc etc… ». Comme si ce qu’ils pensaient finalement étaient la vérité absolue, et non simplement leur propre projection, leur propre analyse accomplie simplement avec les « moyens » qu’ils ont pour comprendre.
Beaucoup d’humains ont toujours besoin de juger (de préférence négativement). C’est instantané, il faut qu’ils donnent leur avis, de préférence sans avoir pris le temps de vraiment réfléchir à ce qu’ils disent ou sont sur le point de dire, est-ce que c’est vraiment justifié, est-ce que cela ne va pas blesser la personne, est-ce que c’est réel ou une simple projection de ma part ? Est ce que je suis réellement au courant du « plus grand schéma », du « plus grand plan », que cette personne est en train de réaliser (autrement dit, sa mission de vie ?). Qui suis-je pour me permettre de venir juger un centième de cette mission de vie, une si petite parcelle de son être, parce qu’elle fait écho en moi et que justement c’est une indication que c’est sur cette parcelle de moi que je dois travailler ?
Par exemple, parfois je reçois des messages de femmes me disant que « je poste trop de photos de moi ». Systématiquement, quand je regarde le profil de ces personnes, ce sont des personnes qui n’ont même pas de photo de profil d’elles-mêmes. Il s’agit de leur chien, de leur bébé, ou d’un quelconque paysage ou dessin. Il est donc normal pour ces personnes, qui sont dans le rejet de leur propre individualité (et qui souvent tenteront de faire croire aux autres que c’est par humilité et non parce qu’elles ne s’aiment pas), que chaque personne reflétant l’inverse de ce qu’elles sont, soit un miroir puissant et provoque en elles un rejet. Pour d’autres personnes, mes photos sont à l’inverse très inspirantes et leur donnent des « ailes ». Beaucoup de gens m’écrivent pour me dire que cela leur donne envie d’être eux aussi eux-même. Alors, positif ou négatif ? J’ai compris que ces rejets ou ces jugements n’ont jamais rien à voir avec moi, mais toujours à voir avec la personne qui les émet. Cela ne m’est jamais arrivé de recevoir un commentaire négatif d’une autre femme publique sur internet, qui mette des photos d’elle et ose exprimer son individualité, bien dans sa peau, dans le but d’inspirer les autres. Cela est tout bonnement impossible. Rares sont les personnes qui sont capables de comprendre ce qu’elles n’ont jamais vécu.
La plupart des gens ont besoin de « vivre les choses » pour les comprendre. Tant que cela ne leur arrive pas à eux, ils sont incapables de se mettre à la place des autres. Avec l’explosion d’internet on le voit bien. Chaque blog, chaîne Youtube, Page Facebook doit faire face aux remarques négatives et attaques en tout genre, souvent gratuitement méchantes. Même un innocent enfant qui joue du piano sur Youtube se verra insulté. Même une petite fille de 6 ans qui danse sera critiquée. Mais jamais ceux qui commentent ne se demandent « et si c’était à moi que l’on disait cela, comment je me sentirai ? ». Ils sont trop préoccupés à expulser leur jalousie, leur frustration ou même leur haine. Alors, si nous espérons, en disant haut et fort notre vérité et en nous exposant, physiquement, passer outre, c’est utopique.
Et c’est la même chose dans la « vraie » vie. Chaque personne que nous croisons émet un jugement sur nous, et nous faisons de même avec les autres. Nous jugeons la caissière du supermarché, nous jugeons le serveur du restaurant, nous jugeons notre patron sans connaître réellement sa vie, son enfance, ses difficultés. Mais que connaissons-nous de « leur plus grand schéma » ? de « leur plus grand plan ? », autrement dit, leur mission de vie, ce qu’ils sont venus expérimenter ici ? vivre comme expériences et apprendre, voire enseigner ?
Quand nous disons à quelqu’un « tu es trop ci, ou trop ça », ou « pas assez ci ou pas assez ça »; c’est « trop » ou « pas assez » par rapport à quoi ? Quel est le point de comparaison ? Est-ce par rapport à ce que cette personne a à réaliser sur Terre ? Non… c’est toujours par rapport à ce que NOUS nous acceptons, nous souhaitons, nous pouvons concevoir… c’est uniquement par rapport à nous que nous jugeons.
Alors, vous avez maintenant la clef pour vous libérer du jugement des autres. Chaque fois que quelqu’un vous juge, vous savez maintenant que cela en dit plus sur la personne que sur vous-même, car vous, vous savez qui vous êtes. Un jugement émis à votre égard vous en dit long sur le niveau de conscience de celui qui émet ce jugement. Il vous en dit long sur ses capacités d’empathie ou non, de compréhension, de capacités à voir la beauté en l’autre, à soutenir, à encourager ou non les autres, sur son niveau d’éveil spirituel aussi.
Cela ne veut pas dire qu’aucune « critique » ne soit constructive, mais ce n’est pas vraiment le sujet de cet article, nous parlons véritablement là du fait d’arriver à se détacher du regard des autres et de devenir libres d’être qui nous voulons être, d’être « ce que nous aimons » et non « ce qui nous aime ». Nous savons de toute façon faire la différence entre les critiques constructives et celles qui relèvent du pur jugement et de la propre projection de l’autre. Par ailleurs, comment séparer les critiques « à prendre en compte » et celles à zapper ? Nous ne pouvons prendre en compte que les critiques qui sont émises par les personnes qui sont au même niveau que nous, ou supérieur. Qui font les mêmes choses que nous. Qui ont traversé les mêmes choses que nous. Par exemple, en ce qui me concerne, je ne peux prendre en compte l’avis de quelqu’un qui ne se sera jamais exposé publiquement. Qui n’a jamais posté de photo de lui sur internet. Qui n’a jamais posté un article de lui sur internet. Qui n’a jamais fait de vidéo de lui publiquement. Quel avis constructif pourrait me donner cette personne ? Une simple projection, puisqu’il ne sait pas ce que c’est que de faire ce que je fais et d’être qui je suis (et bien souvent ne font même pas l’effort d’essayer de le comprendre). Par contre, si un grand auteur, ou une autre personnalité publique me donne des conseils (oui car une personne qui cherche à faire une critique constructive apporte plus ses éléments en terme de « conseils » et non avec des attaques gratuitement méchantes), là au contraire je serai toute ouïe.
Se détacher du regard des autres ne veut pas non plus dire s’en foutre totalement de la manière dont nous faisons se sentir les autres; Il y a simplement des choses qui incombent de notre responsabilité, et d’autres non. Par exemple, si je sors dans la rue et que j’insulte les passants, oui là je suis responsable de ce que je fais (bien que eux aussi aient leur propre responsabilité à gérer leurs propres émotions en retour). Par contre, si je suis dans la rue et que je porte une robe violette et que les passants n’aiment pas ma robe violette, ce n’est pas ma responsabilité. Si je crée un blog sur les hélicoptères et que certaines personnes n’aiment pas les hélicoptères, je ne suis pas responsable. Je ne vais pas fermer mon blog pour que les personnes qui n’aiment pas les hélicoptères soient heureuses, alors que moi, ce sont les hélicoptères qui me rendent heureuse. Vous comprenez ?
Encore une fois, les personnes qui font des commentaires sur les choix et la vie des autres sont des personnes qui n’ont pas conscience de leur propre pouvoir de création, et qui ne sont pas en alignement avec elles-mêmes. Est-il possible d’être profondément heureux avec qui nous sommes et d’aimer profondément la vie et les autres, et d’aller volontairement sur une page mettre un commentaire négatif ? Si comme moi, cela ne vous est jamais arrivé d’aller mettre un commentaire négatif sur un site ou la page de quelqu’un (ou même de le faire gratuitement dans la vraie vie), essayez de vous imaginer dans quel état il faudrait que vous soyez pour avoir « envie » ou le besoin de le faire. Il faudrait vraiment être déconnecté de son coeur, être dans la frustration, le sentiment d’impuissance, la colère, la haine, la jalousie, la tristesse, la rancoeur. Il est impossible d’écrire un commentaire négatif tout en étant dans une vibration élevée. C’est techniquement impossible au niveau des lois de l’univers.
La prochaine fois que vous serez jugés ou attaqués, ne voyez donc pas l’autre comme le « méchant », mais plutôt comme la victime, car cette personne, comme nous venons de le voir, est forcément dans une vibration négative. C’est souvent donc même un appel à l’aide qu’elle envoie, sans même en être consciente.
Dans votre entourage, c’est la même chose. Vous serez toujours critiqués sur les choses que les autres envient, au fond d’eux-mêmes, d’avoir le courage de faire ou d’être. Même sous un profond sarcasme ou une profonde méchanceté apparente, se cache un « enfant » blessé qui souhaiterait avoir ou être quelque chose qu’il n’a / n’est pas.
Pour finir, certains diront peut-être « Oui mais faire ce que nous aimons, c’est justement ça le problème ! Certaines personnes aiment tuer les animaux et faire des guerres ! et cela ne veut pas dire que c’est bien ! ».
En effet, il est très important de clarifier ce point. Quand je parle du fait d’être « ce que nous aimons », je parle de la vraie joie du coeur. Comme mon exemple de banquier qui souhaite du plus profond de son coeur dessiner des robes. Comme cette femme qui rêverait d’écrire un blog sur son expérience de mort imminente mais qui a peur du regard des autres. Comme ce jeune homme qui souhaiterait ouvrir un refuge pour animaux mais qui a peur que ses amis se moquent de lui. Je ne parle pas de nos « faux » désirs, qui ne sont en fait que le reflet de nos manques (désir de pouvoir car sentiment d’impuissance, désir d’être connu car manque d’attention, désir d’être riche pour le regard des autres), je parle de la vraie joie, qui vient de nos tripes, de notre système de guidance interne, c’est à dire de nos émotions, et donc de notre âme.
Si ma plus profonde joie est de faire de jolies photos en robe de princesse, de me faire des tatouages sur tout le corps, de sauter en parachute, d’adopter 10 chiens, de partir faire le tour du monde, alors, je me DOIS de l’écouter. Car à travers notre plus grande joie, c’est notre âme qui nous parle et qui nous guide. Aucune personne extérieure ne peut savoir ni ne peut comprendre ce que notre âme est venue expérimenter. Nous seuls pouvont le ressentir. Et je dis bien ressentir, car cela ne peut être le mental qui nous donnera réponse à cela, mais uniquement notre coeur, organisme conscient à part entière, auquel nous pouvons nous adresser.
Devenez meilleurs amis avec votre coeur, et gardez en permanence l’alignement avec qui vous êtes réellement et avec votre âme. Comprenez que les jugements des autres ne sont que des reflets de leurs propres croyances et bien souvent de leurs propres limitations. Ayez donc de la compassion pour eux (dans la mesure du possible, sans pouvoir autant devenir une serpillère et vous laisser faire). Concentrez-vous sur votre joie, car encore une fois, c’est ainsi que votre âme vous guide. Et chaque fois que vous serez à nouveau tentés de ne pas faire quelque chose pour le regard des autres, demandez vous absolument : » Regretterais-je de ne pas avoir fait cette chose dans 10 ans » ? Imaginez-vous plus tard, et ressentez le regret de ne pas avoir fait telle ou telle chose, JUSTE pour le regard des autres, juste pour que quelqu’un n’ouvre pas sa bouche pour vous dire ce qu’il en pense de négatif. Ca fait très froid dans le dos. Qu’y-a-t-il de pire que de ne pas pouvoir retourner en arrière et d’avoir sacrifié sa vie pour les autres ?
Soyez vous-même, 100% vous-même, exprimez vos plus profonds désirs, vos plus profondes joies, vos plus belles couleurs, votre plus belle créativité, vos plus belles idées, et brillez du maximum que vous pouvez. Que votre lumière nourrisse l’ensemble de l’humanité au lieu de sommeiller en vous à cause de ceux qui n’auront pas encore compris l’existence de leur propre lumière…
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