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Parce que le ‘moi blessé’ en vous les attire.
Je sais que cette expression peut vous sembler exagérée, mais laissez-moi vous expliquer.
Nous avons tous, deux côtés: le « petit moi » (ou le moi blessé, l'égo) et le « moi spirituel » (le moi supérieur, l'âme, le côté réfléchi, adulte).
Le Moi blessé est la partie en vous, qui se sent incomplète. Il s’interroge sur votre valeur et votre importance ; il ne se sent pas entier, ou il se sent en quelque sorte imparfait. Mon moi blessé est le «petit moi», qui se demande si je mérite d’être aimé.
De l’autre côté, nous avons le Moi Spirituel. C’est votre soi supérieur, votre âme. C'est la partie en vous qui est liée à l'amour, la vérité, la sagesse et la paix intérieure. Votre Moi Spirituel sait, sans aucun doute, à quel point vous êtes aimable et précieux. À bien des égards, c'est le contraire de l'égo.
À un moment donné, nous fonctionnons à partir de l’un de ces deux soi. Beaucoup d'entre nous, malheureusement, fonctionnent, la plupart du temps, du point de vue de l'égo. Ce qui revient à se croire insignifiant et impuissant d'une certaine façon, ce qui nous incite à chercher à combler ce manque.
L'égo se tourne vers l'extérieur pour trouver la validation de sa valeur. Il croit que s’il en obtient d’avantage (de l'argent, un meilleur partenaire, un meilleur emploi, une plus grande maison, plus de vacances, etc.), il sera enfin heureux.
Mais il n'en devient pas vraiment heureux. Du moins, pas pour longtemps. Parce que le principe même de l'égo, c'est de se sentir incomplet. Par conséquent, lorsque vous vivez à travers le point de vue de votre égo, vous êtes condamné à toujours croire que quelque chose vous manque. La vie à travers le filtre de l’égo, n’est pas très amusante.
L'égo se met grandement en action, quand il s'agit de relations amoureuses. C'est au sein de ce genre de rapport, que les blessures sont les plus grandes.
Nous avons tous été déçus ou blessés par une relation dans le passé ; nous portons la mémoire de cette blessure à l’âge adulte (parfois inconsciemment). Si une blessure d'enfance est toujours active en vous, nous attirons les gens qui vont mettre en évidence le même sentiment. Par exemple, si votre blessure est centrée autour d’un sentiment de rejet ou d’invisibilité, il est probable que vous ressentiez la même chose dans vos relations à l’âge adulte.
Nous sommes attirés par ceux qui ne sont pas bien pour nous
La raison ? C'est de cette manière que vous grandirez.
C'est la partie frustrante du processus de croissance ! Mais pensez-y de cette façon : vous rejouez vos blessures, pour que vous puissiez enfin les guérir. Nous ne pouvons pas guérir, ce que nous ne ressentons pas. Nous ne pouvons pas guérir, de ce dont nous ne sommes pas conscients ! Le sentiment d'inconfort doit revenir à la surface pour que vous puissiez le dépasser.
En identifiant votre Moi supérieur.
Souvenez-vous, votre Moi supérieur est la partie en vous, qui connaît la vérité sur vous. Il sait que vous êtes digne, étonnant, capable, et puissant. À travers le point de vue du Moi supérieur, vous êtes entier. Bien-sûr, vous êtes un être humain imparfait avec des défauts, mais vous êtes avant tout une âme.
Vous êtes beau.
Vous êtes une personne importante.
Vous êtes spécial.
Vous êtes amour.
C’est ce que le Moi supérieur sait sur vous, et il veut que vous le sachiez aussi.
En vous réconciliant avec l'amour en vous, votre compulsion à rejouer vos blessures avec d'autres personnes, se dissipera et dans certains cas disparaîtra.
Vous réaliserez alors que les «mauvaises» personnes que vous fréquentiez, ont été des guides pour vous mettre dans le bon état d’esprit. Un état d’esprit qui vous accorde de la valeur et de l’importance. Malheureusement, rien ne nous encourage plus à grandir qu'un cœur brisé.
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Source Shelly Bullard via Eddenya et Esprits Science Metaphysiques
Commentaires bienvenus
c'est notre cerveau archaïque qui est programmé pour assurer notre survie.mais voilà, celui ci ne se réfère qu'à ce que l'on a déjà expérimenté car il est linéaire,il ne connait pas d'autre situations que celles que vous avez déjà vécu pour vous venir en aide, si bien que lorsqu'on rencontre quelqu'un de bien, il fera tout pour vous en séparer car il se méfie de cette nouvelle rencontre, se disant que le terrain est peut être miné puisque inconnu si bien qu'il fera tout pour vous faire refaire une rencontre identique à celle qui vous a rendu malheureux se disant qu'au moins vous y êtes habitué et donc vous en souffrirez moins. c'est illogique mais cette partie du cerveau ne l'est pas.il faut s'adresser à la partie du cerveau logique, mais les autres parties s'en mêlent aussi notamment celle des émotions. c'est pour cela que l'on dit souvent" le cœur a ses raisons que la raison ne connait pas" ou alors" lorsque le cœur résonne, la tête ne raisonne plus".tout cela est inconscient bien sûr et sans aller jusqu'à pratiquer de longues séances de méditations (ce qui est bien je n'en doute pas) ou de longues séances de psychothérapie,il y a maintenant de nouvelles méthodes de libérations émotionnelles comme l'EFT ou ho'oponopono très efficaces mais superficielles . il faut donc les répéter chaque fois que vous êtes pris dans la tourmente ce qui n'est pas évident.il faut donc aller au fond des choses rapidement pour endiguer les traumatismes inconscients qui se répètent dans votre vie.
je suis praticienne en psycho énergie et mon travail consiste en la libération rapide et définitive des traumatismes inconscients.
ceci dit, ne vous en voulez pas plus que cela, au contraire pardonnez vous et aimez vous mais ne restez pas dans cet état. il y a peu d'investissement dans ma méthode comparée au longues séances des autres thérapies.gratitude et portez vous bien
Que nous en soyons conscients ou non, enfants, nous nous sommes (aussi) sentis traités d’une façon qui a constitué notre blessure principale (abandon, dévalorisation, maltraitance, rejet ou trahison). Cela reste aujourd’hui la façon dont nous nous sentons souvent traités, dont nous avons peur d’être traités, dont nous vivons évidemment très mal d’être traités, dont il nous arrive donc encore d’être traités (par les soi-disant « mauvaises personnes ») et, réalité tellement plus importante et en général complètement insoupçonnée, voire niée, dont nous continuons de nous traiter nous-mêmes.
Comme effet à ce conditionnement, nous sommes positionnés dans l’existence de sorte à tenter de démentir les conclusions erronées tirées des expériences vécues. « Puisqu’on m’a traité ainsi ou puisque je me suis senti traité ainsi, c’est vraiment que je suis … (mauvais, méchant, dérangeant, indigne, incapable…). Inconsciemment et à tort, nous croyons être ce qui mérite d’avoir été traité comme nous l’avons été ou cru l’être. Il reste que c’est insupportable et qu’il faut en effet le démentir. Auprès de qui allons-nous pouvoir tenter ce démenti ? Certainement pas auprès de personnes qui nous apprécient, qui nous respectent, qui nous aiment ! Il faut donc en quelque sorte s’adresser à ces « mauvaises personnes », trouver celles (pour le dire autrement) avec qui nous allons tenter de régler des comptes.
Que se passe-t-il si nous voyons cela aujourd’hui, si nous le voyons sans le juger, sans rien en penser, sans même rien en attendre ? Qu’est-ce qui le voit ? Ordinairement, il n’y a que la personne ou le personnage qui subit tout le truc, soit en s’y résignant, soit en le déplorant d’une manière ou d’une autre. Or, cela peut aussi être simplement vu, enfin reconnu ou reconnu comme jamais jusque-là ? Oui, que se passe-t-il alors ? Eh bien, c’est mettre fin à la résistance et ce à quoi l’on ne résiste plus ne persiste plus. C’est ce qui arrive quand l’identification à la personne blessée fait place à la seule conscience à la fois de l’identification et de la personne elle-même. Sommes-nous la personne, l’histoire (passée) ou sommes-nous la conscience ? La conscience que nous sommes n’est blessée par rien. Elle est amour et l’amour guérit. Maintenant, le voulons-nous ou tenons-nous encore à réagir sans même voir que nous le faisons ?
Oui, un travail sur soi prend toute une vie et même plus, mais que de bien-être au fil des années...Les personnes qui font partie de notre vie sont le reflet de nous-mêmes et je l'ai assez testé pour vous dire que c'est vrai. Ce sont nos miroirs et si on veut que cela change, on doit changer soi-même.
Aux sceptiques : je ne rencontrais que des personnes(homme et femme) menteuses, médisantes, jalouses, de mauvaise foi...... et lorsque j'ai commencé à vouloir comprendre le pourquoi de cet environnement hyper négatif, je me suis rendu-compte que j'étais ainsi....Et je m'en suis guérie (surtout de la jalousie). Cela a pris quelques années, mais comme je l'écrivais plus haut : avec une sérénité grandissante.
Dans mon entourage proche, les personnes sont maintenant ainsi. Et si on "applique" les préceptes du bouddhisme, toutes nos expériences sont là pour nous faire grandir, d'où une certaine récurrence pour les personnes qui ne comprennent pas pourquoi elles vivent toujours la même chose, font les mêmes rencontres négatives : Cela arrive pour être "corrigé" et diffuser des ondes positives....
Récupérez l'amour en vous........tout est dit
Merci Ambroise
Il semble que durant une première phase variable de la vie, les "mauvais rôles" aident à équilibrer le karma, à compléter la mission humaine sur Terre qui serait de sentir à travers les sens et le corps les confins de la lumière et de l'amour. Là où il y a cocktail avec ce qui n'est plus lumière ni amour. Ensuite il semble que les "mauvais rôles" deviennent "anges de guérison" en nous avertissant par leur attitude que la mission est accomplie et en faisant émerger les "croyances obsolètes" sur nous et le monde à guérir . Chacun de nous serait aussi "mauvais rôle" ou "ange de guérison" sans le savoir.
Donc on ne rencontre que des bonnes personnes, parfaites pour nous!
Belle journée
Anne-Sophie
Bonjour,
Les autres sont les livreurs de notre prarabdha karma.
Quelle différence entre la conscience de rêve et la conscience de veille? dans l'une, les objets sont créés par nous, dans l'autre, ils sont empruntés par nous, mais nous sommes toujours à la source du scénario...
Une rêverie sur le sujet au bout du lien www.agamipono.com
J'ai toujours attiré par les mauvaises personnes en amour, en ai beaucoup souffert. Encore aujourd'hui je dois me battre contre cette attirance alors que je suis consciente que la personne ne m'apportera pas de bien. C'est une souffrance. En même temps je suis passée par la dépression (grave) il y a quelques années maintenant à cause d'une mauvaise personne, pour me poser cette question, "pourquoi" ? La réponse: ces mauvaises personnes sentent nos faiblesses et savent s'en servir. Mais ces personnes nous apprennent à nous désaimer et nous détruisent, pas l'inverse, et la reconstruction est longue.
Quand vous parlez du MOI SUPERIEUR je me connais très bien, et pourtant... ou justement! Alors encore une fois POURQUOI? L'amour en moi, je sais qu'il est là, point besoin d'aller le chercher, je le ressens!
PS: Vous dites:
"Vous réaliserez alors que les «mauvaises» personnes que vous fréquentiez, ont été des guides pour vous mettre dans le bon état d’esprit. Un état d’esprit qui vous accorde de la valeur et de l’importance. Malheureusement, rien ne nous encourage plus à grandir qu'un cœur brisé." C'est surprenant comme contradiction!
Je finis par croire, à la manière des shivaïstes, que ce discours que l'on retrouve en particulier chez les bouddhistes, nous égare plus qu'il ne nous aide réellement : ce travail serait celui de toute une vie, voire même de plusieurs.
La belle à faire ! toute une vie ou plusieurs. Je me demande juste pourquoi en un instant je ne pourrai pas guérir ?
D'accord avec vous Pascal : ce discours bien lénifiant sert surtout à faire se justifier les personnes qui vous font du mal : elles ne font rien que vous faire grandir ... ben voyons !!!!
Magnifique article :) Merci Ambroise ! Très belle journée
Bonjour,
C'est fou : cela fait maintenant 15 ans que j'entends ce discours, que je le comprends intellectuellement et ma foi je ne vois guère de résultat, ni en moi, ni autour de moi. Non que je n'ai pas progressé mais la dissolution de l'ego, qui semble être l'objectif de chacun, semble beaucoup plus difficile que la dissolution du sucre dans mon café le matin (c'est une image car je bois mon café sans sucre :))
Je finis par croire, à la manière des shivaïstes, que ce discours que l'on retrouve en particulier chez les bouddhistes, nous égare plus qu'il ne nous aide réellement : ce travail serait celui de toute une vie, voire même de plusieurs.
La belle à faire ! toute une vie ou plusieurs. Je me demande juste pourquoi en un instant je ne pourrai pas guérir ?
Belle journée
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