Il semblerait que nous avons fait fausse route ! En 1995, le monde entier célébrait le centenaire de la mort de Louis Pasteur. Le monde entier, pas moi !
Aujourd’hui il existe un réel débat qui secoue de monde médical sur le bien-fondé des vaccinations de masse. En effet, comment rester indifférent aux effets pervers de pratiques médicales potentiellement dangereuses, imposées par la force et le droit.
Darwin et Pasteur, tous deux apparus au siècle dernier, ont profondément bouleversé notre conception du monde.
Les théories sans fondements de ces deux hommes ne sont que des courants de pensée dépendants du contexte historique.
En effet, au siècle dernier, la science se construit dans un contexte de guerres civiles et coloniales, de lutte des classes et d’un matérialisme naissant qui sépare l’homme de la divinité. Aujourd’hui, nous nous sommes enfermés dans un obscurantisme scientiste, après nous être débarrassés de celui de la religion.
C’est dans cette conjecture, qu’en Angleterre, Darwin va élaborer, sur la base d’observations superficielles sa théorie, érigée par la suite en loi universelle.
En France, Pasteur (Louis de son prénom) développe la même vision du monde : un combat acharné de l’homme contre les microbes. Il désigne donc le responsable des maladies infectieuses dans un contexte darwinien qui accorde la suivie au plus forts.
Moins de cinquante ans après la généralisation des vaccins, l’immunologie, la microbiologie et la génétique détruisent un à un les fondements de la théorie de Pasteur. Au fils des ans, des revues scientifiques émettent des doutes et font le constat que les progrès de la santé des pays industrialisés ne seraient pas dus aux médicaments et aux vaccins.
Le Docteur Eric Ancelet, auteur du livre « Pour en finir avec Pasteur – Un siècle de mystification scientifique » propose un certain nombre d’hypothèses pour établir un autre modèle ou paradigme viable porteur d’un avenir pour l’humanité toute entière.
Reconnu d’utilité publique en 1887, l’Institut Pasteur est mis sous tutelle du ministère du Commerce et de l’Industrie ! C’est le point de départ d’une entreprise industrielle visant à modifier les rythmes naturels de la vie par la vaccination systématique.
A voir :
http://lascienceenfraude.blogspot.fr/2012/05/limposture-de-pasteur....
Commentaires bienvenus
Tout ça pour dire que vous avez raison, je garde néanmoins espoir en toute chose (pas toujours) : bisounours. Oui.
Lovyves, les médecins savent très bien que l'organisme (et en particulier celui des enfants) ne peut absorber un trop grand nombre de germes (même atténués) sans risquer de réagir violemment.
Et que l'état du terrain est important, c'est même le principe de base de toute prescription médicale : s'assurer que le "terrain" supportera.
Que le formatage, les empêche de réfléchir sereinement, certes, mais les infos ils les ont.
Il ne faut pas oublier le "mythe de toute puissance" du corps médical que certains ne veulent pas perdre. Il est vrai que dans ce cas, ils sont malhonnêtes, mais sincères avec eux même (raison du choix de ce métier).
Car, si relaxe du Pr Joyeux, cela se saura (d'une manière ou d'une autre, les résultats de procès sont publiés. Pas forcément dans un journal à "grand spectacle"), que ce médecin fasse appel ou pas, la confiance du public vis à vis de la médecine sera entamée encore un peu plus.
Il appartient aussi à la population de réclamer des enquêtes, et d'avoir accès aux résultats de ces enquêtes. Il est possible aussi, d'initier des enquêtes "privées" (mais je ne sais pas vraiment comment cela peut s'organiser ou alors, des organismes qui font cela, risquent d'être chers).
Cela dit, en médecine comme dans d'autres domaines, il y a les étudiants qui planchent sur les cours à "l'arrache" (trois jours avant les exams) et tout ce qui s'apprend vite, est oublié aussi vite, mais l'individu est diplômé et a le droit d'exercer.Il y a des "experts" dans ce genre de louvoiement, stages et internat ne parviennent pas toujours à rafraîchir ce qui n'aurait jamais dû être oublié.
Ah, ah ! Katy chez les "bisounours" !!!
" Ce n'est pas si négatif un procès, à condition qu'il soit à la fois équitable et rendu public.".
Oui, tout à fait, mais …
.. lisons dans l'article, une déclaration : " Et avant même les résultats du jugement, Patrick Bouet annonce déjà qu'en cas de relaxe du Pr Joyeux, il va faire appel auprès de la chambre disciplinaire nationale, …".
..
Affaire déjà jugée, classée.
katy, me déçoit : "Dans leur cas, il s'agit bel et bien d'un manque de sincérité..".
Non, "ils" sont sincères. Tout à fait sincères.
La sincérité est toujours fonction du formage du cerveau; l'honnêteté est une autre affaire.
Je préfère m'abstenir de dire ce que je pense de Marisol Touraine, mais en affirmant cela, on peut deviner aisément qu'elle en est la teneur.
Ce n'est pas si négatif un procès, à condition qu'il soit à la fois équitable et rendu public.
Car ils seront bien obligé de démontrer (de façon scientifique, donc : démontrer, par une enquête puisque vis à vis des vaccins, désormais, il y a assez de recul) leurs assertion comme quoi, ce médecin ne suit pas une démarche scientifique.
L'immaturité du système immunitaire du nourrisson est établie et vérifiable, puisque l'info est transmise aux professions paramédicales. Ce qui leur déplaît est que ce médecin donne des infos au "grand public" qui auraient dû rester "entre spécialistes", et c'est ça, qui les dérange le plus, à mon avis.
S'ils suivent une démarche éthique et scientifique, jamais ils ne pourront démontrer que ce médecin a tord, puisqu'il suit, lui, la démarche qui consiste à respecter la fameuse balance "bénéfice/risque" et pour démontrer que cette balance est équilibrée ou pas, il faut mener une vaste enquête au près des vaccinés/non vaccinés et comparer les données (histoires de maladies...). Et pas se contenter d'un échantillonnage.
Il défend une médecine en fonction du terrain singulier et non une médecine standardisée. Sur quelles bases vont-il pouvoir démontrer (prétendument de façon scientifique ou empirique -enquête-) le contraire de ce qui est ?
Et surtout, étant donné qu'il s'agit d'un problème de santé publique : publier les résultats (non falsifiés).
Dans leur cas, il s'agit bel et bien d'un manque de sincérité, puisqu'ils ne peuvent pas ne pas savoir qu'il a raison.
"le désordre des médecins" entre en action.
http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/11265-Vaccin...
Merci Lovyves, pour ces deux liens que je vais étudier avec attention. Le débat reste ouvert.
Bonjour à Tou(te)s
Le "feuilleton" continue, il fait couler beaucoup d'encre.
http://quenelplus.com/revue-de-presse/les-chiens-de-garde-de-lex-pr...
Source :
Il est urgent (express) de parler d'autres sujets !
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/dr-joyeux-le-mister-...
La pétition lancée par le professeur Henri Joyeux, visant à alerter sur les dangers de la vaccination et pointant les dessous de la pénurie de vaccins DTP, a déjà recueilli plus de 540 000 signatures à ce jour, provoquant l’ire du ministre de la Santé, Marisol Touraine. Cette femme d’affaires, qui n’a aucune compétence en médecine, est-elle inquiète pour sa prime annuelle ?
Réponse du Professeur Joyeux aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio
« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s'étaient pas manifestés. C'est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. »
Ce sont les premières lignes de l'article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.
Qu'une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.
Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d'empêcher le débat et la réflexion, qu'à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?
Reprenons notre calme et discutons ensemble posément.
Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008
Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n'est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C'est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.
Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).
Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.
Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.
Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l'Infanrix Hexa s'ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l'obligation vaccinale, et garantir l'accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n'ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).
Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.
En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l'obligation vaccinale pour vendre du même coup d'autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n'est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s'il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n'a pas, ou peu de risques d'être en contact avec la maladie. C'est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l'Infanrix Hexa.
Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher
À ce problème purement médical s'en ajoute un autre, d'ordre financier.
Il se trouve que l'Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n'est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.
Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d'euros pour les laboratoires pharmaceutiques.
Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l'avons jamais dit. Mais il n'en reste pas moins qu'il est permis de s'interroger sur le peu d'empressement des laboratoires pour y remédier.
Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d'être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?
En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n'est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C'est le lot inévitable du « lanceur d'alerte ».
Désinformation et sape systématique par tous les médias
Ce à quoi nous n'étions pas préparés, en revanche, c'est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s'il existait une sorte d'urgence de convaincre le public que nous n'aurions écrit que des âneries voire des mensonges.
Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d'information, de Rue89 jusqu'au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.
L'écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l'objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d'y répondre de façon systématique.
Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.
1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares
Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l'Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l'actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.
C'est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l'Infanrix Hexa, ainsi que l'indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note.
Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d'allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d'autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n'ayant jamais été vaccinés, l'encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l'appareil pulmonaire.
En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n'a été remédié qu'au mois de mai, ainsi que l'indique l'Agence du médicament sur son site Internet consultable ici.
Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l'égard de l'Infanrix Hexa est donc absolument faux.
2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux
Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu'il n'y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu'ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !
Là encore, il s'agit d'une vision simpliste et trompeuse du choix qui s'offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d'un médicament ou d'un traitement ?
Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c'est la première chose que nous apprenons. Notre serment d'Hippocrate commence par ces mots : « D'abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu'ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu'ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu'ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu'il n'y ait aucun risque.
Les autorités, et c'est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.
Mais on ne peut en déduire qu'en toutes circonstances il soit sûr, d'un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n'est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C'est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l'hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.
En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d'interventions médicales, qui n'est pas toxicomane et qui n'a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l'hépatite B, il n'est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.
Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité
Affirmer qu'un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n'est pas être « antivaccin ». C'est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu'on leur administre.
Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d'objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n'est pas respectueux des Droits de l'Homme, et c'est pourquoi nous nous y opposons.
3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres
Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c'est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.
En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d'accélérer cette réponse la prochaine fois qu'il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.
Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l'allaitement qui reste idéal pour l’enfant).
Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.
Que sait-on de la réponse immune lorsqu'il y a 6 valences d'antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n'est pas assez ancienne pour que l'on ait aujourd'hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.
De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.
On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d'aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu'à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l'adulte.
Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang
Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu'ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu'ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l'on redoute n'est pas l'empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.
Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d'approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique.
L'opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l'impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.
Continuons notre mobilisation
C'est chose faite aujourd'hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.
Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées, et à poursuivre la campagne de signature de la pétition.
Professeur Henri Joyeux
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