Les Ormus: un nouvel état de la matière avec d’immenses
perspectives pour l’agriculture, la santé et l’environnement.
Par Roger Taylor, PhD.
Traduit de l’anglais, corrigé et illustré par Julien Frère
Traduction pour Nexus : André Dufour et Christèle Guinot
(Publié sous d’autres titres dans Caduceus 71, 25-29, 2007; Nexus 14, 35-38, 2007)
Cet article introduit une découverte récente mais peu connue qui pourrait être d’une importance
capitale pour le futur de notre planète. Mais les enjeux scientifiques sont élevés : si ces assertions
sont pleinement démontrées, nous serons obligés de prendre en considération un groupe de
substances – probablement des éléments chimiques – dont l’existence n’a pas été jusqu’à
aujourd’hui même suspectée. C’est pour cette raison d’ailleurs que l’acronyme ORMUS a été inventé.
La plupart des idées très controversées sur ce qu’ils sont vraiment, et leur extraordinaire chimie et
physique sont exposés ci-dessous.
Mais avant tout, l’apport pratique de cette découverte consiste en l’observation empirique des effets
bénéfiques de ces éléments sur la vie animale et végétale. Malgré le fait que ces éléments soient
déjà présents dans toute matière vivante et dans tous les sols et tous les types d’eau, leur effet sur
la pousse des plantes (voir images) n’en est pas moins phénoménale. Des bénéfices remarquables
ont aussi pu être observés pour la santé humaine et animale.
L’histoire commence en Arizona à la fin des années 70 avec un riche planteur de coton nommé
David Hudson. Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares et
renfermer des métaux précieux, Hudson entreprend un beau jour d’en commander l’analyse
quantitative complète. Stupéfaits, les laborantins constatent qu’une partie des éléments défie toute
analyse : on n’y décèle aucune caractéristique métallique, aucune réaction chimique et aucune
signature spectroscopique ! L’un des chercheurs propose alors de prolonger l’analyse du spectre. Ce
n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les caractéristiques spectrales, et que se
révèle, à la surprise générale, la présence de métaux précieux ! Disposant de moyens financiers
considérables, Hudson décide de pousser plus loin les investigations, et engage des chimistes pour
résoudre cette énigme. Les résultats détaillés figurent dans le brevet qu’il a déposé1. Il donne
ensuite de nombreuses conférences publiques, pourtant, pas un seul article ne paraît dans la presse
scientifique. Pour ma part, j’ai découvert ce phénomène en visionnant plus de neuf heures de
conférences de Hudson en vidéo.
Les allégations de Hudson sont très audacieuses, et espérant leur trouver une validation théorique,
j’ai tardé à écrire à leur sujet. Bien qu’aucune recherche universitaire officielle ne semble être en
cours, un groupe informel de scientifiques et de profanes planche sur la question depuis quelques
années. Sans aucun financement ni soutien d’un laboratoire officiel, et sans le moindre lien avec
Hudson, ce groupe a réussi à reproduire certains de ses résultats. Leurs travaux, de même que ceux
d’Hudson, sont présentés dans les articles que Barry Carter, grand spécialiste des éléments ORMUS,
publie sur un site Web très complet et très instructif2 (voir encadré ci-contre). Il existe aussi
plusieurs forums sur Internet, dont l’un, animé par des passionnés de sciences, aborde les divers
aspects chimiques et physiques de ces matériaux ainsi que les méthodes d’extraction et d’analyse.
Des métaux monoatomiques
Avec ces éléments, nous entrons dans une ère nouvelle et très complexe où nous avons tout à
apprendre. On peut considérer qu’un nouveau chapitre de la physique, de la chimie et de la biologie
est en train de s’ouvrir. Au vu des travaux d’Hudson et de ce groupe indépendant, il semble
désormais incontestable qu’un certain nombre de métaux précieux (et d’autres moins précieux),
parmi lesquels le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre, peuvent être isolés à
l’état solide bien que non métallique, sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés
extraordinaires.

Des noix comme des mandarines
S’il est difficile d’obtenir des données scientifiques sur la santé humaine, celles issues des
expériences sur les plantes sont incontestables et extraordinaires. Plusieurs sites Internet sont là
pour en témoigner.
En agriculture, la préparation la plus courante, mais aussi la plus simple et la moins chère, consiste
en un concentré ordinaire obtenu à partir de l’eau de mer. L’intérêt des produits de la mer, en
particulier celui des algues, est connu en agriculture depuis bien plus longtemps que l’ORMUS. Le Dr
Maynard Murray a rassemblé de nombreuses données sur la santé d’animaux nourris de grains
cultivés sur des terres traitées à l’eau de mer. Une expérience a été conduite sur une race de souris
dont 90 % sont normalement et spontanément atteintes de cancer du sein. Parmi celles nourries au
grain traité, 55 % seulement ont développé un cancer, et pour la deuxième génération, ce chiffre
est descendu à 2 % ! Évidemment, la terre arrosée à l’eau de mer finit par être trop salée, ce qui
menace sa fertilité. Mais il faut savoir que le processus de concentration de l’ORMUS multiplie par
environ 80 sa proportion en sel. Le Dr Murray fait observer que les populations humaines présentant
de faibles taux de tumeurs malignes se situent généralement dans des régions où il y a « très peu
d’évacuation d’eau à la mer », de sorte que les éléments vitaux contenus dans les terres
alluvionnaires demeurent sur place.

Selon les cultures, dix à cinquante litres de concentré par hectare suffisent. Les résultats obtenus de
cette façon dépassent largement ceux de l’eau de mer, comme en témoignent les photos (cidessus).
On a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille
des autres et produit six fois plus de noix ; quant aux noix elles-mêmes, elles sont grosses comme
des mandarines !

Un prunier a produit, dès la première année de traitement, des
fruits deux fois plus lourds que ceux de l’arbre témoin ; et
après deux ans, ce poids a été multiplié par cinq ! On voit, sur
une photo, un agriculteur juché sur un escabeau pour atteindre
ses plants de maïs de 3,60 m de haut !
Citons également ces oranges de la taille de melons
cantaloups… On sait également que les plantes traitées aux
ORMUS sont non seulement plus productives, mais qu’elles
arrivent plus tôt à maturité, nécessitent moins d’engrais et
résistent mieux aux parasites. En plus, les fruits ont meilleur
goût ! J’ai moi-même expérimenté les ORMUS sur les pommes
de terre. Sur quatre rangs de deux espèces différentes, deux
ont été traités et les deux autres ont simplement reçu
l’équivalent en eau. Résultat : 14 kg pour les témoins, 26 kg
pour les plants traités. J’ai aussi obtenu des carottes de plus de
450 grammes…
On a régulièrement observé que les productions augmentent encore la deuxième année et les
suivantes, après le traitement. Cela est probablement dû à ce que l’ORMUS enrichit la teneur du sol
en mycorhizes, champignons symbiotiques nécessaires à la croissance des plantes et dont on devrait
reconnaître enfin l’importance, car ils sont gravement menacés par les excès d’engrais chimiques et
d’herbicides.
Bien entendu, il n’existe pas de preuves que ces résultats, si remarquables soient-ils, sont dus aux
ORMUS. Les détracteurs pourraient arguer qu’ils résultent d’un apport supplémentaire de minéraux
conventionnels. Une approche scientifique plus rigoureuse reste à mener.

....

voici le lien pour télécharger le doc complet : http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/775/les-ormus

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