Mon chemin
a le gout de la pluie qui tombe.
 
 
Je grimpe la colline,
cherche la source intime
d' une lueur .
 
 
J 'écoute en profondeur
Le gris du papier qui chemine.
 
 
Regardant le ciel
et ses bras,
comme une mère,
câline.
 
 
Un fil ,
relie le passé et le présent
dans un grand tourment
d' un instant
ou plus rien
n' a d' importance.
 
 
Je sais être ignorante,
pour mieux apprendre,
à deviner,
la beauté des cieux.
 
 
Eux sont là,
dansant
au dessus de nos têtes
pour guider nos pas de chair,
nos souffles de rêves,
nos coeur alchimiques.
 
 
Petite étoile
je me consumerais de vie
dans le lit de l'humanité.
 
 
Et d' un baiser charmant,
l' amour sera l' antidote,
à toujours y croire,
à toujours donner.
 
 
 
Il est encore temps
d' apprivoiser
la lumière
 
comme une dentelière
 
 
Le ciel rie, oh ce soir !
et les oiseaux l' accompagne
 
Yaël Catherinet-Buk

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Commentaire de Yaël le 5 Avril 2016 à 8:44

Merci!

Commentaire de Albatros le 4 Avril 2016 à 9:49

Joli poème ...merci

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