Bonjour mes amis (es )
Je vous invite à découvrir cette vidéo-conférence de 45 minutes de Jean-Jacques CrèveCoeur qui vous explique un peu mieux comment fonctionne l'alchimie. Comprendre qu'il faut quitter le vêtement de toute dépendance et avoir la liberté de vivre notre propre vie sans toujours être manipulés comme c'est le cas à travers les médias et autres pouvoirs politiques en, place. Jean-Jacques ne prône pas la vérité, car elle appartient à chacun mais ce qu'il nous instruit demande matière à reflexion...
@ bientôt sur Epanews mes amis (es ) j'ai peu de temps à moi et une envie folle de me protéger de + en + du virtuel .
Amour et partage
Michel
http://conversationpapillon.com/
Mettre l’alchimie au coeur de notre vie from Conversation Papillon on Vimeo.
conversationpapillon.com - Conférence grand public de Jean-Jacques Crèvecœur diffusée sur les ondes de Conversation Papillon.
D’après la tradition, l’alchimie poursuivait trois objectifs : transmuter les métaux vils en or, guérir les maladies (par la Panacée) et prolonger la vie humaine (par l’élixir d’immortalité). Qu’il s’agisse d’un mythe ou d’une réalité, cette démarche dont l’origine se perd dans la nuit des temps a inspiré le grand psychanalyste Carl Gustav Jung dès le début des années 1920. Alors que le judéo-christianisme nous pousse à nous élever, à nous purifier et à nous distancier des vibrations lourdes de la matière et du corps, la démarche alchimique, au contraire, nous invite à plonger dans nos ombres pour retrouver l’or et la lumière de notre conscience.
Au cours de cette conférence passionnante, Jean-Jacques Crèvecoeur nous indiquera comment nous pouvons, concrètement, transmuter le plomb de nos blessures, de nos blocages et de nos défauts en or lumineux et en énergie vitale ! Un carnet de notes qui résume et enrichit la conférence animée sur Conversation Papillon est disponible sur le site de l'auteur: jean-jacques-crevecoeur.com.
Consultez Conversation Papillon pour connaître l'horaire des prochaines activités.
Par là-même je vous invite à vous inscrire, si bien sûr cela vous intéresse, à " Conversation papillon pour pouvoir accéder à de multiples conférences .
Commentaires bienvenus
@ Michel qui écrit : "Les outils de JCC ne seront utiles que si la personne a fait un travail en profondeur sur son histoire". On est tout a fait d’accord donc mais je soulignais que JJC avait omis (parce que sans doute il ne se sait pas) cet aspect et a donc fait croire que ses « outils » qui ne sont pour moi ici que des remake de la pensée positive, sont suffisant pour changer nos croyances !
Vous dites encore « Ces fausses croyances que beaucoup ont mise en place inconsciemment en même temps que leurs propres défenses et résistances […] ». Ce ne sont pas de fausses croyances analogiquement à ce qu’on dit des « fausses notes » qui existent en fait même si cela sonne désagréablement aux oreilles (faux = qui est contraire à la réalité) : ces croyances dont Einstein disait qu’elles sont plus difficile de changer que de réaliser la fission atomique, existent bel et bien mais elles reflètent comme disait Emile PINEL (mathématicien) : " Nous sommes le résultat de nos pensées passées non adaptées au présent" et j’ajouterais doc, ce qui est un peu pléonastique, « bien adaptées à notre passé ». « Les perceptions, les pensées et les croyances ont plus d’impact sur la santé des gens que leurs gènes ». disait de son côté Bruce Lipton (biologiste généticien).
Vous citez aussi Freud mais savez vous d’une part que comme tout ce qui a fondé la psychanalyse ne repose que sur des données dogmatiques et qui en plus se sont avérées progressivement et de plus en plus décalées par rapport à la réalité (cf. Le livre noir de la psychanalyse) ; d’autre part que Freud lui même avait averti que la psychanalyse n’était pas une thérapie curative° mais seulement un outil de développement personnel (qui ne compte que sur le temps pour pouvoir produire d’éventuels effets bénéfiques) ?
(°) Jacques Van Rillaer, Les illusions de la psychanalyse, Éd. Mardaga, Liège, 1988, p. 378.
là je suis entièrement d'accord avec toi !!!!!!
Les outils de JCC ne seront utiles que si la personne a fait un travail en profondeur sur son histoire ( petite enfance, enfance ) en résorbant ses émotions inconscientes et ses fausses croyances, et si possible sans aucun médocs et drogues ( alcool, ou autres addiction ) qui nuiront inévitablement sur son travail en profondeur.
Ces fausses croyances que beaucoup ont mise en place inconsciement en même temps que leurs propres défenses et résistances seront de toute façon un frein sur ce que propose JCC, donc personnellement, je précise bien qu'il faut d'abord faire un joli travail d'analyse intérieure et de libération de nos émotions pour après je pense utiliser quelques outils de Jean-Claude en complémen,tarité.
Quant à Hypoccrate, il avait tout bon sur toute la ligne, mais il n'est pas le seul àmes yeux, Jung, Freud, Dolto et tant d'autres ont ouvert la voie de la compréhension sur les psychopathologies des adultes, c'est surtout sur ces personnes là auquel j'adhère vraiment le plus...
Michel
Bonjour Michel,
J’ai voulu insister sur le fait que JJC fait croire qu’il suffit de changer ses croyances, de ne pas s’attacher aux expériences négatives pour que les choses changent ; c’est conforme à une certaine pensée positive qui ne peut opérer que lorsqu’on aura compris et résolu les causes profondes qui ont conduit précisément aux expériences souffrantes.
JJC fait l’impasse de cette incontournable chemin.
Nécessaires dans un premier temps pour calmer le jeu et pour retrouver une certaine sérénité, les médicaments quelqu’ils soient et même naturels ne pourront que masquer un certain temps les effets des symptômes et ne pourront que ressurgir ensuite faute d’avoir été résoudre la cause des maux qui les ont produits et comme vous le dites, la dépendance médicamenteuse… survient…
Entendant le message dès lors simpliste du il n’y a qu’à » de JCC, ceux (nombreux) qui se seront essayés à suivre ses « conseils » ne pourront alors que constater l’échec ; croyant alors qu’ils en sont incapables, voire ne le méritent pas, ils seront plongés dans une détresse plus grande encore (suivant ce que professionnellement je reçois comme échos en pareilles circonstances) ! Primum nil nocere (d’abord ne nuire en rien) avez-vous dit Hippocrate ?!
Merci pour ce commentaire enrichissant.
Il faut bien comprendre que beaucoup d'individu ont installé des défenses et résistances suffisament forte pour éviter justement de retourner un peu trop vite vers leur enfance et les souffrances émotionnelles ressenties, en pratiquant une analyse un peu moins profonde sur une démarche cognitivo-comportementale, ces individus peuvent tout doucement comprendre un peu mieux leurs vieilles croyances. Les médicaments ne sont qu'une béquille, mais cela beaucoup l'ont compris, d'autres malheureusement non, et par là même, la dépendance vient donc s'installer, les plantes sont un bon compromis de toute façons, par contre pour les pathologies beaucoup plus lourdes ou la génétique est reconnu responsable, comme la schizo par exemple pour certains cas après un diagnostic bien établi, le professionnel sera bien obligé de lui en administré.Je pense que les outils de Jean-Jacques sont alors complémentaires au bout d'un certain cheminement ou la personne a découvert une petite partie de son histoire.
Amour et partage dans votre coeur.
Michel
J'ai écouté cette conférence mais je dois mettre un sérieux bémol au message diffusé par JJC : il invite notamment à changer le regard sur nos expériences négatives et fait croire que le seul changement de regard (comme par magie) suffira à pouvoir se débarrasser des influences de ces expériences indésirables. S'exprimer ainsi c'est encore tomber dans les affres de la pensée positive et faire l'impasse du traitement des causes profondes des maux ; c'est similaire à un comportement allopathique qui donne par exemple à tel médicament la vertu d'effacer les symptômes alors que comme le dit la célèbre psychothérapeute Alice Miller, le travail de signalisation ne peut alors que perdurer au travers d'une cassade de maux :
« Notre accès à notre histoire d’enfant nous donne la liberté d’être fidèles à nous-mêmes, cela veut dire de pouvoir ressentir nos émotions, de les connaître et d’agir selon nos besoins, ce qui nous garantit notre santé et nos relations honnêtes et vraies avec nos proches. Nous arrêtons de mépriser, négliger ou même maltraiter notre corps et notre âme de la même façon – impatiente, irritée, humiliante – que nos parents ont traité le petit enfant qui n’a pas pu encore parler et s’expliquer. Nous cherchons plutôt à comprendre les causes de nos malaises, ce que nous pouvons faire plus facilement après avoir pris la connaissance de notre histoire.
Aucun médicament ne peut nous renseigner sur les CAUSES de nos malaises ou maladies. Un médicament peut seulement brouiller ces causes et soulager la douleur – pour quelque temps. Mais les causes qui n’étaient pas reconnues restent toujours actives et continuent leur travail de signalisation jusqu’à ce que la maladie récidive. Et elle sera traitée par les autres remèdes qui, eux aussi, négligeront les raisons de la maladie. Pourtant, ces raisons ne sont pas introuvables si la personne malade s’intéresse à la situation de l’enfant qu’elle a été. »
C’est cet intérêt qui lui permettra non seulement de vivre ses émotions mais aussi de les comprendre. Il est bien entendu que je parle ici des médicaments qui suppriment les émotions et en même temps les souvenirs. (Extrait de l’article intitulé « Les Raisons Trouvables » : http://www.alice-miller.com/articles_fr.php?lang=fr&nid=17&...).
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