1978

AUBE

Paix, Amour, Eternel Amour de la Vérité.

Je suis ton esprit et viens au-devant de toi apporter la réponse à ce trop qui déborde en toi sans que tu puisses en juguler le débit.

Fille de mon coeur, Amour, communion de nos êtres, ma joie est Allégresse.

Mon coeur est merci d'être là, merci d'être à l'écoute et un vrai chant.

Tu avances, tu avances et il dit :

"Ne te retourne pas, même pas la remise en question de dire que parfois tu ne vois pas, ou plus ou moins".

Ton Etre, dans le travail, se détache pour aller loin dans le grand livre de la Lumière.

La connaissance, certains de tes patients auront un mot, d'autres une phrase, d'autres un chapitre, d'autre le livre entier mais ceux-là seront rares. Il ne sera que de leur mérite à recevoir de leur compréhension, aussi au niveau de l'écoute. Car tu sais comme moi, que ceux qui viennent en prétendant vouloir connaître toute la vérité, ont au fond de leur être que leur vérité, et dangereux alors est-il de tout révéler.

Fille, tu es venue sur la terre des hommes pour aider tes frères, n'ayant plus à refaire le chemin de l'avancée dans un karma.

Tu es venue en mission apporté aux petits frères de la terre le soutien et réconfort dans le don et par le don de toi dans l'Amour absolu.

Tu es venue ensemencer le jardin du Père avec d'autres frères jardiniers comme toi.

Tu es venue pour vivre avec les hommes.

Au travers d'eux, éprouver la difficile marche dans la matière pour être enfin, à leurs yeux, crédible parce que comme eux.

Tu as testé, au travers de tes retraites, ton moi interne.

Les révélations que tu as eues t'ont prouvé que ton esprit était en présence que,  pour, et par l'Amour, sans aucune autre forme. Tu as compris alors où était ta route.

Tu es prête maintenant à recevoir la clarté de la Lumière transcendée.

Ton travail va aller en avançant aussi, avec tes mains, car de la voyance de ton regard de l’en-dedans, tu dois pénétrer au fond des corps comme au fond des âmes.

Guérir le corps physique, guérir le corps subtil, laissant guider tes mains, telles que tu le sens.

Ton regard clairvoyant pressent l’en-dedans pour trouver le point malade, et par tes mains et par le souffle tu dois guérir.

Et, de ton âme, tu chanteras mon chant en une prière.

 Enfin, je m'appelle AUBE et dis que le

          A         est l' AMOUR pur ABSOLU

          U         est l’ UBIQUITÉ de ton regard, l'ubiquité de l'être qui va au-deçà et au-delà

                       de la conscience.

          B         est la générosité de la vie par la BONTÉ de ton âme, par la BEAUTÉ de ton regard pur, par la  

                     BÉATITUDE en tes gestes.

          E        est l' ETERNITE en le grand tout, en la même ENTITÉ.