Lors des changements de fréquence et de dimension


lors des changements de fréquence et de dimension

 par LilaLuz


La Perception des couleurs lors des changements de fréquence et de dimension

Le changement vibratoire est reconnaissable par un changement de perception.

Quelque soit le niveau de fréquences et de perception du départ, on ressent d’abord un éclaircissement global des couleurs qui deviennent plus vives. Notre capacité à voir la lumière est augmentée, on ressent que nos sens sont « lavés », qu’ils perçoivent toutes les stimulations avec plus d’acuité ce qui produit sur l’ensemble du corps plus de stimuli et un meilleur ancrage à la réalité : globalement on prend plus de plaisir à vivre, le cadre de vie devient un lieu de rencontre avec ses propres perceptions augmentées et l’on redécouvre les objets et les paysages avec un regard neuf. Voir, entendre, goûter, sentir, toucher peuvent être approfondis et aiguisés au point d’aller plus loin que les sens ordinaires.

Par exemple : en touchant un objet, on peut connaître son origine territoriale, voir la personne qui l’a ouvragé, sentir l’odeur de l’époque et du lieu d’où il provient et suivre les moments importants que cet objet à vécu jusqu’à l’instant actuel. On peut aussi faire cela pour des lieux ou des personnes ; recevoir dans notre esprit les images des instants marquants de leur histoire, sentir les émotions de ces personnes en communion avec elles, bien que le temps ou l’espace soit différent de notre histoire personnelle. Cette médiumnité est naturelle, elle n’est pas réservée à quelques uns mais se manifeste chez ceux qui l’acceptent.

Nos ancêtres des Cavernes vivaient sur la fréquence primaire, proche de celle de la Terre. Cette fréquence basse et lente nous met dans un état d’esprit où seule notre survie est importante. Notre corps est « ouvert » comme une oreille. Il capte les moindres émotions de la nature et sait de quoi il a besoin et comment l’obtenir. En quelque sorte, nos bactéries et nos cellules communiquent en permanence avec l’environnement et nous guident pour avoir satisfaction de nos besoins vitaux. On est naturellement porté à faire la sieste aux heures où l’énergie solaire est la plus nourrissante, parce que lorsque le corps est au repos, le corps énergétique – ressemblant au système végétal- capte mieux le prâna solarisé par la lumière du soleil. Les deux corps fonctionnent ensemble en alternance, lorsque le corps physique est tranquille, le corps énergétique vaque et s’alimente.

Dans cette fréquence primaire, notre esprit n’est pas différent de celui d’un animal, nos buts immédiats sont semblables : s’alimenter et se reposer. Notre conscience et notre identité sont fixées sur la qualité du sang. Appartenir au même sang crée un cercle d’affinité et de tolérance. En revanche des sangs très différents dans leurs compositions se repoussent et les individus savent instinctivement s’ils sont la proie ou le prédateur de l’autre selon la charge en adrénaline. Un herbivore ne possède presque pas d’hormone de prédation et de toxines du sang, car il en consomme peu, tandis qu’un animal carnivore émet une forte odeur de sang séché dans ses entrailles et de toxines produites par la décomposition des protéines lors des courses. Ces odeurs sont captées directement par le chakra du ventre tandis que le nez est attiré par les odeurs de pollens, les nectars de fleurs et de fruits. L’estomac est connecté aux racines des plantes et sait quelle partie des feuilles, des arbres ou des plantes il peut digérer. L’esprit de l’ être humain va faciliter cette absorption en imaginant la cuisson ou la préparation des aliments en accord avec les propriétés nécessaires à la survie du corps. Tout le corps est utilisé pour le maintien de la vie et de l’équilibre. Ces facultés sont oubliées et aujourd’hui si nous les utilisions, je ne suis pas sûre que nous voudrions manger les aliments tels qu’ils nous sont donnés à consommer. Heureusement que nous sommes bercés d’inconscience !

La fréquence secondaire est captée par l’Ombilic, grâce à elle, l’être humain se reconnait comme l’enfant de quelqu’un. Il projette cette filiation par le Père et cela donne une société Patriarcale ou il conçoit cette filiation par la Mère et cela donne une société matriarcale. Cette filiation est étendue ensuite à la Terre qui par le biais de l’agriculture et des élevages devient l’extension d’une mère pour la communauté, et/ou à une filiation Solaire, expression d’un Père spirituel pour cette communauté. L’Ombilic est situé devant les intestins, qui sont continuellement en travail de digestion et de gestion administrative des ressources du corps. Donc souvent la société crée sur la fréquence du chakra du ventre vit autant la nuit que le jour et donne sa valeur à un individu par son labeur et par ses biens.

Les intestins sont reliés au pancréas (gestion des sucres) à la vésicule biliaire (mobilisation des sucres), au foie et à la rate (purification du sang). Les intestins sont donc au courant de tout ce que nous ingérons et de toutes les actions d’assimilation ou de dilapidation de nos ressources : ils savent TOUT sur notre alimentation, notre stress, nos manques et nos habitudes. On dit qu’ils sont un cerveau primitif, parce qu’ils communiquent avec le système nerveux par des cellules semblables aux neurones. Nous sommes donc conscients – de ce que sont les gens autour de nous lorsque nous sommes amis avec notre intelligence intestinale. Cet instinct viscéral existe et il est le réceptacle privilégié de nos peurs ancestrales des « étrangers » : étrangers à nos habitudes, à nos modes de consommation alimentaires donc ne partageant pas les mêmes bactéries intestinales. Sachons qu’au-dedans de nous de grandes batailles pour l’obtention d’un territoire se jouent ! Le racisme est-il né d’une bactérie ?

La fréquence de la 3éme dimension est basée sur l’Individu et sa participation libre à la communauté. Cela sous-entend qu’il n’est plus question d’appartenance à un clan, à un groupe de prédateur ou à un territoire particulier pour faire partie de la société et y être accepté. Dans la pratique tout le monde n’a pas atteint cette conception du « vivre ensemble ». Le fait d’être né sur un territoire donne la faveur des gens du coin, le fait d’être un homme plutôt qu’une femme permet d’obtenir plus de pouvoir et de recevoir plus de confiance. Le fait de travailler d’une manière intellectuelle ou artistique n’est pas considéré par tout le monde comme utile….il y a encore des esprits primitifs partout…En Principe, la troisième dimension consiste à vivre ensemble selon un Idéal Commun. Cela fait appel à notre plexus solaire qui veut étendre son rayonnement par la puissance de son Action. Or, mise à part la domestication des animaux, puis des éléments par des techniques pour faciliter le travail des humains, l’Action se réduisait à travailler pour se nourrir. Donc, on a imaginé ; on a dépassé les situations concrètes pour se projeter dans des expériences imaginaires. Puisque la filiation n’est plus suffisante, que la force physique n’est plus nécessaire, l’intellect ou l’agilité physique ou une particularité nous singularise. Cela a crée la littérature, le cinéma, les expositions d’art et les musées, les compétitions sportives, les concours de beauté et les diplômes, les jeux de loterie, les élections de toutes sortes : autant d’opportunités de démontrer ses talents, sa chance, ses aptitudes à l’excellence et d’essayer de se démarquer de la masse. En sont nés également ; l’orgueil, la vanité, le mépris, l’esprit de révolte, l’individualisme.

Lorsque l’on vit seul dans un monde où tous les autres sont des concurrents potentiels, les systèmes nerveux et endocrinien sont soumis à un stress prolongé, cela affaibli la qualité du sang par un excès de toxines provenant de la dégradation des protéines. Plus simplement dit : à trop courir après des chimères, on est stressé et l’on devient malade. Le souffle court, la vue basse, l’oreille abasourdie, les sens perdent de leur intensité et on en perd aussi le goût de vivre, le sens de sa vie, tout nous indiffère.... Cela éveille-t-il un écho avec une situation connue?

La 4éme dimension est axée sur l’expression du Cœur. Le temps n’est plus rythmé par la montre mais par la succession d’Instants, qui en eux-mêmes portent une raison d’être. Chaque Instant nait, s’étire puis se replie, laissant place à un autre Instant, focalisé sur une énergie différente, sur une autre fonction. On passe d’un Instant à l’autre, en suivant la boussole du Cœur. Très étrange boussole puisqu’elle ne montre pas le nord électromagnétique mais la Sagesse de notre cœur en toutes circonstances. Cela sonne poétique mais je parle très sérieusement, en fait je suis extrêmement précise et pragmatique en cet instant, précisément ! Mon âme est droite comme un i qui s’affirme et défini le mot vie : tout est cycle et un minuscule Instant possède un début, un apex et une fin. Le Temps vit et respire comme chacun d’entre nous. Il a sa propre identité et si nous ne le voyons jamais tel qu’il Est, c’est que nous n’avons d’yeux que pour nous-mêmes. Le jour où le temps n’est plus comme un vêtement qu’on enfile tant bien que mal pour s’agripper au travail, faire et défaire toutes ces choses dont on est sûr qu’elles sont indispensables ! Et pourtant, il suffit d’un Instant, d’un tout petit instant d’amour de bonheur ou d’espoir pour que nous oublions ce fatras existentiel et que nous retrouvions la Joie de Vivre. Alors, le Temps n’est plus triste ni gris, il est un ami, patient et serein qui porte en Lui l’éternité. Tout est rose quand on aime, tout est rose, le ciel la terre, l’herbe verte et même les sauterelles ! Vraiment le Cœur à ses raisons que personne ne pourrait croire, c’est pour cela qu’il faut Vivre l’Instant présent pour comprendre ce que je viens d’écrire !

La 5éme dimension nait par l’Acceptation. L’acceptation n’est pas la soumission aveugle à quelqu’un ou a quelque chose. Ce n’est pas une humiliation ou un renoncement…pourtant cela les contient, comme de trop lourds bagages devraient être allégés pour continuer à monter sur les hauteurs enneigées. L’effort d’aller vers Soi est quelque fois sacrificiel…parce qu’en nous-mêmes nous aimons la douleur, le sang, le sacrifice, la domination. Cela semble nous donner de la valeur, du courage, une certaine gloire. En vérité nous sommes toujours prêts à nous poster en dominateur y compris de notre propre personne. Nous sommes autant sadiques que masochistes, dans une certaine mesure l’homme est son propre prédateur, humiliant, injurieux, mesquin y compris lorsqu'il est seul avec lui-même. Reconnaître ces circonvolutions de notre esprit ou de notre âme et après ? Qu’y puis-je si comme d’autres, ma race est destructrice ? Si mes instincts primitifs s’expriment sous des masques sociaux et culturels ? Qu’y puis-je si parfois, contre ma conscience et ma volonté, des parts de moi aiment faire le mal ? Suis-je en tout point responsable ?

La réponse à cette question fait passerelle : personne d’autre que nous-mêmes ne peut passer dans les dimensions évoluées sans –au préalable- s’être dépouillé de ses vanités et de ses secrets de polichinelle.Etre ou ne pas être coupable d’être un humain ? Shakespeare, sur cette question, nous précède ! LiLa



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