Un chercheur a trouvé une corrélation entre le sourire et la durée de vie.
En prenant des photos de groupes, il a repéré différents types de sourires.
Les personnes qui affichaient le sourire le plus naturel étaient ceux qui s’étaient avéré vivre le plus longtemps.
En fait, c’est le sourire qui vient du cœur, le sourire intérieur. Et la capacité au bonheur vient du sourire du cœur, cette propension à laisser la joie nous envahir et diffuser une vitalité bienfaisante. Et je peux vous garantir que ce sourire la irradie. Il irradie dans tout le corps déjà et autour de lui.
Lorsque nous pratiquons la méditation, il faut songer à détendre tout le corps, mais tout d’abord le visage. Jusqu’à éprouver consciemment le bien être et sourire. Le non sourire ou la crispation du visage provoque l’effet inverse, il contracte le corps et bloque l’énergie.
Les bienfaits physiologiques du sourire et les réactions chimiques agréables qu’il produit en nous ne sont plus à démontrer. De nombreuses études ont été publiées sur le sujet. Des substances (endorphines) sécrétées par différentes glandes sont véhiculées dans notre organisme par le sang et apportent à chaque organe une énergie régénératrice extrêmement bénéfique pour l’ensemble de l’organisme.
Il n’est pas nécessaire d’être prix Nobel pour réaliser à quel point le sourire est bénéfique.
Instantanément une modification positive de votre état d’être apparaît. Ce qui est vrai dans un sens est souvent vrai dans l’autre sens, si vous vous mettez à « faire la gueule», instantanément d’autres réactions chimiques se produisent en vous et votre état d’être se modifie ; Une autre dimension tout à fait extraordinaire s'exprime lorsque nous partageons ce sourire. Il devient alors rapidement une source de bonheur infini. Nous en avons probablement déjà tous fait l’expérience : rencontrer une personne souriante qui vous offre son sourire sincère peut nous «réchauffer le cœur » pour les heures, les jours et parfois les années à venir en se remémorant ce sourire chaleureux. La joie et le bonheur son contagieux et la joie de vivre est certainement une des choses les plus précieuses au monde. N'oubliez surtout pas, que ce que nous voyons et ce à quoi nous pensons produit sur notre corps les mêmes effets que ce que nous vivons réellement.
Pour les scènes auxquelles nous assistons, ce que nous éprouvons alors est d'une intensité certainement variable d'une personne à l'autre, selon le degré de sensibilité et d'empathie, mais les sécrétions chimiques produites, telles que ocytocine ou dopamine, pour ce qui est plaisant, à penser à voir, ou adrenaline et cortisone ce qui est effrayant ou stressant, sont les mêmes, que nous vivions réellement les évènements ou pas !!!
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Idem pour les autres émotions. Quand quelqu'un pleur, nous avons envie de pleurer, lorsqu'une scène est dure, nous nous crispons, lorsqu'une personne rit du fond du coeur, son rire est contagieux.....
Ainsi, nous avons réellement un pouvoir sur notre humeur, et lorsque l'on nous dit "change toi les idées" il faut vraiment le prendre au mot !
Une étude scientifique récente a mis en évidence comment le sourire peut influencer les gens qui nous entourent. Dans cette étude, des scientifiques ont observé, grâce à l’I.R.M (imagerie par résonance magnétique), les zones du cerveau qui sont activées lorsqu’un individu bouge les doigts de la main gauche. Puis ils ont observé comment réagit le cerveau d’un deuxième individu qui regarde la scène sans bouger les doigts. Ils ont constaté que, malgré le fait que la deuxième personne ne bouge pas la main, les mêmes zones du cerveau sont activées. Le simple fait de regarder quelqu’un bouger ses doigts, stimule en nous les zones du cerveau responsables du mouvement des doigts. Ils ont appelé cela « la résonance sympathique ». Le phénomène de résonance est connu en physique depuis longtemps. Par exemple, lorsque vous mettez deux pianos l’un à coté de l’autre et que vous faites vibrer la corde du do (ou toute autre corde) de l’un d’entre eux, vous allez constater que la corde similaire du second piano va vibrer, elle aussi, sans que vous ayez à faire quoi que ce soit. C’est cela le phénomène de résonance .Ce principe est très connu des troupes militaires, qui stoppent leur pas cadencé lorsqu’ elles traversent un pont suspendu afin d’éviter de faire s’effondrer le pont en entrant en résonance avec lui.
Ce phénomène physique de résonance sympathique nous prouve simplement comment le fait de sourire sincèrement à quelqu’un active chez lui (avec toutes les conséquences bénéfiques que cela peut avoir) les zones du cerveau qui servent à sourire. Quel pouvoir fabuleux de « rentrer dans la tête » des gens pour les stimuler au bien-être. Toutes ces explications ne font que confirmer l’extraordinaire puissance du sourire.
L’implication dans cet état d’esprit entraîne immanquablement un effet en chaîne. Savourer la qualité plutôt que la quantité, savourer l’instant présent, savourer ce que l’on est, ce que l’on a et passer de l’envie à la gratitude ou lieu de disperser notre énergie à convoiter ce que les autres ont. Que ce soit matériel ou humain, comme convoiter les des biens, accumuler, ou convoiter les femmes ou les hommes des autres.
Il a été démontré qu’une personne qui sourit à une autre personne peut provoquer un effet de réactions en chaîne qui va faire sourire plus de 500 personnes dans une journée ! Ce simple mouvement de lèvres est capable de produire une quantité de «chaleur » humaine tout à fait remarquable. Le sourire est une arme non violente fabuleuse qui, sans aucun doute, peut augmenter favorablement le niveau de bien-être de l’humanité.
Lorsque nous parlons de sourire, diverses images peuvent nous traverser l’esprit :
Le sourire pour publicité dentifrice, le sourire empli d’intérêt du renard commercial, le sourire de l’hôtesse de l’air blasée mais parfaitement conditionnée, le sourire séducteur motivé par les plaisirs du sexe, le sourire spontané de l’enfant, le sourire complice de l’amitié ; en fait, le sourire peut prendre bien des apparences et parfois être particulièrement horrible, grimaçant...
De tous les sourires que nous venons d’évoquer, je crois que celui qui se rapproche le plus du sourire qui nous intéresse est celui de l’enfant spontané.
En fait, ce n’est pas tout à fait celui-là qui nous intéresse.
Le sourire dont je parle, plutôt que de le décrire, il est préférable de le vivre. Notre conditionnement social nous ont déformés de façon significative et rares sont ceux qui ont réussi à rester intègres, spontanés et «purs ».
Heureusement, il n’y a aucune prédisposition particulière à avoir. Le simple fait de se dire «Je vais essayer», c’est déjà 50 % du chemin parcouru. C’est d’ailleurs ce que vous avez fait un jour Sophie, vous avez remarqué que les gens souriants vous faisaient du bien et vous avez décidé, oui, décidé, de devenir souriante et cela est devenu une façon d’être au monde. Vous avez adopté le sourire intérieur, le sourire du cœur, ne vous a plus quitté. Lorsque l’on adopte cet état d’être, en cultivant le sourire, il est partout.
Comprenons pourquoi, dans la grande majorité, nous l’avons perdu. Tout bébé, le sourire est aussi naturel que n’importe quelle expression faciale pour exprimer un état intérieur. C’est une grimace dans la panoplie des mimiques pour exprimer, par le non verbal une sensation intérieure. Ce sourire de bébé exprime une satisfaction totale, un état de bien être et d’harmonie complète, une plénitude, une béatitude à faire rêver tous les chercheurs de bonheur et d’absolu. Mais l’enfant n’a aucune conscience de son privilège, il ne fait que réagir à une programmation déterminée par son génome. (C’est ce manque de conscience qui fait que le sourire que nous recherchons n’est pas exactement le même que celui de l’enfant.). Mais très rapidement, ce sourire s’altère au contact des plus grands ! L’enfant comprend vite que cette mimique, qui n’est jusqu’à là pour lui qu’une façon insouciante d’exprimer son bien-être, peut aussi lui apporter des avantages ou des inconvénients. Lorsqu’il sourit, on lui porte plus ou moins d’attention, cela déterminera en grande partie sa morphologie faciale et sa tendance à être souriant ou non plus tard. Vous avez eu la chance d’avoir un retour positif dans votre expérience.
Il devient tout à fait évident, lorsque l’on regarde le comportement de jeunes enfants, de constater à quel point ils savent jouer de ce sourire pour obtenir ce qu’ils désirent de leurs parents ou des autres. Arrivé à ce stade, le sourire perd de sa vigueur, de sa vitalité. Le sourire est devenu une ruse pour aboutir à l’obtention d’un résultat. A l’âge adulte, dans une très large majorité, nous utilisons le sourire comme stratégie, tout est calculé, prémédité, plus ou moins consciemment en fonction des individus.
C’est ainsi que le sourire radieux et innocent du bébé se transforme en une grimace douteuse qui inspire souvent la méfiance.
Puis plus «l’éducation » progresse, plus le sérieux devient une marque de respectabilité, tandis que le sourire devient suspect dans la plupart des cas.
Observez : dans la grande majorité des milieux professionnels, le sourire est très mal perçu, il vous discrédite auprès des clients potentiels. Les banquiers, les avocats, les politiciens, les médecins, les spécialistes en tout genre sont rarement souriants, en tout cas au début ! Après le sourire commercial arrive, mais ce n’est pas ce genre de grimace qui nous intéresse.
Le sérieux est devenu tellement crédible que n’importe quel imbécile portant un costume cravate sombre et arborant une mine austère est capable de se faire élire à des postes de responsabilité conséquents dans notre structure sociale. C’est très certainement l’une des raisons qui fait que nous avons 5 accumulé suffisamment d’armes atomiques pour faire exploser 2000 fois la totalité de la planète, que les armes bactériologiques et chimiques tiennent plus de place dans les dépenses des «grandes puissances» que la résorption de la famine et de la pauvreté et que 10 % de la population mondiale se persuade d’être heureux en accumulant 90% des richesses. Nous sommes devenus si sérieux que nous payons des comiques pour essayer de nous faire rire.
Un enfant rit en moyenne 200 fois par jour, un adulte … tout dépend de l’adulte !
Ce bien précieux que nous avons perdu, il ne tient qu’à nous de le retrouver. Nous l’avons vu précédemment, le sourire vrai, sincère et conscient est devenu extrêmement rare.
La première des choses à faire est d’accepter de vous discipliner, je ne parle pas de discipline militaire, non ! La discipline militaire est une discipline qui vient de l’extérieur et qui ne suffira pas pour cette révolution. Je parle d’une discipline beaucoup plus intense, plus forte et plus joyeuse : la discipline spirituelle qui, elle, vient de l’intérieur et dont le seul maître est vous-même.
Un fois que vous serez absolument convaincu qu’il est essentiel de se changer soi-même pour voir changer notre humanité, que la remise en question de votre éducation et de vos croyances les plus ancrées vous sembleront évidentes, alors la discipline dont nous parlons ici sera vôtre et le seul effort que vous aurez à faire sera de la suivre amoureusement. Si un doute persiste en vous, alors reprenez votre vie... Lorsque le vase du désarroi débordera à nouveau, alors peut être serez vous prêt ? Mais vous avez un bel exemple. Il ne s’agit surtout pas d’entretenir un sentiment de culpabilité, qui est un moyen commode que nous avons souvent l’habitude d’utiliser pour ne pas progresser. Nous nous culpabilisons puis nous trouvons un moyen de nous punir par des pensées, des paroles ou des actions négatives que nous nous infligeons et, pour finir, nous retournons bien tranquillement dormir dans nos schémas de comportements habituels. Stop ! Soyez responsable ! Lorsque vous trébuchez, relevez-vous et reprenez le chemin en étant reconnaissant. Votre erreur vous permet d’apprendre et de progresser : c’est parfait. Lorsque vous souriez, observez sans parti pris, sans jugement ni critique positive ou négative, observez juste ce que cela provoque en vous dans un premier temps. Si sincèrement vous y mettez tout votre cœur, votre intelligence et votre sensibilité, le sourire intérieur va arriver de lui-même. Laissez échapper un soupir d’aise et…. Vous passerez probablement par de nombreuses phases de découvertes surprenantes sur vous et sur votre manière de vivre mais la transformation graduelle qui va s’opérer en vous vous conduira tout naturellement à un niveau de bien être absolument fantastique. Cela n’a l’air de rien mais ce sourire intérieur, qui n’est jamais le même et qui se nourrit de l’instant présent, est un chemin d’élévation de votre niveau de conscience et de votre bien-être aussi simple qu’efficace. Et surtout, ne me croyez pas ! Expérimentez et découvrez par vous-même le trésor qui se cache derrière la révolution du
sourire... Il suffit de sourire de l’intérieur pour se faire : imaginez que vous avez, au niveau de votre plexus solaire (situé à environ 10 cm au-dessus du nombril), le visage rond et joyeux d’un bonhomme empli d’énergie positive qui sourit d’un sourire lumineux de couleur orange (choisissez la couleur qui vous plaît en fonction de l’instant).
Son sourire chaleureux rayonne dans tout votre corps et vous procure un bien-être très appréciable. Cette lumière souriante émane par les pores de votre peau et illumine les êtres autour de vous. Si vous vous laissez aller à imaginer cela en y ajoutant, si besoin est, votre propre touche de créativité positive, une sensation de douce chaleur globale va se faire ressentir en vous et des «étoiles » vont briller dans vos yeux. Cette technique d’imagination positive n’a rien de surnaturel : grâce aux images que nous créons dans notre cerveau (imagination) nous provoquons des réactions physiologiques (changement des rythmes cardiaque et respiratoire, régulation de la tension musculaire, sécrétions diverses de substances chimiques, etc.) qui modifient favorablement notre vibration globale. Les pensées positives, l’imagination positive, le sourire intérieur, génèrent l’énergie positive. Imaginez quelque chose qui vous est agréable : cela vous conduit à un état agréable et vice versa. Le sourire intérieur est basé sur cette capacité d'imagination et de provoquer un état d’esprit détendu, ouvert aux sensations, ici et maintenant.
Nous avons tous connu le sourire juste du «bébé béatitude ». Notre éducation et nos éducateurs (famille, amis, professeurs, culture, religion, etc.) ont rempli pleinement leur rôle en nous déformant au possible. Nous étions sains et nous sommes devenus particulièrement malsains. L’apprentissage de l’hypocrisie, de la fourberie et de toute la gamme des comportements les plus laids de la nature humaine nous a été offert par notre entourage. Nous nous y sommes soumis avec plus ou moins de conviction, de complaisance et de plaisir mais nous nous y sommes soumis ! ...Comment faire autrement ? Certains ne ressentent pas le besoin de se remettre en question, c’est comme cela et un point c’est tout ! C’est la vie.
Heureusement, certains autres, et de plus en plus grâce à l’ère de la communication et de la libre circulation de l’information, souhaitent remettre cette éducation en cause et se donnent les moyens de changer, de devenir eux-mêmes ce qu’ils ont choisi d’être. Non plus simplement le résultat du formatage éducatif et environnemental. Et ce, afin de retrouver l’état de bonheur exprimé par le sourire du «bébé béatitude ». Nous sommes faits pour le plaisir, les études les plus récentes en biologie le prouvent. Lorsque nous nous reprogrammons pour retrouver la voie du « plaisir sourire », nous utilisons les aliments que nous mangeons, et qui sont transformés en diverses particules, pour reconstruire nos «circuits» comportementaux endommagés. Notre sourire correspond à un schéma (circuit) neuronal dans notre cerveau. Ce schéma (comme un circuit électronique) lorsqu’il est activé, déclenche toute une suite de réactions en chaîne dans les autres parties de notre organisme. Lorsqu’une partie de notre organisme ne fonctionne pas, elle s’atrophie et finit par disparaître complètement. C’est pour cela qu’une personne qui a un membre dans le plâtre pendant plusieurs mois est obligée de faire de la rééducation afin de retrouver le bon fonctionnement de son membre. Pour le juste sourire, et même toutes les fonctions psychiques, c’est pareil, nous avons besoin de nous
Rééduquer et cela demande des efforts au départ. La nourriture que nous absorbons est transformée en particules puis véhiculée jusqu'à notre cerveau par le sang et, à l’aide de notre discipline consciente, nous l’utilisons afin de réparer le schéma du comportement « sourire juste » en reconstituant nos neurones et leurs interrelations. Le cas échéant, d’autres particules iront dans d’autres régions du corps (muscles faciaux) pour harmoniser le mouvement d’ensemble et solidifier les divers organes sollicités pour sa production. Plus nous répétons, un schéma plus il s’intensifie, cela devient une autoroute neuronale, un réflexe, notre nouvelle nature conditionnée par notre bon vouloir.
A l’inverse moins nous utilisons un schéma plus il s’atrophie. Les macrophages sont chargés de manger tout ce qui est inutilisé dans notre corps pour ne perdre aucune énergie. Quelle extraordinaire création ! Maintenant que nous comprenons mieux comment fonctionne notre reprogrammation au schéma « sourire intérieur », il sera plus simple et plus rapide de retrouver le chemin.
Mais attention ! La séduction est une motivation qui biaise le principe. Les comportements à motivation sexuelle sont très hypnotiques mais rarement l’expression d’un bien-être sincère et profond .Je n’ai rien contre le sexe, bien au contraire, c’est une bonne chose lorsqu’il est vécu dans une entente réciproque et encore plus lorsqu’il est accompagné d’amour. Je souhaite ici porter notre attention au-delà des apparences. L’observation attentive de ces comportements séducteurs permet de percevoir l’expression d’un désarroi profond, d’un désespoir total motivé par un manque d’amour de soi d’une violence incroyable. C'est le résultat de l'invitation au mépris de notre être profond cultivée par nos «éducastrateurs ». L’objectif de faire de nous des individus socialement adaptés, de «bons citoyens », associé à une pression sociale constante, nous contraint à abandonner notre réalité intérieure aux dépens de masques sociaux d’une hypocrisie douloureuse. Toute cette horreur que certains appellent « éducation » conduit à quémander un peu d’attention et à chercher dans le regard ou les attitudes des autres l’amour que nous avons oublié de nous offrir en respectant nos envies et tendances profondes. La séduction, la mode, tout ce qui tourne autour de cette tentative désespérée d’être aimé, accepté, en est l’expression la plus frappante. Le sourire séducteur fait partie de ces jeux bien confus qu’il serait temps d’abandonner. Lorsque l’intégrité du sourire intérieur s’exprime il n’y a aucune attente ou manipulation négative derrière cela. C’est un sourire charmant de naturel et de spontanéité, désintéressé. Ce sourire juste est au-delà des apparences, des normes, des conventions, de la dictature des règles sociales.
Le sourire juste se vit dans l’instant, il est indescriptible mais, lorsqu’il est vivant, tout est en osmose, tout est amour. C’est une fusion orgasmique avec le grand tout.
L’un des phénomènes les plus agréables lors de la rencontre du sourire intérieur, est la sensation de se sentir relié. C’est une sensation d’euphorie formidable. Chaque cellule, chaque organe qui vous compose se sent relié pour former un tout cohérent et harmonieux. Ce lien qui est, en fait, toujours présent, mais dont nous oublions l’existence, se prolonge à l’extérieur de nous. L’extraordinaire sensation de ne faire plus qu’un avec les plantes, un avec les animaux, un avec les êtres humains, un avec le moindre mouvement de ce gigantesque organisme qu’est l’humanité vous gagne et vous érotise. Une vibration orgasmique subtile vous caresse. Vous sentez que vous ne faites plus qu’un avec les étoiles, les planètes, avec l’univers vous êtes unis, universels ! C’est une extase qu’aucun mot ne peut décrire. Au moment où ce bonheur se déclenche, le chemin devient plus léger et plus joyeux encore. Ephémère au début, cette sensation s’installera d’elle-même au fur et à mesure de votre progression pour finir, je vous le souhaite par être permanente.
Mais ne soyez pas tendu vers cet objectif. Souriez et apprenez à ajuster votre sourire dans l’instant, le reste suivra naturellement. Le corps et l’esprit ne font qu’un.
Des milliers d’êtres humains sont castrés à vie par ces conceptions, croyances et représentations erronées parfois même stupides, fausses. La privation de plaisir sensuel et sexuel produit des effets négatifs qui endommagent le bon fonctionnement de notre organisme et génèrent des comportements psychotiques des plus monstrueux. De plus, certaines croyances engendrent l’obsession sexuelle avec toute la souffrance et la misère que cela implique. Le plaisir sensuel et sexuel seul ou entre individus consentants est une excellente chose pour l’épanouissement et pour la santé.
Ouvrez les yeux là-dessus et oubliez toutes vos conceptions primitives. Cela vous conduira à une approche du corps et du plaisir qui vous permettra aisément de vous abandonner à l’orgasme extatique que produit l’élévation de votre niveau de conscience. L’antidote à la culpabilité, c’est la responsabilisation .Oui, nous sommes responsables de choisir de vivre heureux et de jouir intelligemment de la vie. La voie du sourire juste est une excellente voie pour y parvenir.
Le fonctionnement actuel de nos sociétés modernes est basé sur le contrôle, le pouvoir à travers le savoir et sur l’avoir (l'avidité). Il est valorisant et valorisé de savoir beaucoup de choses et d’avoir beaucoup d’argent et de biens divers. En vérité, cela ne rend pas plus heureux. Attention ! Ce qui est développé ici n’est pas un renoncement à l’avoir ou au savoir, non ! En attendant d’avoir transformé notre humanité en une humanité d’opulence pour tous grâce aux nouvelles technologies et à l’évolution de la conscience planétaire, il est préférable d’avoir plus que pas assez. Ceci dit, l’obsession de l’avoir est une maladie courante qui révèle un mal-être profond. Il en est de même pour le savoir .A l’âge de l’informatique et d’internet, il est bon de savoir un peu mais l’hypertrophie de la mémorisation aux dépens d’autres parties bien plus essentielles de notre cerveau est absurde et déséquilibrante. La culture du savoir et de l’avoir doit être comprise et dépassée si nous ne voulons pas continuer à voir des milliers d’individus qui se suicident par la prise de drogue ou autrement. Le désespoir engendré par ces cultures est observable au quotidien. Il y a proportionnellement plus de suicides dans les milieux riches que dans les milieux pauvres et ce n’est pas parce que nous avons fait de longues études que nous sommes plus heureux.
Avez vous remarqué à quel point le sourire devient rare dans les pays dits « développés » ? !... Et c’est justement dans ces pays que le taux de suicide est le plus élevé, un suicide par minute ! En grande majorité les jeunes (15- 25 ans) qui choisissent de mettre fin à leur vie. Les plus âgés ne sont pas en reste, le taux de dépression est alarmant et la fuite de cette dure réalité dont nous sommes tous responsables s’exprime par une augmentation vertigineuse de prise de drogues légales (anxiolytiques, antidépresseurs, caféine, alcool, cigarettes etc.) ou illégales (hasch, extasie, cocaïne, etc.).
Il existe une issue à cela : la culture de l’ÊTRE. Se sentir vivant, présent au présent, sensuellement relié à soi, à l’autre, à l’univers infini qui est en nous et autour de nous. Vibrer à l’unisson de ce «grand tout »qui nous forme et que nous formons. ÊTRE ! Pas d’émotion, pas d’analyse ! Juste la sensation de baigner dans un océan d’harmonie, répondant spontanément à la vie. Les contraires se rejoignent, être fièrement humble, attache avec détachement, tout et rien ... Particules de poussière organisées en être humain capable de prendre conscience de lui même. Etre ! Les mots sont trop pauvres pour exprimer ce que représente ce «miracle» ! Etre, nous connaissons tous cette sensation car, avant de subir les déformations de notre éducation nous étions sans même le savoir. Etre, cela ne demande pas d’avoir fait dix ans d’études supérieures ou d’avoir un gros compte en banque. Etre ! Une formidable récompense qui arrive lorsque nous arrêtons de la désirer. Etre, la sève de l’arbre qui fait fleurir le sourire juste.
Tout comme nous cherchons à avoir et à savoir, nous cultivons l’illusion de la perfection .Mais le mythe de la perfection est extrêmement déséquilibrant et destructeur. Pour atteindre la vibration du sourire juste et la conserver, il est fondamental de s’en débarrasser. Rien ni personne n’est parfait dans l’univers. Nous sommes imparfaits !!! Perfectibles à l’infini mais imparfaits. Ouf !!! Nous pouvons un peu respirer, la perfection se trouve dans l’imperfection. Tous ces films de cinéma qui nous décrivent des personnages ou des situations parfaits, c’est joli mais c’est du cinéma ! Un des grands problèmes qui se produit avec ce genre de culture, c’est que plus personne n’ose aborder personne. Chacun ne veut montrer que le «bon » coté de ce qu’il croit être, et voudrait faire croire qu’il est parfait. De plus, il est courant d’attendre la situation parfaite pour faire telle ou telle chose, ce qui, en général revient à dire ne rien faire du tout. Nous avons tous nos forces et nos faiblesses, nous pouvons nous améliorer mais nous resterons imparfaits. Parfois plus en forme, parfois moins, c’est ainsi, la vie est mouvement. Nos croyances et nos images saintes (qui n’ont rien de sain), se sont transformées en mythes et propagandes divers, frustrants et misérables, qui nous empêchent d’agir. Arrêtons, je vous prie, ce cirque ! Sourions imparfaitement, cherchons à nous améliorer, cherchons à cultiver le sourire juste qui est imparfait, mais sourions. Nous sommes vivants, nous ne sommes pas des images ou des scénarios répétés par des acteurs professionnels plusieurs fois avant de correspondre à l’effet souhaité. Restons nous-mêmes, restons vrais avec notre «bon »et notre moins «bon ». Cherchons à nous améliorer constamment tout en sachant que la perfection n’existe pas. Si nous sommes détendus et souriants notre vie n’en sera que plus belle et plus agréable. Le mythe de la perfection, conduit à la souffrance. Ce mythe est un instrument de torture que nous ont transmis nos ascendants, il est meurtrier de le transmettre à nos enfants. Oublions tout ce passé en souriant au présent.
Remettre en question notre éducation dans sa quasi-totalité est une voie vers la libération ; certaines choses seront peut-être à garder, mais, dans l’ensemble, il est essentiel pour notre bonheur de modifier nos croyances et de nous éloigner de nos préjugés. Nous avons tout en nous pour solutionner nos problèmes.
Nous ne sommes pas des moutons, même si certains d’entre nous ont fini par leur ressembler. ETRE, c’est l’infini des possibilités, la diversité le changement.
Un code génétique humain, c’est surprenant ! Personne n’est pareil, nous avons tous notre identité propre et nous voulons juste l’exprimer en étant aimés et respectés pour nos différences. Apprendre à nous aimer et à nous respecter les uns les autres parce que nous sommes différents, ce n’est pas encore ce qui est enseigné sur cette planète de l’uniformisation. Ce sera une étape décisive pour construire votre intégrité et votre détermination à exprimer avec force et respect vos différences. C’est l’occasion de cultiver l’amour des différences.
Lorsque nous choisissons de remettre en question les préjugés et les croyances que nous ont légués nos ancêtres par le biais de la culture et de l’éducation, nous sommes confrontés à la perte de nos repères. Même si ces repères sont faux et destructeurs, ils nous sécurisent et nous avons construit des habitudes en rapport à eux. Il est souvent nécessaire de persévérer pour changer ces habitudes. Pourquoi certains peuples vivent-ils la mort d’un proche en la célébrant joyeusement car la mort est l’occasion de faire la fête et de se réjouir, alors que d’autres cultures choisissent de vivre ce même événement avec tristesse et apitoiement ? L'événement (la mort d'un proche) reste le même, mais l'attitude face à cet événement est absolument différente. Nous sommes en mesure de remettre en question comme nous le voulons notre attitude face à tous les événements. Evidemment cela va nous conduire à des changements radicaux dans notre manière d’aborder la vie, mais c’est tout à fait possible, ce n’est qu’une histoire de connexions entre les neurones. Et lorsque nous changeons nos anciens repères pour de nouveaux, il peut se produire une période de transition étrange. C’est un excellent signe, cela signifie que le vieux meurt et que le renouveau arrive. Aborder cette période avec confiance est le plus sûr moyen d’aboutir à la transformation de façon agréable. Vos repères changent, vos positions par rapport à ces repères aussi, vos croyances anciennes s’effondrent pour faire place à un renouveau utile et nécessaire pour l’individu et pour la collectivité. Plus vous progressez dans cette voie, plus vous vous rendez compte que la seule issue durable est de savourer l’instant dans toute sa fraîcheur, d’ouvrir ses sens et de jouir de l’instant. Au-delà des mots, au-delà de la pensée, au-delà de l’émotion, il existe un état de contact direct avec la vie où l’intelligence, la sagesse et l’amour universel s’expriment spontanément. Mais commençons par le commencement. Cela débute par un sourire qui va changer vos repères et ceux des personnes qui vous entourent.
Profitez-en pour cultiver votre intégrité. Vos repères vont changer, restez confiant.
Le sourire intérieur, c’est l’art de transformer le poison en élixir de vie.
Combien de fois par jour avons-nous le choix entre une attitude positive et une attitude négative ? C’est constant, à chaque parole, pensée et action que nous réalisons, il est possible de choisir d’apporter du bonheur ou du malheur à soi et aux autres. Nos pensées sont-elles sources de joie ou de tristesse ? Pourquoi entretenir un système de pensée qui nous détruit et qui nous fait du mal ? C’est la même chose pour nos paroles et nos actions ! Il est parfois impossible de changer les événements, mais il est toujours possible de changer le regard que l’on porte sur les événements. Cela ne dépend que de nous ! Il ne s’agit pas de ne pas regarder les choses telles qu’elles sont, mais de choisir de focaliser sur ce qu’il y a de positif dans chaque situation. Il y a toujours du positif, c’est ce qu’exprime le symbole bouddhiste du Yin et Yang, dans le noir, il y a toujours un peu de blanc et vis versa. A nous de nous entraîner à focaliser notre attention sur ce qui est positif, tout en restant conscient du négatif. Nos comportements collectifs et individuels sont en grande majorité tournés vers le négatif. Les informations ne parlent pratiquement que de ce qui va mal ; nous avons une culture étrange qui nous invite à nous préoccuper davantage de ce qui ne va pas que de ce qui va bien. Cela commence à l’école où l’on souligne chez les enfants les fautes plus que les réussites. Comment s’étonner après cela que nous posions un regard négatif sur nous même ou sur le monde ? La voie du sourire intérieur est une voie qui nous invite à regarder ce qui va bien et à inviter les autres à faire la même chose. Nous pouvons, grâce à un sourire transformer un visage fermé et austère en un visage ouvert et chaleureux. Quel pouvoir extraordinaire ! Nous pouvons, grâce au sourire juste, transformer le regard que nous posons sur la vie. Entraînez vous à souligner ce qui va bien. C’est une reprogrammation qui contribuera à vous faire découvrir et vivre le sourire intérieur à chaque instant renouvelé.
Plus on sourit sincèrement et sans rien attendre en retour, et plus on reçoit de sourires et bien plus encore. C’est vraiment fabuleux. Surtout,n’attendez pas que l’autre vous sourit pour lui sourire, fait le premier pas. Si quelqu’un est plus rapide que vous, saluez sa vivacité et laissez-vous toucher en plein cœur...c’est si bon ! Ne sous-estimons jamais la force que dégage notre sourire. Quelle que soit la réaction apparente en face, si notre sourire est juste il déclenchera au fond, une explosion de bonheur. Et si pour toutes sortes de raisons, la personne avec qui vous partagez votre sourire le refuse, eh bien, n’en soyez pas triste, rappelez-vous que vous vivez votre sourire avant tout et surtout pour vous. Soyons patients, constants et persévérants, des résultats incroyables nous attendent. Et quitte à attendre, autant attendre avec le sourire.
Comme une petite étincelle, qui deviendra un feu de joie infini, réchauffant nos cœurs d’un bonheur sincère et durable. La voie du sourire intérieur est une méditation perpétuelle qui va nous rendre plus sensibles, plus humains, plus follement sages.
Si vous avez besoin de vous ressourcer en énergie positive je vous invite à passer au réservoir de joie ;-)
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Commentaires bienvenus
Bonjour à Tou(te)s
En réponse à VM et à Tou(te)s
Vous avez le droit, VM, d'avoir cet avis et même beaucoup plus .. à mon avis, sans me poser la question "non?".
Je n'ai pas à approuver ou à d'approuver votre avis; cependant je me donne l'autorisation de le contester (ou pas) !
Et, ceci vient … du cœur… de l'intérieur, de l'extérieur, avec sourire, sans sourire !?
J'en sais rien; ceci vient de moi .. surement !
Mais, je peux me persuader que ce qui me plait (le vrai sourire de l'intérieur) me vient "de l'intérieur", du "cœur"; et ce que me plait pas vient … !!!???
De quoi, au fait !?
Quels sont mes organes, parties de corps qui seraient mauvaises conseillères !?
!?
Ceci dit : je suis plutôt d'accord avec Vous.
Il est bien meilleur de ne pas sourire extérieurement, mais en souriant intérieurement; que de sourire extérieurement et de "faire la gueule" intérieurement.
Mais, m ais !
Quand je souris intérieurement et extérieurement, je suis UN !
Et là, je suis vrai.
Pas besoin de gargarisassions de mots pompeux … !!! C'est vrai, au fait, le cœur … est une pompe !
…. et, le cerveau sert à refroidir le corps, mes aïeuls, du Moyen âge, en étaient persuadés.
Pourquoi tant de divisions !?
Article intéressant, un peu long, mais très intéressant.
A mon avis Lovyves, le sourire intérieur et le sourire du coeur, c'est kif kif, non ?
Vincent
Bonsoir à Tou(te)s
Vu de chez moi, Crea, c'est toujours bien exprimée et de manière compréhensible.
Mon problème !?
C'est que je n'ai toujours pas de réponse à ma question !
Peut être que Crea ne voit pas le problème :
si :" Le vrai sourire c'est le sourire intérieur ou le sourire du coeur !"
Alors: Le sourire extérieur ou/et le sourire des lèvres (ou autres organes extérieurs) sont, alors de faux sourire !? (point d'interrogation).
Je souhaiterai avoir une réponse à ceci, et, non pas sur le fait de "faire la gueule".
Quand vous faites la gueule, vous exprimez votre mécontentement. Sans doute vaudrait il mieux l'exprimer en parole, mais en tout cas, c'est signifiant faire la gueule, c'est mieux que refouler ou dénier, c'est pourquoi j'écrivais qu'il n'est pas malsain, même si c'est à l'opposé du sourire intérieur, d'exprimer tous les types d'émotions. Ce qui ne s'exprime pas s'imprime dans le corps.... La joie n'a aucun sens sans la peine etc... il faut exprimer le bon et le mauvais.
Désolée, je n'ai pas été très explicite pour exprimer ma pensée.
Créa
Crea, intéressant ce que vous dites, mais vous répondez à qui, à quoi !?
En tout cas, il n'est pas malsain d'exprimer ses émotions, ça évite bien des maux.... ce qui ne s'exprime pas s'imprime dans le corps..... :-)
Bonsoir
Et, quand je fais "la gueule", est ce que je peux avoir un (vrai) sourire intérieur !?
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